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Votre avis sur Leprechaun 5 : La malédiction ?
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Audrey L
Au micro de ce slam (slash) bien nul, on retrouve Little Green Bastard, le leprechaun qui aime la fumette...et c'est tout. Il faut dire que dans les dix minutes radines où il apparaît à l'écran, le petit monstre ne fait pas grand chose à part
spoiler:
tirer sur le joint
. Et c'est redondant, et pas forcément très drôle dès la première fois (le gag vieillit mal). On va donc dans les ghettos de Los Angeles, pour suivre Ice T (moins affligeant que prévu) qui rêve de monter son groupe de rap avec ses deux potes (sympathiques), mais se confronte à la dureté de ce milieu déjà très fourni en gars à la casquette retournée et short baggy. Heureusement, spoiler: ils trouvent une flûte en or magique qui hypnotise tous les publics pour se mettre en avant au moindre concert (alors ça, ça tombe bien), s'attirant les foudres à la fois des bandits qui avaient chippé la flûte avant eux, et surtout du véritable propriétaire de 1m de haut...
Propriétaire, comme on l'a dit, qu'on voit excessivement peu, au profit de scènes de rap en continu, d'un manque cruel d'humour et de tueries déjantées (on a droit à des coups de feu, ce n'est pas l'esprit Leprechaun). Seules les dix dernières minutes se réveillent, nous proposant un spoiler: binôme de gars musclés mal déguisés en femmes (ce qui fonctionne toujours) et une petite utilisation du faux-sang (enfin !)
pour l'unique scène "hors tous-publics" de ce cinquième opus. On aime bien le style 90's du film (fait à base de clichés sur les rappeurs américains, évidemment), la bande de trois potes, mais cela ne suffit clairement pas à faire de ce film un bon moment, étant bien trop radin en gags et en leprechaun (à part la scène avec la maman aveugle, et le final "fumette", Warwick Davies est quasiment absent de cet opus). Une déception, même si l'on s'est surpris à trouver cool Ice T pour ses raps plutôt agréables (comparés à la soupe autotunée actuelle) et pour son spoiler: dress code féminin
débilisant (et assumé : donc fun) de la fin. Pas cataclysmique, juste un bad move, bro.
. Et c'est redondant, et pas forcément très drôle dès la première fois (le gag vieillit mal). On va donc dans les ghettos de Los Angeles, pour suivre Ice T (moins affligeant que prévu) qui rêve de monter son groupe de rap avec ses deux potes (sympathiques), mais se confronte à la dureté de ce milieu déjà très fourni en gars à la casquette retournée et short baggy. Heureusement, spoiler: ils trouvent une flûte en or magique qui hypnotise tous les publics pour se mettre en avant au moindre concert (alors ça, ça tombe bien), s'attirant les foudres à la fois des bandits qui avaient chippé la flûte avant eux, et surtout du véritable propriétaire de 1m de haut...
Propriétaire, comme on l'a dit, qu'on voit excessivement peu, au profit de scènes de rap en continu, d'un manque cruel d'humour et de tueries déjantées (on a droit à des coups de feu, ce n'est pas l'esprit Leprechaun). Seules les dix dernières minutes se réveillent, nous proposant un spoiler: binôme de gars musclés mal déguisés en femmes (ce qui fonctionne toujours) et une petite utilisation du faux-sang (enfin !)
pour l'unique scène "hors tous-publics" de ce cinquième opus. On aime bien le style 90's du film (fait à base de clichés sur les rappeurs américains, évidemment), la bande de trois potes, mais cela ne suffit clairement pas à faire de ce film un bon moment, étant bien trop radin en gags et en leprechaun (à part la scène avec la maman aveugle, et le final "fumette", Warwick Davies est quasiment absent de cet opus). Une déception, même si l'on s'est surpris à trouver cool Ice T pour ses raps plutôt agréables (comparés à la soupe autotunée actuelle) et pour son spoiler: dress code féminin
débilisant (et assumé : donc fun) de la fin. Pas cataclysmique, juste un bad move, bro.
Film complètement raté, aurait pu être intéressant avec un meilleur scénario vu que les acteurs sont pas trop mal, dommage que le film passe vraiment à coté de l'esprit de la saga. Par ailleurs, les scènes d'horreur sont toujours les mêmes (l'œil, le doigt arraché, la statue...), c'est trop redondant, 1/5 pour la bande son !!
