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Rotten Tomatoes
104 abonnés
695 critiques
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0,5
Publiée le 9 janvier 2012
Nos jours heureux, c'est la comédie française par excellence. La mauvaise comédie j'entends. Il s'agit sans doute du film le plus niais que eu l'occasion de voir depuis ma naissance... Je suis obligé de mettre 0,5 étoiles : Le film est tout simplement d'une banalité atroce, particulièrement niais et insipide. Tous les personnages sont insupportables, caricaturés à l'extrême. Le film en lui même est bourré de clichés. Je suis pourtant un grand amoureux des comédies, mais celle-ci est tout simplement ennuyante et ridicule. Passez votre chemin.
Ce film est vraiment surévalué, il est très mauvais, je le mettrais dans mon top 10 des pires films que j'ai jamais vu, enfin il est surtout très très décevant au vu des critiques plus que positives.
Mon interrogation sur l'engouement de ce film ici : http://www.allocine.fr/communaute/forum/message_gen_nofil=702587&cfilm=108783&refpersonne=&carticle=&refserie=&refmedia=.html
«Nos jours heureux» (France, 2066) d’Eric Toledano et Olivier Nakache est une comédie inoffensive sur les colonies de vacance. Aussi inoffensive que la chanson potache de Pierre Perret. Son innocence explique le paradoxe de sa réussite publique et de son échec artistique. La lisibilité immédiate de l’intrigue rend désuet la mise en scène et place tout l’accent du film sur la prestation des acteurs et la façon dont chacun de leur personnage réagit au situation. La clarté du récit et l’immédiate compréhension des situations permet au public de saisir aussitôt le cœur de la scène. Bien que de nombreuses situations se basent sur des qui pro quo, les situations, si nettement juxtaposées, n’ont pas une once d’ambiguïté. Rien de préjudiciable en soi puisque les cinémas d’Hawks et d’Hitchock, pour citer les plus fameux, se sont construits sur la parfaite clarté du récit. Or la clarté de Toledano et Nakache n’est pas au profit d’une intrigue mais seulement afin de mieux mettre en valeur des personnages qui se réduisent à des archétypes. Malgré la volonté de chaque acteur à vouloir rendre plausible son personnage, tout transpire l’artifice et vise à faire un «film culte» sur les colonies de vacance, assez réussit pour que ceux qui les ont faites puisse s’y reconnaître. Le personnage artificielle, rendue vraisemblable, le plus significatif est celui de Caroline, interprété par Joséphine de Meaux. Jeune femme timide et complexée, elle devient une hystérique dominatrice dès lors qu’elle rompt son blocage psychologique. L’effort de l’actrice pour rendre croyable une telle transformation est rendu vain par les extrémités par lesquelles elle passe. D’une femme ultra-réservée et taciturne, elle devient une colérique incessante. L’absolutisme caricaturale des personnages détruit la tentative des deux cinéastes de dresser un portrait ironique sur l’organisation approximative des colonies de vacance. La séquence finale rend nulle l’aventure du film et boucle la boucle des stéréotypes/
A dire vrai, je m'en souviens peu... Et comme je l'ai vu il n'y a pas si longtemps, c'est vous dire l'intérêt du film. On attend, on attend mais il faut se rendre à l'évidence, on attend pour rien... Car rien de bien drôle ne pointera le bout de son nez, mis à part des gags éculés - surtout dans ce genre de comédie. Les personnages sont TROP stéréotypés, autant les adultes que les enfants. Et du casting, personne ne tire son épingle du jeu. Quand on croit apparaitre un bon mot, un gag intéressant, il y en a toujours un pour faire retomber le soufflet...
Je donne une étoile mais 0 pour la moyenne au dessus du film
je prends la plume pour la première fois tellement ce film m'a consternée : tout y est lourd. Ce qui aurait pu être un petit film d'été frais est un film où à force d'appuyer les traits, ces derniers se sont transformés en gros gribouillis.