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softy76
33 abonnés
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1,0
Publiée le 16 août 2009
on s'attend a un film à la JFK et on se retrouve avec un film sans interet sur la vie de personnages qui ont assister à l'assasinat de bobby rien d' interessant,à eviter.
Une multitude de personnages si peu attachants et inexploités envahissent un film à plusieurs facettes sans saveur. Seul Sharon Stone et William H. Macy tirent leur épingle du jeu. Une fois de plus, Shia LaBeouf ne mérite pas le statut d’acteur, un rôle de figurant lui allait à merveille. Les thèmes de la guerre du Viêtnam, du racisme et autres difficultés sociales sont maladroitement mis en lumière. Seul la fin donne de la vigueur au film avec des images d’archive habilement associées aux images fictives et une tension dramatique perceptible.
A part le casting de stars je ne vois pas ce qu'il y a retenir de ce film un script ininteressant des histoires parraleles inutiles comme si on avait d'abord choisi les acteurs puis imaginé des (mauvaises) histoires après. Bref on apprend rien sur "bobby" kennedy dans ce film dont c'esr quand meme le titre ! Un comble. Pas divertissant, pas interessant, long a eviter
Je ne suis pas la mieux placée pour juger le film puisque je n'ai vu que sa version "non définitive" présentée au festival de Deauville en septembre 2006. Mais elle m'a tout de même permise de me rendre compte qu'il s'agit d'un film sans beaucoup d'intérêt. Les personnages se confondent, il n'y a pas vraiment d'histoire, et en plus on connait la fin...rien de très palpitant donc!
L'affiche était alléchante et le thème particulièrement interessant. Au final on a une belle peinture de l'époque, les costumes, les coiffures, tout est véritablement soigné. Ses tranches de vie que nous propose Emilio Estevez sont plus ou moins interessantes et attachantes selon. Mais globalement l'ensemble est un peu trop éparpillé, pas assez captivant, avec de multiples longueurs. J'ai eu du mal à rester attentive, comme pas mal apparament je me suis même ennuyée. Le casting impressionant et le bon jeu des acteurs n'ont pas réussi à remonter le niveau.
Un film tellement ambitieux et boursouflé qu'il ne prend pas le temps de creuser les pistes, les personnages et les idées qu'il lance dans l'arène de son cinéma pour zappeurs.
Si le film a bien un mérite, cest celui de ne pas tomber dans les écueils classiques du biopic ou du film choral. Néanmoins, et bien quil sappuie sur une pléiade dacteurs plutôt appréciable, on nest jamais vraiment transporté par cet énième schéma dentremêlement dhistoires. Au fond, rien ne ressort, tout paraît bien fade, et ce discours nostalgique sur cette Amérique encore pleine de belles idées et despoir reste finalement bien trop convenu pour quil fasse vraiment palpiter nos curs. En bref, on se surprend à regarder la montre plus que de raison et on se désole au final que seul le dernier quart dheure mérite le détour. Un film pétri de bonnes attentions donc, mais qui manque singulièrement de souffle et de corps.
Je n'ai vraiment pas accroché...et bon sang ce que je me suis ennuyé...long et il ne passe rien. Un casting alléchant qui s'avère vite racolleur, de la poudre aux yeux. Dans ce film, Emilio Estevez fait revivre Bobby Kennedy par des images d'archives et à travers plusieurs personnages anonymes en montrant bien l'influence qu'il a pu avoir sur eux et l'espoir qu'il leurl inspirait. Mais franchement, ces personnages (trop nombreux selon moi) sont ennuyants et n'apportent pas grand chose. Et au risque de me répéter, bon sang ce que c'était barbant...des dialogues poussifs et peu inspirés. Ce qui m'a fortement déplu, c'est cette manière aussi poussive de restaurer le contexte de la fin des années 60 (post JFK, ML King, Vietnam) au travers des dialogues lourds. D'autres y sont arrivés de manière plus réussie et plus naturelle auparavant, Spike Lee dans Malcolm X, Olivier Stone dans JFK -comparaison inévitable-, Michael Mann dans Ali, ... 3 plans suffisaient à planter le décor et nous transporter. Et selon moi (j'insiste bien sur le fait que ce n'est que mon humble opinion tant les critiques sont élogieuses sur ce film), Estevez se vautre royalement. Il passe 1h30 à tenter d'instaurer un cadre, un contexte, et 30 minutes de "documentaires" présentant un angle de Kennedy, ce qui rend le film plus naïf qu'idéaliste.
trop de heros tue le heros ;voila la faiblesse du film ;il ya tellemnt d'histoirs imbriquees qu'il n'yen a presque aucune ;sinon une excellente rconstitution d'epoque et surtout de tres beaux passages de discours du senateur
Bobby est un film d'une rare mélancolie, sans nous ennuyer il nous transporte en juin 1968 grâce a une réalisation parfaite. Un casting ecxeptionnel passant de Shia Laboeuf, Anthony Hopkins, demi moore, ashton kutcher, joshua jackson, sharon stone, elijah wood, martin sheen, lindsay lohan et bien d'autre. Chacun interprétant un role crucial, des destin qui ne se rejoignent qu'à la toute fin, a l'assassinat de bobby. Une B.O sublime qui fait gravir ce film très haut dans mon palmarès. Merci Emilio Estevez pour nous avoir offert ce chef-d'oeuvre
Un film avec une pléiade de stars sous la direction et écrit par Emilio Estevez sur les dernières heures de la vie du sénateur et peut etre futur président des Etats-Unis, Robert Kennedy dit Bobby. Le film ne s'interresse sur les circonstances de la mort de Bobby mais sur les heures précédents avec une ambiance et une atmosphère d'esperance dans un palace ou devait se rendre le sénateur. De multiples personnages qui se croisent avec pour thème évoquant les sujets d'actualités de l'époque, le racisme, la peur de l'avenir, l'infidelité, la politique, le Vietnam, d'autres et j'en passe, sur un ton humouristiquequelques fois, touchant et bouleversant. L'histoire tourne autour d'un seul personnage Bobby Kennedy, les personnages sont secondaires mais vivants d'émotions, les acteurs et actrices, ne pouvant citer les noms de peur d'en oublier sont tous excellents. Un bel hommage de ce qui aurait pu etre une Amérique différente de la fin des années 60.
Il faut adhérer au parti pris, celui d'un étalage de personnages, leur vie, aussi simple soit elle, les échos de 68 aux USA et tout ce qui s'est déroulé cette année, en lien social avec eux pour aimer ce film. Parcours de gens simples de tout horizon qui se dirige à leur manière vers la fin d'un espoir (matériel et idéologique) d'un changement de politique aux USA. Tout nous apparaît comme inutile en développement des personnages, jusqu'à un certain climax du fil où tt ce lie. Estevez nous sert un film d'une réalisation sobre et simple, rien d'étonnant dans la mise en scène mais tout est centré sur la direction d'acteurs et de son petit théâtre qui est Grand Hotel. Film montant en intensité au fil des 2 heures. Le pari est réussi, on resent, se remémore les choses, réfléchit au son du dernier discours...Film utile et remplit d'émotions faciles mais humaines. Ne pas le voir comme un film patriotique mais plus comme celui d'un passé au contenu d'un idéal et d'une Amérique disparue