🎬🎥 LEPRECHAUN 5 _ [2000] 🎥🎬
_Appréciation ; 🔴🔴🔴 (3/10
_Avis Bref ;
Un retour en statue comme on avait vu dans le troisième. Un cinquième film mauvais moins nanardesque que le précédent, il ressemble clairement à une belle grosse daube. Une VF juste horrible et insoutenable, des personnages plus que moyen et un Leprechaun qui perd en sadisme, son humour c'est également perdu dans l'espace (du quatrième) de toute façon comme le reste de la saga.
Enfin bref, j'ai fini avec peine cette hideuse et fine de saga.
_Synopsis ;
Souhaitant se venger d'un producteur, trois jeunes rappeurs décident de cambrioler son domicile. Dérobant au passage un talisman magique, ils libèrent ainsi le maléfique Leprechaun dans leur quartier.
🔴⚫🔵Barème d'appréciation :
🔵 = Excellent ( Entre 7/10 et 10/10)
⚫ = Moyen (Entre 4/10 et 6/10),
🔴 = Mauvais (Entre 1/10 et 3/10)
🌟 = Coup de coeur (10/10)
🚫 = Daube infâme (0/10)
_Appréciation ; 🔴🔴🔴 (3/10
_Avis Bref ;
Un retour en statue comme on avait vu dans le troisième. Un cinquième film mauvais moins nanardesque que le précédent, il ressemble clairement à une belle grosse daube. Une VF juste horrible et insoutenable, des personnages plus que moyen et un Leprechaun qui perd en sadisme, son humour c'est également perdu dans l'espace (du quatrième) de toute façon comme le reste de la saga.
Enfin bref, j'ai fini avec peine cette hideuse et fine de saga.
_Synopsis ;
Souhaitant se venger d'un producteur, trois jeunes rappeurs décident de cambrioler son domicile. Dérobant au passage un talisman magique, ils libèrent ainsi le maléfique Leprechaun dans leur quartier.
🔴⚫🔵Barème d'appréciation :
🔵 = Excellent ( Entre 7/10 et 10/10)
⚫ = Moyen (Entre 4/10 et 6/10),
🔴 = Mauvais (Entre 1/10 et 3/10)
🌟 = Coup de coeur (10/10)
🚫 = Daube infâme (0/10)
Un nouvel épisode, une nouvelle déception. Ici, c'est bel et bien le rap qui s'en prends plein la figure. Ce n'est pas un style que j’apprécie mais méritait un meilleur film.
Trois jeunes rappeurs tentent de percer dans le milieu de la musique en s’adressant à Mac Daddy, un puissant producteur. Après avoir subi une cuisante humiliation auprès de ce dernier, il retourne chez lui et le dévalise. Mais ils font par accident délivrer le leprechaun...
La réalisation est très faible: le cadrage n'est pas très beau, les prises de vues sont très basiques, la mise en scène est pensée de façon très minimaliste, les mouvements trop mous et la profondeur de champ faible.
Le scénario n'est pas bon; c'est très lent, on s'ennuie très vite avec ses trois sous protagonistes et on n'attend impatiemment le générique de fin. Il y a plein de clichés sur le ghetto et beaucoup d'incohérences. Une fois n'est pas coutume avec cette franchise, l'épouvante est totalement absente mais on peut se rabattre sur l’humour qui est un peu divertissant.
Les acteurs surjouent beaucoup trop, c'est assez ridicule.
Les personnages sont très stéréotypés, ont cernes leurs caractéristiques dès leurs premières apparitions.
Les dialogues sont souvent assez lourds malgré quelques toutes petites bonnes trouvailles.
La photographie a une lumière assez banale mais deux trois scènes avec quelques bonnes couleurs.
Le montage n'offre rien de bien à se mettre sous la dent.
Les décors sont très pauvres, les costumes assez ridicules, le maquillage est d'une qualité très inférieure par rapport aux autres films et la musique, est bien c'est question de goût.
"Leprechaun 5; la malédiction" est un petit film de série B vite regardé, vite oublié.
Trois jeunes rappeurs tentent de percer dans le milieu de la musique en s’adressant à Mac Daddy, un puissant producteur. Après avoir subi une cuisante humiliation auprès de ce dernier, il retourne chez lui et le dévalise. Mais ils font par accident délivrer le leprechaun...
