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Gonnard
248 abonnés
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1,5
Publiée le 10 mars 2012
Récit autobiographique de Daniel Duval, "Le temps des porte-plumes" n'a rien de bien enthousiasmant. Axé sur la thématique de l'éducation d'après-guerre, il ne fait guère le poids face aux "Choristes". La faiblesse du film tient avant tout à la mollesse du scénario. Linéaire, il ne comporte aucune surprise. Le peu d'attachement que suscitent les personnages tire un peu plus le film vers le bas. Inexpressivité, tel semble être le maître-mot. A cet égard, l'affiche du "Temps des porte-plumes" est fidèle à son contenu. On croirait voir la photo d'une famille amish. Les questions abordées le sont de façon superficielle : les orphelins, la vie agricole, la guerre d'Algérie, le rôle des curés dans les campagnes. On reste dans le domaine du descriptif pur et dur, du coup la frustration laisse finalement place à l'ennui. A oublier donc.
Il faut reconnaître un certain charme à ce film. Certainement dû aux acteurs ou aux paysages qui sont apaisants et qui dégagent une certaine légereté. C'est ce qui fait que Le Temps des Porte-Plumes se laisse regarder. Mais en dehors de ça, plus on avance,plus on se demande où ce film veut nous emmener, ce qu'il cherche à montrer. C'est pas clair, un sentiment de vide ou de manque se fait ressentir. Qaund on ressort, on se demande à quoi sert ce film, de quoi il parle, ce qui s'est passé. Trop vide.
Je ne voudrais pas remettre en cause l'extrême sincérité dont fait preuve ici Mr Duval afin de nous narrer son enfance mais honnêtement si cette oeuvre s'avère fidèle a la réalité ,qu'est ce qu'il a du se faire chier étant gamin !!! C'est pas compliqué : du début a la fin c'est mou archi mou avec un enchainement de scènes sans cohésions résultats d'un montage bâclé sans parler des rares dialogues d'une extrême platitude.Même les comediens pourtant confirmés semblent débiter leurs texte sans réelles convictions ,il y a de toute façon un souci des le départ avec Rouve et Deutsch qui ne possèdent pas le physique de l'emploi.Brochet assez froide et Podalydes en instit s'en tirent les mieux tout comme le gamin que crédible : c'est toujours ca !! Faire de jolies images nostalgiques de la campagne version années 50 ne suffit pas a masquer la pauvreté d'une intrigue digne d'un téléfilm de France 3 ,on a l'impression de matter un doc sur les battages et autres labourages qu'autre chose.
Daniel Duval est un acteur attachant. Avec son film il nous plonge dans les méandres de son enfance douloureuse. Une uvre personnelle donc, trop sans aucun doute. On pense immanquablement au Grand Chemin de Jean Louis Hubert tant les sujets sont proches et lon se dit quil était difficile de faire mieux. Car malheureusement ici la mayonnaise ne prend pas. Faute de savoir faire vraisemblablement. Le montage est anarchique : combien de scènes semblent coupées ou inachevées. Le rythme est poussif, alternant scènes de genre agraires à des scène plus intimistes sans réelle cohésion ou organisation. Et les acteurs sont absents, voire même canalisés, dans tous les cas peu crédibles. Rouve semble ne pas oser bouger, Anne Brochet est un brin décalée, Podalydès donne limpression dêtre là pour toucher son cachet et Deutsch fait ce quil peut. Deux sauvent ce triste constat : le jeune Raphaël Katz et aussi la formidable Annie Girardot qui malgré peu de scènes vient illuminer cette histoire. Ces deux là nous offrent quelques beaux moments teintés de poésie et de charme jusquà un final presque magique. Mais attendre une heure quinze pour sortir de lapathie cest trop ! Lautre grande qualité de ce film est la bande originale de Vladimir Cosma. Sa partition donne du relief et offre au film ses seuls moments dintensité.
