Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
0,5
Publiée le 20 novembre 2012
Par rapport au deux premier opus, celui-ci est consternant, le film est fort centré sur le coté sentimentale, le football passe pratiquement au second voir au troisième plan. De plus nous avions des scènes de match admirable une qualité d'image énorme maintenant les scènes sont digne du premier amateur venu.
De plus on parle à la fin du 2e film que Harris peut être sélectionné dans l'équipe d'Angleterre si il fait un bon match en final Ligue des champions. Ici on ne sait pas ce qu'il est devenu, ni lui, ni Glen ( l'agent de Santi) ni la femme de Santi, ni sa famille et j'en passe.
Personnellement je retiendrai qu'il n'y a que deux Films: Goal
Sans défrayer la chronique, ce troisième opus de Goal se montre tout à fait correct et pour le moins relativement convaincant, bien que les scènes de football soient uniquement des reprises de la véritable coupe du monde de 2006. Par ailleurs, il est aussi malheureux que Kuno Becker ne soit pas plus convoité ici-même.
Décevant face aux deux volets précédents, le football reste le seul lien entre goal 1 et 2 et Goal 3 car Kuno Becker n'a qu'un role secondaire voir encore plus discret que sa. Ce troisieme volet ne suit plus le parcours du jeune Santiago Munez mais deux autres footballeur pendant la coupe du Monde. Le film n'est pas un fiasco mais quand même très décevant par rapport aux deux précédents. Cette trilogie se cloture sur une note peu joyeuse. Film un peu baclé, on a l'impression qu'il fallait juste faire une suite peu importe laquelle. A voir mais pas inmanquable...
Dans ma vie j'en ai vu des merdes mais des comme ça jamais ! La seule pensée qui nous vient à l'esprit le film finit est "mais pourquoi ?". Pourquoi un tel gâchis ? Une histoire pathétique, des acteurs en cartons, des scènes de foot sur fond vert d'un ridicule absolu, des dialogues à la limite de l'autisme... Rien n'évitera la noyade à ce troisième volet de Goal. Autant le premier est bon et le second passable, autant celui-ci est d'une absurdité à toute épreuve. Pathétique !
Même les pires téléfilm de M6 paressent bon à côté de cette grosse bouze, le seul film avec catwoman que je n'ai pas pu terminer, au bout d'une demi-heure on respire au voyant qu'on va enfin avoir une scène de foot et là on comprend qu'on c'est vraiment foutu de nous, si bien que a part les images d'archives les scènes rajouté sont ridicules car les acteurs sont vulgairements incrustés, le scénario lui ce n'est pas la peine d'en parler tellement c'est ridicule.
Dommage que la trilogie se termine sur un film médiocre . Le un était super le deu très bon le trois ennuyeux sauf a partir d' une heure. Le perso principal des 2 premier films devien un perso secondaire. De plus Glen Floyd et Kevin Harris disparaissent. Quel gâchis !
Ce film ne se veut pas du tout idyllique,car le hero des deux premiers volets ne va pas jouer la coupe du monde,car il est blaissé. Et aussi les deux nouveaux personnages principaux nous sont inconnus.Mais le film reste pas mal malgrès une grande diffèrence comparées à ces prédécesseurs.
Après un premier épisode qui s'intéressait à la Premier League anglaise et un second opus parlant de la Champions League, le 3 voit encore plus loin et vise la Coupe du Monde. Mais malheureusement, viser ne veux pas dire atteindre. En effet, ce troisième film est, et de très loin, inférieur aux deux premiers. Pour ainsi dire, les 20 premières minutes sont d'un inintérêt rare. Rarement, je n'avais vu des images aussi peu en adéquation avec le thème du film, surtout pour un troisième ! La fin, d'ailleurs, est un gros coup de pub pour une arnaque en fait. Le réalisateur, sans doute trop fainéant, se contente de reprendre les images du quart de finale de l'Angleterre et de les montrer (tel un simple documentaire) en ajoutant par la suite des images en post-production. Les faits historiques sont déformés, on voit le trucage, c'est mal fait. Une belle arnaque venant d'un film dont le niveau ne dépasse par le nombre de but français à la Coupe du Monde 2002 : zéro....