Note moyenne
3,1
17 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Elle
Ces petits gestes de la vie quotidienne, presque des rituels pour cette femme en fin de vie, confèrent à ces "Conversaciones con Mama" un rythme calme et une impression désuète.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Journal du Dimanche
Un plaidoyer léger et pétillant en faveur des personnes âgées et sur le sens de l'existence. Savoureux.
Première
La grâce des acteurs y est pour beaucoup, et l'écriture tendue de cet échange plein d'humanité fait le reste.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
Santiago Carlos Oves l'a bien compris. Le cinéma est là pour ça : mettre nos vies sur l'écran, et nous en faire sourire.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Ce qui touche ici, c'est l'humanité du propos, la tendresse dans laquelle baigne le film, très bien servie par deux très bons acteurs, Eduardo Blanco et China Zorilla.
Libération
(...) une petite comédie de catégorie sympathique, qui ne brille pas par sa dimension esthétique.
Ouest France
C'est forcément.... bavard, et la mise en scène statique ne fait rien pour agrémenter les conversations mais il y a dans ces dialogues plein de propos touchants.
TéléCinéObs
Si la photographie manque de vigueur, le jeu pétillant de l'actrice uruguayenne China Zorrilla.
Télérama
Grâce au charme des personnages et des acteurs, le scénario fragile devient vite un conte sympathique, tendre, émouvant, qui rappelle les réussites du cinéma italien de jadis.
Zurban
(...) un film, qui malgré quelques maladresses, réjouit par son discours profondément épicurien.
Positif
(...) au fur et à mesure des conversaciones entre mère et fils, le récit s'alourdit dans son propos et dans sa forme.
Score
Quelle est la pire des éventualités cauchemardesques qu'un spectateur puisse envisager en s'immergeant dans les salles obscures ? Qu'un réalisateur le force à digérer la grande bouffe dominicale familiale, sauf qu'aucun lien consanguin ne l'incite à prendre son mal en patience.
Le Monde
(...) ce film à l'humanisme gentillet ne dépasse pas les bornes d'un théâtre laborieusement filmé.