Il prend du temps à démarrer. Et quand il démarre, il n'avance pas trop. Le petit est très mignon, mais paradoxalement il reste distant. A.Brochet que j'adore n'est pas très convainquante. Il y a une douceur dans ce film qui n'est malheureusement pas très bien exploitée... et on sent un certain manque tout au long du film, qu'on ne sait définir!
le décor est bien restitué, certains acteurs bien choisis, ainsi que certains passages (la rédaction) et l'intention bonne mais le film souffre de nombreux défauts. Un scénario creux, une mise en scène trop dirigiste qui tourne parfois à la récitation, un petit héros inexpressif qu'on veut nous vendre comme réservé, et si le film est court (1h30) il en paraît le double tant la fraîcheur de la campagne ne parvient pas jusqu'à nous. comme on a pu le lire, ce film se rapproche beaucoup du simple téléfilm qur France 3. Déception.
On ne peut pas dire que ce soit mal filmé et quel les acteurs soient mauvais. L'ambiance est sympa. Mais les quelques histoires s'entremèlent ais n'ont pas franchement de lien. Quand à la fin du film, elle est archi ratée. Dommage car il y avait matière à bien mieux.
Difficile de se passionner pour ce film qui joue, comme beaucoup d'autres en ce moment, la carte de la nostalgie. En effet, le réalisateur enchaîne les saynètes qui dans l'ensemble ont bien du mal à s'embriquer les unes aux autres. Ajoutons à cela un rythme lent voire très lent et un personnage central de gamin très mal choisi. La distance se creuse alors entre les personnages et le spectateur. Dommage! L'étoile est simplement présente pour le côté campagne et ferme d'antan.
Dans les années 50, un jeune enfant de la ville nommé Pippo se retrouve dans une famille d'accueil en pleine campagne, ses vrais parents ne pouvant plus l'élever correctement.On découvre un gamin très taciturne, refermé sur lui-même et peu enclin au dialogue. Il erre dans sa nouvelle vie sans vraiment donner l'impression de ne jamais trouver ses marques. Pourtant son père de substitution, Jean-Paul Rouve, tente de se montrer sympathique envers le môme alors que la mère, Anne Brochet, est réticente quant au comportement du bambin. Celui-ci lui donnera raison tout le long du film tant il se montrera irrespectueux, violent et tricheur dans son école. Mais tout ceci est filmé d'une manière trop plate, on a l'impression que jamais rien ne se passe à l'écran et finalement on s'ennuie à suivre les péripéties de ce chérubin pas forcément attachant. La campagne telle quelle est montrée à l'écran ne nous invite pas non plus à l'allégresse, Daniel Duval la filme comme une nature morte et aucun plan ne nous restera en mémoire à la fin du générique... On aurait pourtant aimé être subjugué par ces vastes champs et ces beaux paysages verts.Et que dire de toutes ces petites histoires secondaires qui parcourent le film comme un ange traverserait une salle de cinéma endormie. Finalement une oeuvre assez pauvre...
Mes amis ont adoré et pour ma part j'ai trouvé ce film sans interret. Allez-y et faites-vous votre propre idée si le thème abordé semble vous interresser (ce qui n'était pas mon cas).
Un film malheureusement un peu lent et monotone. Pas beaucoup de rebondissements, peu de musique, pas assez de rythme...Malgré de belles intentions et un gamin vraiment "trognon" , on s'ennui ferme pendant 1h30. Juste quelques moments agréables en revoyant certains objets et des situations vécues dans notre enfance : pas suffisant pour sauver le film de la noyade !
On apprend à le connaître dans, PIPO va à lécole, PIPO na pas faim, PIPO nest pas content, PIPO triche, et pour finir PIPO est heureux et enfin libre !!!
A vrai dire il ne se passe pas grand chose. Tout est dans lappréciation du silence.
Dommage !!!
Quoi que ce film a quand même était applaudi par quelques personnes à la fin de la séance Comme quoi tout les goûts sont dans la nature !!!