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Un visiteur
1,0
Publiée le 8 juin 2007
De belles images, une musique agréable !!!!!!!!
MAIS A PART CA ?
On fait la connaissance de PIPO.
On apprend à le connaître dans, PIPO va à lécole, PIPO na pas faim, PIPO nest pas content, PIPO triche, et pour finir PIPO est heureux et enfin libre !!!
A vrai dire il ne se passe pas grand chose. Tout est dans lappréciation du silence.
Dommage !!!
Quoi que ce film a quand même était applaudi par quelques personnes à la fin de la séance Comme quoi tout les goûts sont dans la nature !!!
Un bon moment de détente dans un film simple, sans complications, sans violence, sans héros. L'histoire d'un gamin sans parents à la campagne, qui n'a pas choisi sa famille et qui se la créé au milieu de tout le monde. Il n'y a rien d'autre à trouver dans ce film, c'est une belle histoire de tous les jours.
J.P Rouvre dans son rôle de père adoptif attendri est merveilleux ! L'histoire est simple mais attendrissante , à une époque que les moins de 50 ans ne peuvent pas connaitre ! Annie Giradeau en grand mère mourante lie une amitié avec pipo, elle devient son refuge avant que le petit ne trouve sa place dans son nouveau foyer.
Daniel Duval raconte son histoire. Après 15 ans dabsence (La Dérobade), Duval souhaite rendre hommage à ceux quil considère comme ses véritables parents, Gustave et Cécile, à qui le film est dédié. Nattendez surtout pas à voir beaucoup daction, de rebondissements car le cinéaste préfère mettre sur pellicule latmosphère, les silences, les regards dont il se souvient et cest là quil est le plus fort car on ne sennuie jamais. Là où beaucoup seraient tombés dans le film somnifère, Duval réussit à captiver, à nous prendre par la main par une une vraie sincérité, une véritable fraîcheur et simplicité. Il est par ailleurs soutenu par une belle distribution avec la découverte du petit Raphaël Katz, véritable caractère au charme irrésistible. Jean-Paul Rouve tombe parfois dans le cliché du paysan mais parvient à se fondre dans lambiance du film. La prestation rigide dAnne Brochet est assez déroutante et cest Annie Girardot qui tire son épingle du jeu, très émouvante, sensible et douce. Denis Podalydès (où l'art de se fondre dans tous les rôles Comédie Française) en instituteur samuse, Lorant Deutsch apparaît tout en retenue. Certains spectateurs auront une impression de déjà-vu, notamment avec Les Choristes pour la photo made in 1950 mais le projet de Daniel Duval est bien antérieur au film de Barratier. Le cinéaste (et acteur) a mis énormément de sa personne dans ce film, comme un moyen de cicatriser certaines blessures encore ouvertes. Il porte un gros plan sur les labours, les soirées rythmées au balancement de la pendule du salon éclairé par la lampe à pétrole, comme des instantanés indélébiles qu'il souhaitait imprimer sur pellicule depuis 20 ans. "Le temps des porte-plumes" est un très joli film malgré la musique aussi omniprésente que sirupeuse de Vladimir Cosma (les violons dégoulinent). Ce film se regarde comme un récit autobiographique, qui se regarderait "page par page", l'émotion émane des images très soignées. Jamais mélo, toujours sincère.
Joli petit film à la française, dira-t-on. Une bonne ambiance, de bons acteurs, une musique sympathique... c'est si agréable que cela en devient presque niais. Un joli tout, finalement. Mais bon, c'est du petit cinéma.
Il prend du temps à démarrer. Et quand il démarre, il n'avance pas trop. Le petit est très mignon, mais paradoxalement il reste distant. A.Brochet que j'adore n'est pas très convainquante. Il y a une douceur dans ce film qui n'est malheureusement pas très bien exploitée... et on sent un certain manque tout au long du film, qu'on ne sait définir!