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    Le Temps des porte-plumes
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    67 critiques spectateurs

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    chrischambers86
    chrischambers86

    14 034 abonnés 12 481 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 juillet 2010
    Loin de tout pathos et de toute reconstitution acadèmique, Daniel Duval raconte son enfance douloureuse de l'ètè 1954 avec pudeur et èmotion! Que "Le temps des porte-plumes" soit autobiographique explique en grande partie son authenticitè: une fois n'est pas coutume, le monde rural n'est pas caricaturè! il est montrè très simplement, sans grossir le trait! Portè par les violons de Vladimir Cosma et par d'excellents comèdiens comme Jean-Paul Rouve et Anne Brochet, le rèalisateur de "La dèrobade" signe un film sensible servi par une belle distribution, dont la trop rare Annie Girardot! Une vraie nostalgie des vraies valeurs...
    NeoLain
    NeoLain

    5 085 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 mai 2013
    Ce film ou du moins petit film reste sympathique, avec une histoire d'un jeune enfant prénommé Pipo, il est recueilli par un couple d'agriculteurs, Pipo se construit au fur et à mesure dans un environnement de campagne été 54 auprès des personnages qui l'entourent, on y voit aussi la dureté de l'éducation à l'école, le reste rien de bien transcendant, le gros point fort est pas dans l'histoire en elle-même mais c'est bien grâce à un casting débrouillard ou il y règne une émotion assez palpable.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 207 abonnés 4 192 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 septembre 2012
    C'est Daniel Duval qui se penche sur son enfance avec ce film d'une grande humanité qui emboîte le pas pris 20 ans plus tôt par Jean-Loup Hubert avec "Le grand Chemin". Le film porté par le magnifique jeune comédien Raphaël Katz est l'occasion pour des acteurs de seconds rôles comme Jean-Paul Rouve, Anne Brochet ou Laurent Deutsch de montrer toute l'étendue de leur talent. Duval parle avec justesse et tendresse de sa propre histoire dans un film où il apparaît, homme d'âge mur parlant à l'enfant qu'il était. Il n'y a que le cinéma qui permette de tels moments de magie. L'enfant qui se croit mal aimé par ses parents adoptifs trouve un refuge affectif auprès d'une vieille femme rejetée comme lui qu'il entreprend de protéger. Annie Girardot dont les yeux sont déjà partis de l'autre côté du miroir de la raison joue encore merveilleusement ce dernier rôle mue par les automatismes d'un métier qu'elle connaît sur le bout des doigts. Le petit pipot apprendra que c'est quand risque de perdre les choses que l'on comprend à quel point on y est attaché. Un apprentissage de la vie qui permet à Daniel Duval de nous offrir une autre vision du monde rural qui n'est pas fait que de sentiments frustres comme l'imagerie populaire aime à la perpétrer. Magnifique.
    Fabien S.
    Fabien S.

    565 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 décembre 2020
    Un très bon drame avec Jean-Paul Rouve, Denis Polyadès durant l'été 1954 . Une très belle chronique romanesque.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    302 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 juin 2011
    Malgré la naïveté qui se dégage de ce film, on tombe quelque peu sous le charme de l'histoire. Décrivant la vie à la campagne à travers l'arrivée d'un enfant de la ville, et sa difficile intégration, on aurait pu quand même espérer un peu mieux, et plus de contenu, pour éviter d'avoir l'impression de se retrouver devant un téléfilm. Le Temps des porte-plumes n'atteint ainsi pas le niveau de "A la gloire de mon père" et "Le château de ma mère".
    velocio
    velocio