La réalisation est très faible: le cadrage n'est pas très beau, les prises de vues sont très basiques, la mise en scène est pensée de façon très minimaliste, les mouvements trop mous et la profondeur de champ faible.
Le scénario n'est pas bon; c'est très lent, on s'ennuie très vite avec ses trois sous protagonistes et on n'attend impatiemment le générique de fin. Il y a plein de clichés sur le ghetto et beaucoup d'incohérences. Une fois n'est pas coutume avec cette franchise, l'épouvante est totalement absente mais on peut se rabattre sur l’humour qui est un peu divertissant.
Les acteurs surjouent beaucoup trop, c'est assez ridicule.
Les personnages sont très stéréotypés, ont cernes leurs caractéristiques dès leurs premières apparitions.
Les dialogues sont souvent assez lourds malgré quelques toutes petites bonnes trouvailles.
La photographie a une lumière assez banale mais deux trois scènes avec quelques bonnes couleurs.
Le montage n'offre rien de bien à se mettre sous la dent.
Les décors sont très pauvres, les costumes assez ridicules, le maquillage est d'une qualité très inférieure par rapport aux autres films et la musique, est bien c'est question de goût.
"Leprechaun 5; la malédiction" est un petit film de série B vite regardé, vite oublié.
Un mix assez étrange, à savoir transposer le folklore du Leprechaun dans une histoire de rappeurs gangsters, ça ressemble vraiment à une commande typique pour attirer un public ciblé, avec Ice T en guest et même un cameo de Coolio, le tout en racontant l'ascension de trois jeunes loosers qui aspirent au sommet des charts; hip hop, guns, sortilège et un peu de gore, voilà le menu. On abandonne même la fameuse quête de la pièce d'or pour bifurquer vers celle d'une flûte magique, capable d'hypnotiser les foules et ainsi capter l'intérêt de la musique du trio, ce dernier étant tiraillé entre un puissant manager et le farfadet, qui espèrent eux deux récupérer leur bien. En fait je dirais presque qu'il y a deux films en un, et malheureusement celui axé sur le Leprechaun est un poil secondaire, ce qui est à double tranchant, car on s'intéresse en effet aux personnages mais on en oublie le principal, s'amuser, j'ai remarqué qu'il n'y avait au final aucun moment réellement mémorable, ce qui est tout de même assez gênant. Cependant Warwick Davis tire encore une fois son épingle du jeu pour magnifier ce lutin maléfique en mal d'inspiration sur le papier, il a même droit à son petit rap en guise de pré-générique, hum, bon, pourquoi pas... Par contre le dénouement tranche quelque peu avec la logique des anciens volets, ce qui reste plutôt audacieux quoi qu'on puisse en penser.
Bref une suite qui apparait comme la synthèse de deux projets qui se télescopent, poussivement, l'alchimie ne fonctionne pas, ou très peu, le délire est en tout cas aux abonnés absents, bien que le film ne soit pas foncièrement pénible non plus.
Bref une suite qui apparait comme la synthèse de deux projets qui se télescopent, poussivement, l'alchimie ne fonctionne pas, ou très peu, le délire est en tout cas aux abonnés absents, bien que le film ne soit pas foncièrement pénible non plus.
Félix F
Faut que l'on m'explique le rapport avec le film d'origine. Cette fois les réalisateurs vont loin on créant un film de hip hop sur font horrifique. L'horreur passe au second plan et le film devient un grand n'importe quoi. Totalement dénoué de sens par rapport à l'original, Leprechaun 5 est l’effondrement d'une saga, (Comment ça un 6 ème ?)
