L'Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford : Critique presse
L'Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford
Note moyenne
4,0
25 titres de presse
20 Minutes
Brazil
Elle
L'Humanité
TéléCinéObs
Télérama
aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
L'Express
Le Figaroscope
Le Monde
Libération
MCinéma.com
Ouest France
Positif
Première
Studio Magazine
Ciné Live
Le Journal du Dimanche
Le Parisien
Les Inrockuptibles
Metro
Paris Match
Télé 7 Jours
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
[Un] film fleuve envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Brazil
par Véronique Kientzy
Ce film est comme un bon vin qu'il faut laisser en bouche avant de le déguster. Après sa vision, il vous revient dans la tête, longtemps, avec beaucoup d'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Elle
par Françoise Delbecq
Le traitement de l'image, avec ses ralentis, est d'une rare beauté : champs enneigés foulés par des silhouettes noires, personnages vacillants vus à travers d'épaisses vitres dépolies... Exit le western traditionnel, il faut davantage parler de western poétique.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Jean Roy
C'est une oeuvre magnifique qui déboule, aussi ample dans la durée que resserrée dans le temps. La reconstitution historique est impressionnante. L'image, de toute beauté dans ses tons ocre qui correspondent à la poussière de l'Ouest (...), respire d'un souffle épique comme chez les maîtres de l'écran large (...) Le John Ford des westerns tardifs a trouvé là son descendant.
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
C'est un film étrange et envoûtant, un western poétique, une élégie.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
La beauté engourdie de l'image et, aussi, la dilatation du temps dessinent une sorte de fruste paradis perdu. C'est ce parti pris esthétique qui donne au film une ambition, une épaisseur singulières.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Andrew Dominik signe un grand film où l'éblouissement et la mélancolie constituent une seule et même nature (...)une sorte de chef-d'oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Eugenio Renzi
"L'Asssassinat de Jesse James" a sans doute l'ambition d'un grand western classique. Mais aussi la démarche.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Film parfait, mais pas grand film pour autant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
(...) un ballet à la tension captivante.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
C'est un western lyrique, beau (...) Un western silencieux sur l'absurde, le trouble, la fascination. (...) Un poème, un pèlerinage, une poursuite de fantômes.
Libération
par Philippe Garnier
En dépit de la prodigieuse photographie hivernale de Roger Deakins (...), le film est plus huis clos que grands espaces : le monde se referme sur Jesse James et la dernière heure du film nous récompense de notre patience (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Une démarche psychologique louable même si le scénario manque de cohérence et que le récit peine à trouver son rythme de croisière. Reste que la version finale (...) n'est pas à jeter, loin de là.
Ouest France
par La rédaction
Comme un western d'une nouvelle génération, qui serait aussi un thriller rétro autant qu'un documentaire sociologique, cette longue fresque élégante et sophistiquée se compose lentement dans les recherches esthétisantes d'un chef-opérateur diablement inspiré.
Positif
par Jean-Loup Bourget
Adaptant un roman de Ron Hansen, le Néo-Zélandais Andrew Dominik s'inscrit dans cette tradition, s'en sépare, mais ne cherche pas à la subvertir.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gaël Golhen
(...) le film s'étourdit dans une succession de plans vertigineux (...) le film atteint la beauté des grands John Ford, s'interrogeant sur ce qu'il peut substituer du western, de la fascination pour ses héros et de la grandeur du mythe US lorsque les icônes sont mortes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Ciné Live
par Chrisophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
D'accord, on peut reprocher à ce film sa lenteur, le fait que le récit s'attarde parfois sur des figures secondaires d'intérêt inégal. Mais Andrew Dominik ne voulait pas d'un western traditionnel. (...) La façon dont le cinéaste dénonce l'exploitation et la médiatisation du crime est édifiante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Alain grasset
Bien qu'un peu long, ce film épique renoue de fort belle manière avec le genre, porté par deux acteurs remarquables. Si Brad Pitt a décroché un prix à la Mostra de Venise, Casey Affleck (...) lui vole la vedette grâce à sa composition pleine d'ambiguïtés.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Clélia Cohen
(...) on sent le réalisateur (...) aussi fasciné par le genre que prompt à lui dresser un linceul de givre dans ce film qui allie spleen abyssal et envolées plastiques.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Rania Hoballah
Les amateurs de cinéma d'action resteront certainement hermétiques au film, mais ceux qui apprécient le cinéma contemplatif devraient tomber sous le charme de l'oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Alain Spyra
Le contraste entre les deux hommes, la relation trouble qui les lie et quelques scènes fortes composent l'atout majeur de ce film qui traîne un peu la patte sans parvenir à trouver son rythme (...)
