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chrischambers86
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2,0
Publiée le 9 septembre 2018
Vous connaissez l'expression : « Quand on a un filon, faut l'èpuiser jusqu'à la corde » . Sorti en 1942, "Mexican spitfire sees a ghost" est le sixième volet d'une franchise qui commence à s'ètirer un peu trop! C'ètait la vogue des comèdies de la RKO Pictures avec la toute fraîche et pimpante Lupe Velez! Connue pour son caractère impètueux, la volcanique actrice d'origine mexicaine semble beaucoup plus calme dans cette mouture. "Mexican Spitfire" avait amusè le public (pas difficile) en 1939! D'où une ènième suite qui amuse comme elle peut le même public (toujours aussi peu difficile). Un fantôme est passè...et puis s'en va [...] Les poils de chien en guise de perruque et l'armure d'un chevalier mèdièval qui se la joue « fantôme » dans un château qu'on dit hantè montrent les limites! Leslie Goodwins n'en oublie pas son Lord Epping alias Leon Errol, une fouine à face de morse, avec une rèplique qu'on retiendra : « L'argent n'a pas d'ailes, sauf quand on mise sur les chevaux ! » . Celui qui tire son èpingle du jeu, c'est finalement Donald MacBride dans la partie de poker...
Tout les principaux protagonistes, ou presque, de la série "Mexican Spitfire" se retrouve, dans ce sixième volet, dans une demeure occupé par des gangsters qui veulent faire croire aux occupants des lieux que la maison est hantée. Et si L'intrigue de départ est plutôt sympa et qu'il y a bien quelques passages rigolos, force est de reconnaître que le déroulement du récit s'avère finalement paresseux et somme toute assez prévisible. Mais fort heureusement, la tandem Lupe Velez - Leon Errol est en très bonne forme et la mise en scène suffisamment dynamique pour que l'on ne s'ennuie pas devant ce sixième opus.