Après la petite bourgade américaine, après le Moyen-Âge, après Las Vegas et après l'Espace, mais où notre cher petit lutin pouvait-IL connaître de nouvelles aventures ? Et bien les scénaristes de ce nouvel opus ont trouvé une réponse qui reste dans la tradition loufoque de la saga : dans le ghetto !! C'est dingue : à chaque fois on se dit qu'ils ne pourront jamais tomber plus bas et trouver plus ridicule, et boom ils y parviennent avec une facilité presque indécente ! Bien entendu, qui dit ghetto dit black people : pour une fois le casting est quasiment composé à 100% d'acteurs afro-américains. Et qui dit ghetto dit rap et toute l'ambiance du film baignera dans le rap : outre la présence dans le casting de Ice-T et de Coolio, nos héros ne se priveront pas pour pousser la chansonnette 2-3 fois...dans le seul et unique but de prolonger la durée du métrage de quelques minutes. Et pour l'occasion, notre cher leprechaun se voit affublé dans ce nouvel épisode d'une caractéristique bien énervante :
spoiler:
notre ami ne parle qu'en rimes
et c'est tellement mauvais que ça en devient totalement horripilant pour nos pauvres tympans. Pour le reste, c'est comme d'habitude (scénario zéro, acteurs bidons) ou presque : le film oublie même l'une de ces caractéristiques premières et ne se souvient qu'il doit exhiber des scènes gores qu'au bout d'une heure de film ! Même Warwick Davis, qui d’habitude s’éclate à jouer son rôle de petit monstre teigneux, donne l’impression d’en avoir marre…et en plus, on n’a plus droit à notre traditionnelle blonde bien gaulée : inutile de vous dire qu'on finit par s'ennuyer ferme devant ce nouveau navet qui, je l'espère grandement, sera le dernier de cette calamiteuse saga. Seul point positif du film : on a enfin un montage propre sans l’habituel charcutage de cuts…oui je sais : c’est léger comme point positif…Allez je suis fou : je lui mets tout de même une étoile pour une séquence qui vaut à elle seule le visionnage de cette ignoble daube : spoiler: Ice-T avec une coupe afro au diamètre surnaturel qui parvient à dissimuler une batte de baseball !!
et c'est tellement mauvais que ça en devient totalement horripilant pour nos pauvres tympans. Pour le reste, c'est comme d'habitude (scénario zéro, acteurs bidons) ou presque : le film oublie même l'une de ces caractéristiques premières et ne se souvient qu'il doit exhiber des scènes gores qu'au bout d'une heure de film ! Même Warwick Davis, qui d’habitude s’éclate à jouer son rôle de petit monstre teigneux, donne l’impression d’en avoir marre…et en plus, on n’a plus droit à notre traditionnelle blonde bien gaulée : inutile de vous dire qu'on finit par s'ennuyer ferme devant ce nouveau navet qui, je l'espère grandement, sera le dernier de cette calamiteuse saga. Seul point positif du film : on a enfin un montage propre sans l’habituel charcutage de cuts…oui je sais : c’est léger comme point positif…Allez je suis fou : je lui mets tout de même une étoile pour une séquence qui vaut à elle seule le visionnage de cette ignoble daube : spoiler: Ice-T avec une coupe afro au diamètre surnaturel qui parvient à dissimuler une batte de baseball !!
Shawn777
Nous voila redescendu de l'espace après un quatrième opus qui était au delà de la bêtise, pour se retrouver avec un leprechaun qui parle avec des rimes. Cela peut sembler, au premier abord, complétement débile, mais vu où cette saga en est, ça ne me surprend pas. Le leprechaun parle donc en rap car il va, cette fois-ci, dans le ghetto non pas pour récupéré une pièce, mais une flûte magique qu'un groupe de rappeurs a prit pour avoir la gloire à Las Vegas. Ce cinquième épisode de cette saga qui devient chaotique au fil des années se parodie presque lui-même car quand on voit le leprechaun danser avec des pin-up et fumer des joints, on se croirait dans "Scary Movie". Au niveau des acteurs, ils ne jouent pas très bien mais ça passe quand même et on a que des V.F connues, ce qui est pas mal mis à part celle du leprechaun, qui est celle en autre de Sammy dans Scooby-Doo, ce qui ne lui va pas du tout.
Pour résumé, "Leprechaun 5 : La Malédiction" est une suite qui se laisse regarder mais qui ne va pas plus loin que ça.
Pour résumé, "Leprechaun 5 : La Malédiction" est une suite qui se laisse regarder mais qui ne va pas plus loin que ça.
Yannickcinéphile
Leprechaun 5 est donc une énième suite de la fameuse saga. On revient sur Terre après un épisode 4 laborieux, et on se retrouve dans un film pas déplaisant mais quelconque, qui ne va pas soulever les foules.