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Un peu longue et austère, cette démythification (...) laissera perplexes les fondus de fusillades, de chevauchées épiques et de duels au soleil. Mais la performance magnétique de Brad Pitt (...) mettra tout le monde d'accord.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
20 Minutes
[Un] film fleuve envoûtant.
Brazil
Ce film est comme un bon vin qu'il faut laisser en bouche avant de le déguster. Après sa vision, il vous revient dans la tête, longtemps, avec beaucoup d'émotion.
Elle
Le traitement de l'image, avec ses ralentis, est d'une rare beauté : champs enneigés foulés par des silhouettes noires, personnages vacillants vus à travers d'épaisses vitres dépolies... Exit le western traditionnel, il faut davantage parler de western poétique.
L'Humanité
C'est une oeuvre magnifique qui déboule, aussi ample dans la durée que resserrée dans le temps. La reconstitution historique est impressionnante. L'image, de toute beauté dans ses tons ocre qui correspondent à la poussière de l'Ouest (...), respire d'un souffle épique comme chez les maîtres de l'écran large (...) Le John Ford des westerns tardifs a trouvé là son descendant.
TéléCinéObs
C'est un film étrange et envoûtant, un western poétique, une élégie.
Télérama
La beauté engourdie de l'image et, aussi, la dilatation du temps dessinent une sorte de fruste paradis perdu. C'est ce parti pris esthétique qui donne au film une ambition, une épaisseur singulières.
aVoir-aLire.com
Andrew Dominik signe un grand film où l'éblouissement et la mélancolie constituent une seule et même nature (...)une sorte de chef-d'oeuvre.
Cahiers du Cinéma
"L'Asssassinat de Jesse James" a sans doute l'ambition d'un grand western classique. Mais aussi la démarche.
Chronic'art.com
Film parfait, mais pas grand film pour autant.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
(...) un ballet à la tension captivante.
Le Monde
C'est un western lyrique, beau (...) Un western silencieux sur l'absurde, le trouble, la fascination. (...) Un poème, un pèlerinage, une poursuite de fantômes.
Libération
En dépit de la prodigieuse photographie hivernale de Roger Deakins (...), le film est plus huis clos que grands espaces : le monde se referme sur Jesse James et la dernière heure du film nous récompense de notre patience (...).
MCinéma.com
Une démarche psychologique louable même si le scénario manque de cohérence et que le récit peine à trouver son rythme de croisière. Reste que la version finale (...) n'est pas à jeter, loin de là.
Ouest France
Comme un western d'une nouvelle génération, qui serait aussi un thriller rétro autant qu'un documentaire sociologique, cette longue fresque élégante et sophistiquée se compose lentement dans les recherches esthétisantes d'un chef-opérateur diablement inspiré.
Positif
Adaptant un roman de Ron Hansen, le Néo-Zélandais Andrew Dominik s'inscrit dans cette tradition, s'en sépare, mais ne cherche pas à la subvertir.
Première
(...) le film s'étourdit dans une succession de plans vertigineux (...) le film atteint la beauté des grands John Ford, s'interrogeant sur ce qu'il peut substituer du western, de la fascination pour ses héros et de la grandeur du mythe US lorsque les icônes sont mortes.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Journal du Dimanche
D'accord, on peut reprocher à ce film sa lenteur, le fait que le récit s'attarde parfois sur des figures secondaires d'intérêt inégal. Mais Andrew Dominik ne voulait pas d'un western traditionnel. (...) La façon dont le cinéaste dénonce l'exploitation et la médiatisation du crime est édifiante.
Le Parisien
Bien qu'un peu long, ce film épique renoue de fort belle manière avec le genre, porté par deux acteurs remarquables. Si Brad Pitt a décroché un prix à la Mostra de Venise, Casey Affleck (...) lui vole la vedette grâce à sa composition pleine d'ambiguïtés.
Les Inrockuptibles
(...) on sent le réalisateur (...) aussi fasciné par le genre que prompt à lui dresser un linceul de givre dans ce film qui allie spleen abyssal et envolées plastiques.
Metro
Les amateurs de cinéma d'action resteront certainement hermétiques au film, mais ceux qui apprécient le cinéma contemplatif devraient tomber sous le charme de l'oeuvre.
Paris Match
Le contraste entre les deux hommes, la relation trouble qui les lie et quelques scènes fortes composent l'atout majeur de ce film qui traîne un peu la patte sans parvenir à trouver son rythme (...)
Télé 7 Jours
Un peu longue et austère, cette démythification (...) laissera perplexes les fondus de fusillades, de chevauchées épiques et de duels au soleil. Mais la performance magnétique de Brad Pitt (...) mettra tout le monde d'accord.