    1 322 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 septembre 2014
    Un film qui aurait pu / dû être très intéressant mais la mise en scène et le montage sont beaucoup trop mollassons.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    164 abonnés 2 382 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 novembre 2020
    "Le temps des porte-plumes" un beau film, qui raconte l'enfance du réalisateur Daniel Duval. Sorti en 2006, le film a été tourné dans le Bourbonnais, en Auvergne dans le Lyonnais. Une reconstitution de la vie rural en 1954 très fidèle, c'est bien documenté, pas de caricatures, pas de fausses notes. Architectures, objets, machines agricoles, meubles ... Daniel Duval restaure ses souvenirs et les référents sur place ont conseillé l'équipe du film et prêté les objets qui convenaient à la période.
    Une belle histoire. Un film contemplatif, calme, simple, sans pathos excessif.
    Une bonne distribution, Jean-Paul Rouve, Anne Brochet, Denis Podalydès, Lorànt Deutsch, Annie Girardot. Un jeu très en retrait pour le duo Rouve/Brochet. Une bonne direction d'acteur pour le jeune Raphaël Katz dans le rôle de Pippo.
    Musqiue de Vladimir Cosma. Un petit film très bien fait et qui ne caricature pas bêtement la ruralité française.
    Gonnard
    Gonnard

    248 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 mars 2012
    Récit autobiographique de Daniel Duval, "Le temps des porte-plumes" n'a rien de bien enthousiasmant. Axé sur la thématique de l'éducation d'après-guerre, il ne fait guère le poids face aux "Choristes". La faiblesse du film tient avant tout à la mollesse du scénario. Linéaire, il ne comporte aucune surprise. Le peu d'attachement que suscitent les personnages tire un peu plus le film vers le bas. Inexpressivité, tel semble être le maître-mot. A cet égard, l'affiche du "Temps des porte-plumes" est fidèle à son contenu. On croirait voir la photo d'une famille amish. Les questions abordées le sont de façon superficielle : les orphelins, la vie agricole, la guerre d'Algérie, le rôle des curés dans les campagnes. On reste dans le domaine du descriptif pur et dur, du coup la frustration laisse finalement place à l'ennui. A oublier donc.
    Flex07
    Flex07

    88 abonnés 1 705 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 mars 2007
    Il faut reconnaître un certain charme à ce film. Certainement dû aux acteurs ou aux paysages qui sont apaisants et qui dégagent une certaine légereté. C'est ce qui fait que Le Temps des Porte-Plumes se laisse regarder. Mais en dehors de ça, plus on avance,plus on se demande où ce film veut nous emmener, ce qu'il cherche à montrer. C'est pas clair, un sentiment de vide ou de manque se fait ressentir. Qaund on ressort, on se demande à quoi sert ce film, de quoi il parle, ce qui s'est passé. Trop vide.
    Sylvain P
    Sylvain P

    342 abonnés 1 360 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 août 2010
    Un peu plus de rythme et d’émotion aurait été souhaités… Mais le cœur de ce film reste l’hommage de Daniel Duval à ses parents adoptifs (Cécile et Gustave – Anne Brochet et Jean-aul Rouve, attachants) qui ne peut laisser insensible. On passe donc un agréable moment devant cette chronique paysanne mais «Le grand chemin » n’a pas de souci à se faire et restera encore longtemps le meilleur film sur l’enfance à la campagne.
    stans007
    stans007

    25 abonnés 1 325 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 avril 2021
    « Le grand chemin » sans la poésie. Récit autobiographique besogneux, malgré une belle distribution (Denis Podalydès, Annie Girardot, Lorànt Deutsch), une bonne photo et une reconstitution soignée.
    SYNEPHIL
    SYNEPHIL

    50 abonnés 1 134 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 septembre 2016
    Je ne voudrais pas remettre en cause l'extrême sincérité dont fait preuve ici Mr Duval afin de nous narrer son enfance mais honnêtement si cette oeuvre s'avère fidèle a la réalité ,qu'est ce qu'il a du se faire chier étant gamin !!! C'est pas compliqué : du début a la fin c'est mou archi mou avec un enchainement de scènes sans cohésions résultats d'un montage bâclé sans parler des rares dialogues d'une extrême platitude.Même les comediens pourtant confirmés semblent débiter leurs texte sans réelles convictions ,il y a de toute façon un souci des le départ avec Rouve et Deutsch qui ne possèdent pas le physique de l'emploi.Brochet assez froide et Podalydes en instit s'en tirent les mieux tout comme le gamin que crédible : c'est toujours ca !! Faire de jolies images nostalgiques de la campagne version années 50 ne suffit pas a masquer la pauvreté d'une intrigue digne d'un téléfilm de France 3 ,on a l'impression de matter un doc sur les battages et autres labourages qu'autre chose.
    14caen
    14caen