Le casting pourrait être celui d’un film de blaxploitation, car, outre l’inusable Warwick Davis, toujours constant dans sa prestation du Leprechaun, on se retrouve dans un ghetto essentiellement afro-américain. Globalement les acteurs sont très corrects, avec une bande de jeunes qui tient la route, qui évolue avec un certain naturel, et qui sont bien épaulés par un lot de seconds rôles classiques (le pasteur, la grand-mère…) mais suffisamment excentriques pour amuser. A noter la présence d’Ice-T qui en fait des caisses en producteur de rap, et qui est assez inconstant, pouvant vraiment être bien drôle par moment et laborieux d’autres fois.
Le scénario repose toujours sur la même recette, avec un Leprechaun qui se pointe, mais ne cherche pas ici son or mais une flute. Les morts s’enchainent, c’est assez dynamique, quelques scènes d’horreur alternent avec un humour simple. Toutefois cet épisode est globalement plus sérieux que la moyenne, comme en témoigne d’ailleurs la conclusion du film. Cela n’empêche pas de gros moments délirants (le travesti par exemple).
Visuellement Leprechaun 5 ne casse pas des barreaux. Décors limités, photographie qui fait plus vieille que les années 2000, le film dispose d’une mise en scène un peu moins à l’aise que les précédents épisodes, dont les deux derniers qui avait bénéficié du savoir-faire de Trenchard-Smith. Malgré tout Leprechaun 5 se laisse regarder de façon confortable, avec quelques cadrages sympathiques (les trous dans les corps !). A noter aussi des effets horrifiques solides, pas très nombreux mais d’un assez bel effet. On reste tout de même dans de l’horreur assez soft, mais c’est convaincant. Enfin la bande son est nettement plus travaillée ici que dans les précédents épisodes. Si on n’évolue pas avec du rap de premier ordre, en revanche la musique est bien présente et c’est un bon point, puisque ça confère une atmosphère que les décors moyens ne permettaient pas de restituer.
En clair Leprechaun 5 est un épisode moyen, qui pour ma part est comparable au 2. Pas désagréable, le film n’a tout de même pas de réelles qualités mais pas non plus de réels défauts, et l’ensemble reste très neutre finalement, trop surement. Je lui donne 2.5.
Le casting pourrait être celui d’un film de blaxploitation, car, outre l’inusable Warwick Davis, toujours constant dans sa prestation du Leprechaun, on se retrouve dans un ghetto essentiellement afro-américain. Globalement les acteurs sont très corrects, avec une bande de jeunes qui tient la route, qui évolue avec un certain naturel, et qui sont bien épaulés par un lot de seconds rôles classiques (le pasteur, la grand-mère…) mais suffisamment excentriques pour amuser. A noter la présence d’Ice-T qui en fait des caisses en producteur de rap, et qui est assez inconstant, pouvant vraiment être bien drôle par moment et laborieux d’autres fois.
Le scénario repose toujours sur la même recette, avec un Leprechaun qui se pointe, mais ne cherche pas ici son or mais une flute. Les morts s’enchainent, c’est assez dynamique, quelques scènes d’horreur alternent avec un humour simple. Toutefois cet épisode est globalement plus sérieux que la moyenne, comme en témoigne d’ailleurs la conclusion du film. Cela n’empêche pas de gros moments délirants (le travesti par exemple).
Visuellement Leprechaun 5 ne casse pas des barreaux. Décors limités, photographie qui fait plus vieille que les années 2000, le film dispose d’une mise en scène un peu moins à l’aise que les précédents épisodes, dont les deux derniers qui avait bénéficié du savoir-faire de Trenchard-Smith. Malgré tout Leprechaun 5 se laisse regarder de façon confortable, avec quelques cadrages sympathiques (les trous dans les corps !). A noter aussi des effets horrifiques solides, pas très nombreux mais d’un assez bel effet. On reste tout de même dans de l’horreur assez soft, mais c’est convaincant. Enfin la bande son est nettement plus travaillée ici que dans les précédents épisodes. Si on n’évolue pas avec du rap de premier ordre, en revanche la musique est bien présente et c’est un bon point, puisque ça confère une atmosphère que les décors moyens ne permettaient pas de restituer.
En clair Leprechaun 5 est un épisode moyen, qui pour ma part est comparable au 2. Pas désagréable, le film n’a tout de même pas de réelles qualités mais pas non plus de réels défauts, et l’ensemble reste très neutre finalement, trop surement. Je lui donne 2.5.
