Un magnifique suspens de bout en bout jusqu'à ce que viennent gaché les 20 dernières minutes, incompréhensible dans le scénario, vraiment dommage le film aller droit au but.
"Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des cinéphiles" Voila ce qui devrait figurer sur ce DVD tellement honteux qu'il en devient involontairement drôle. Voir un Nicolas Cage sous lexomil cachetonner dans cette production apathique et bigarrée se révèle plus hilarante qu'effrayante. Neil Labutte, plus habitué aux comédies, nous afflige d'un thriller mou du genou qui ne ravira que les spectateurs déviants ou les nanardeurs chevronnés. Courage, fuyez ...
la fin n'est pas du tout une surprise. J'y avais pensé. suspense jusqu'au bout. Assez troublant. On s'étouffe dans ce film. je n'ai pas aimé le style parodie comme quant nicolas cogne. un peu débile.
Ah! qu'il est bon de se passer un nanar à l'américaine, persuadé d'être le nouveau chef-d'oeuvre de la décennie !! Le réalisateur manque terriblement pour mettre un peu de piment, un chouias de subversion, et du dynamisme dans une mise en scène qui semble désespérement vouloir nous jeter dans les bras de Morphée . Le film manque sensiblement d'originalité bref rien de bon a l horizon.
EXCELLENT, un scénario bien ficelé qui emmène le spectateur sur un terrain inconnu, une histoire qui nous prend par la main et ne nous lache plus, des personnages angoissant(e)s et un Nicolas Cage, comme à son habitude, magistral. Si certains ont une mauvaise approche du film, c'est forcément du à la fin dérangeante et angoissante, pour ma part, je dirais que ça nous change de tout ces happy end ! (ça me rappelle un peu "le village") J'en redemande !
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1,5
Publiée le 3 août 2019
On sent toujours le public mèfiant vis-à-vis de ces remakes faits « à la manière de...» , et lorgnant du côtè des machines amèricaines. "The Wicker Man" version 1973 ètait une oeuvre culte à la fois troublante et entraînante. "The Wicker Man" version 2006 est un film qui n'apporte rien de nouveau par rapport à l'original! L'intrigue est poussive et les personnages sont traitès dans un ton comique constant! Ce qui donne un curieux dècalage au mètrage! De plus, c'est jouè sans rèelle conviction (on n'a l'impression que Nicolas Cage est encore coincè dans les ruines du très mauvais "World Trade Center" tournè un peu avant) avec une enquête qui n'avance pas! il est justice d'ajouter que la grande Ellen Burstyn en guide spirituelle à la gomme rèussit le tour de force de nous faire rire aux èclats! Sans parler du reste, de Kate Beahan et de Leelee Sobiesky qui pratiquent la conquête d'ètudiants dans un pub où l'on reconnaîtra un certain James Franco!. Cage limite comme il peut la casse spoiler: et sa mise à mort est bien filmèe! Après c'est la soupe à la grimace...
Nicolas Cage dans un film dont l'histoire vire au ridicule en partant sur une île ou une communauté féminine y réside. Ca commence banalement jusqu'à que le dernier quart d'heure se pointe et ça tue tout le film, j'accroche assez bien à la prestation de Cage qui sois-disant il surjoue, un des seuls bon moments aussi ou il se fight avec Leelee Sobieski pas assez présente à l'écran, ou quand il donne des pains sur ses nanas complètement péter de la tête et à la fin lorsque il se retrouve dans le bonhomme géant en oseille il assure, mais c'est bourré de piste ambigu ou à force on ne pige plus du tout le parce que du pourquoi, des flashbacks dans la tête de Cage qui nous aide nullement. Remake raté...
Intrinsèquement le film n'a rien de la nullité dont certains l'affublent, mais c'est un remake, et il souffre de la comparaison avec l'original, et là ça ne va plus du tout. Le film d'Hardy en 1971 avait un fond, celui de de nous expliquer que toutes les croyances religieuses se valent dans leur absurdités. Dans le film de Labute, cet élément a complètement disparu ! Le film d'Hardy avait un ton résolument paillard et érotique (on se souvient de la fabuleuse danse de Britt Ekland), cela aussi disparu. Idem pour les jolies chansons d'inspirations celtiques. Le film édulcore donc tout ce qui faisait l'essence même du propos de son prédécesseur. Le film devient donc une simple enquête policière, alors que cet aspect n'était d'un prétexte dans le film de 1971. Tout n'est pourtant pas à jeter, quoiqu'on en dise Cage n'a rien de ridicule, l'idée d'y insérer en filigrane une critique du féminisme radical et à ce propos voir Cage boxer quelques camionneuses est même réjouissant. Et puis il y a la fin, rendons grâce à Labute de ne pas avoir trahi le beau final de son modèle et même de l'avoir renforcé quand on sait à qui appartient la main qui allume le feu ! N'empêche qu'il restera un mystère : Où Nicolas Cage a-t-il trouvé son vélo ?
Apparemment plus à l’aise dans les comédies légères et simplistes, Neil La Bute s’essaye avec ce remake du thriller fantastique de Robin Hardy tourné en 1973. Nous perdons grandement au change. En dépit des efforts méritants de Nicolas Cage, le spectateur ne peut que « décrocher » et s’ennuyer ferme devant l’incongruité de tant de détails de cette nouvelle intrigue, devant la vacuité de nombreux dialogues, devant l’aspect intempestif des visions intrusives du personnage principal. Allo, SOS sabotage ?
Voila un film étonnant, qui navigue habilement entre réalité et onirisme. L'angoisse est omniprésente, le mystère persiste jusqu'à une fin inattendue. Je ne comprends pas bien toutes ces critiques négatives. Peut-être est-ce trop subtil pour des jeunes gens dont la culture cinématographique se limite à quelques grosses comédies graveleuses et à une floppée de blockbusters désincarnés.