    50 abonnés 1 087 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 juillet 2010
    Une légère brise d'été. Un souvenir mémorable de la craie et du tableau noir. Un genre de Pagnol. A voir.
    JamesDomb
    JamesDomb

    105 abonnés 1 061 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Daniel Duval raconte son histoire. Après 15 ans d’absence (La Dérobade), Duval souhaite rendre hommage à ceux qu’il considère comme ses véritables parents, Gustave et Cécile, à qui le film est dédié. N’attendez surtout pas à voir beaucoup d’action, de rebondissements car le cinéaste préfère mettre sur pellicule l’atmosphère, les silences, les regards dont il se souvient et c’est là qu’il est le plus fort car on ne s’ennuie jamais. Là où beaucoup seraient tombés dans le film somnifère, Duval réussit à captiver, à nous prendre par la main par une une vraie sincérité, une véritable fraîcheur et simplicité. Il est par ailleurs soutenu par une belle distribution avec la découverte du petit Raphaël Katz, véritable caractère au charme irrésistible. Jean-Paul Rouve tombe parfois dans le cliché du paysan mais parvient à se fondre dans l’ambiance du film. La prestation rigide d’Anne Brochet est assez déroutante et c’est Annie Girardot qui tire son épingle du jeu, très émouvante, sensible et douce. Denis Podalydès (où l'’art de se fondre dans tous les rôles – Comédie Française) en instituteur s’amuse, Lorant Deutsch apparaît tout en retenue. Certains spectateurs auront une impression de déjà-vu, notamment avec Les Choristes pour la photo made in 1950 mais le projet de Daniel Duval est bien antérieur au film de Barratier. Le cinéaste (et acteur) a mis énormément de sa personne dans ce film, comme un moyen de cicatriser certaines blessures encore ouvertes. Il porte un gros plan sur les labours, les soirées rythmées au balancement de la pendule du salon éclairé par la lampe à pétrole, comme des instantanés indélébiles qu'il souhaitait imprimer sur pellicule depuis 20 ans. "Le temps des porte-plumes" est un très joli film malgré la musique aussi omniprésente que sirupeuse de Vladimir Cosma (les violons dégoulinent). Ce film se regarde comme un récit autobiographique, qui se regarderait "page par page", l'émotion émane des images très soignées. Jamais mélo, toujours sincère.
    Fritz L
    Fritz L

    188 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Daniel Duval est un acteur attachant. Avec son film il nous plonge dans les méandres de son enfance douloureuse. Une œuvre personnelle donc, trop sans aucun doute. On pense immanquablement au Grand Chemin de Jean Louis Hubert tant les sujets sont proches et l’on se dit qu’il était difficile de faire mieux. Car malheureusement ici la mayonnaise ne prend pas. Faute de savoir faire vraisemblablement. Le montage est anarchique : combien de scènes semblent coupées ou inachevées. Le rythme est poussif, alternant scènes de genre agraires à des scène plus intimistes sans réelle cohésion ou organisation. Et les acteurs sont… absents, voire même canalisés, dans tous les cas peu crédibles. Rouve semble ne pas oser bouger, Anne Brochet est un brin décalée, Podalydès donne l’impression d’être là pour toucher son cachet et Deutsch fait ce qu’il peut. Deux sauvent ce triste constat : le jeune Raphaël Katz et aussi la formidable Annie Girardot qui malgré peu de scènes vient illuminer cette histoire. Ces deux là nous offrent quelques beaux moments teintés de poésie et de charme jusqu’à un final presque magique. Mais attendre une heure quinze pour sortir de l’apathie c’est trop ! L’autre grande qualité de ce film est la bande originale de Vladimir Cosma. Sa partition donne du relief et offre au film ses seuls moments d’intensité.
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