L y a pas beaucoup de meurtre il est toujours exelent se lutin qui fait delire mais moi je lai trouver exelent et le 6 aussi et il nest pas gore le 5 il est juste fort
spoiler:
I
spoiler:
I
Ils ont réussi à faire encore plus mauvais que le 4, ce Leprechaun fait du rap et a des groupies zombies, Ice-T a besoin d'argent, bref c'est une belle daube.
Après 4 épisodes en 5 ans, on a du attendre 3 ans avant de voir une nouvelle itération de la saga du lutin irlandais, mise en stand-by à cause d’un quatrième épisode que mêmes les rares fans ont renié et détesté. Sauf qu’au lieu de revenir normalement, la saga prenait une tournure gangsta rap.
Heureusement, le film reste le digne héritier des 4 prédécesseurs, continuant sur le chemin de la comédie noire (notez l’absence voulue de majuscule) et extrêmement gore. Un sergent se déguisait en drag queen dans le précédent film ? Ici, Ice-T arbore une jolie perruque afro dans le prologue et le Leprechaun explose des bides à tour de bras, mange des doigts, devient mack, fume de l’herbe avec ses gagneuses alors que nos héros produisent du rap grâce à la flûte magique. Sauf que pour une fois, le film est vraiment bien interprété grâce à des acteurs de talent qu’on ne voit malheureusement pas assez à l’écran. Rashaan Nall, Ice-T et Jack Ong ont un talent comique indéniable, Anthony Montgomery est loin d’être ridicule et la réalisation passerait presque pour soignée. Le film ne se prend jamais au sérieux, finit sur un clip de rap du Leprechaun qu’on aura jamais autant aimé détesté mais ne tient évidemment pas les 90 minutes. De plus, il devient assez répétitif au bout de 45 minutes.
Lourdingue ? Oui. Drôle ? Oui. Bon film ? Quand même pas. Pourtant, ce Leprechaun In The Hood est de très loin le meilleur opus de la saga et rivalise même avec un Vendredi 13. Très fun. Que fun.
Heureusement, le film reste le digne héritier des 4 prédécesseurs, continuant sur le chemin de la comédie noire (notez l’absence voulue de majuscule) et extrêmement gore. Un sergent se déguisait en drag queen dans le précédent film ? Ici, Ice-T arbore une jolie perruque afro dans le prologue et le Leprechaun explose des bides à tour de bras, mange des doigts, devient mack, fume de l’herbe avec ses gagneuses alors que nos héros produisent du rap grâce à la flûte magique. Sauf que pour une fois, le film est vraiment bien interprété grâce à des acteurs de talent qu’on ne voit malheureusement pas assez à l’écran. Rashaan Nall, Ice-T et Jack Ong ont un talent comique indéniable, Anthony Montgomery est loin d’être ridicule et la réalisation passerait presque pour soignée. Le film ne se prend jamais au sérieux, finit sur un clip de rap du Leprechaun qu’on aura jamais autant aimé détesté mais ne tient évidemment pas les 90 minutes. De plus, il devient assez répétitif au bout de 45 minutes.
Lourdingue ? Oui. Drôle ? Oui. Bon film ? Quand même pas. Pourtant, ce Leprechaun In The Hood est de très loin le meilleur opus de la saga et rivalise même avec un Vendredi 13. Très fun. Que fun.
Stop. Il faut s'arrêter, là. Déjà que ça devenait très lourd à partir du second, là ça devient carrément du foutage de gueule. Tous les acteurs cabotinent comme des caïds, Warwick fait carrément dans l'auto-parodie, rien de divertissant n'est au programme. C'est tout juste si je n'étais pas plus concentré sur mon verre de jus de citron pendant le visionnage. Une aberration dans une saga plutôt intriguante au départ. Et dire que c'est un des meilleurs épisodes de la saga...
Leprechaun se retrouve dans un ghetto noir américain. Putin, qu'est ce que c'est nul : entre des scènes inutiles interminables et des pseudos chansons de rap minables, on s'ennuie très vite. W.Davis parle en rimant et c'est vite chiant. Quelques scènes gore sont présentes, heureusement mais rien de bien réjouissant. Une suite qui amène un autre suite tout aussi pourrie.
Très drôle et horrifique
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