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Louis V
29 abonnés
198 critiques
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3,5
Publiée le 15 mars 2014
Malgré un scénario vu et revu , le duo Tautou/Gad fait mouche ! Le film est long mais il passe lorsqu'on le regarde à une vitesse folle . On prend plaisir à prendre le parti des imposteurs et les mimiques de Gad font toujours autant rire . On se laisse emporter dans ce monde pas si déplaisant du luxe et de la haute couture , bijouterie , gastronomie . C'est un film qui se forge une originalité par la passion que met l'auteur , ressentie par les spectateurs , par l'antithèse de l'expression populaire '' l'argent ne fait pas le bonheur '' . Loin du quotidien , ce monde plein de luxe et d'exces nous emporte , pour nous faire passer un moment admirable , avec le plus merveilleux des fanfarons , et la plus formidable des fanfaronnette . feat voltaire , comprendra qui pourra
Cette comédie romantique manque cruellement de rythme et ne vous attendez pas à décrocher un sourire. Plutôt bon public et adepte de Gad Elmaleh je donne quand même deux étoiles (et demie) car on passe quand même un agréable moment.
Film sympathique avec des pointes d'humour et de romantisme. Audrey Tautou et Gad Elmaleh jouent bien leurs rôles. Mais la fin est prévisible et le film ne m'as créé aucune émotions.
Une aventurière tombe sur un barman d'un grand hôtel un peu décalé. Voila une des meilleurs comédie romantique des dernières années avec l'arnacoeur. Le charme d'audrey Tautou et de Gad Elmaleh opère magistralement. Le scénario n'est pourtant pas époustouflant d'originalité, mais on marche, non on coure. C'est très sympathique, rien n'est très profond volontairement comme pour alléger encore le film. On dirait du Lubitsch c'est dire.
Film drôle, émouvant et "vrai" ! Une comédie rafraichissante. Le casting est parfait et joue à merveille, de plus le scénario est original. Une vérité sur l'amour tout simplement!
Voilà un film de Pierre Salvadori, centré autour d'un duo incarné par Audrey Tautou et Gad Elmaleh. Un gentil garçon bien timide et naïf, barman dans un grand hôtel sur la Côte d'Azur, fait la rencontre d'une jeune et belle Demoiselle... Son job ? Jouer les belles et grandes Dames à côté d'hommes mûrs au portefeuille bien garni. Son passe-temps ? Shopping, voyages et luxe au quotidien, en utilisant leur carte de paiement, évidemment! Cela n'aurait pas la même saveur autrement... Ce barman passe un soir pour l'un de ces hommes riches ! Or l'Amour est son Absolu à lui et son Revenu à elle !! C'est alors que l'histoire, leur histoire, prend vie !!! Mon sentiment ? Une jolie comédie française, avec quelques bons mots comme "il est 14 Diamants et quart" ou "Je souhaiterais... J'aimerais... Je...", des regards complices et quelques défis, qui rythment ce film ! Avec Glamour, Tendresse et Cynisme, entre Cannes et Monaco, du Luxe à la Luxure, ce film a au moins le mérite de nous transporter dans un Ailleurs...
Ce film n'est pas extraordinaire. On sent que ça aurait vraiment pu être ennuyeux à mourir. Mais le couple Audrey Tautou/ Gad Elmaleh fait mouche, leur jeu est irréprochable, particulièrement Tautou. Les gags font mouches, et même si on sait comment sa va finir, le réalisateur parvient finalement à placer le spectateur dans l'attente jusqu'au dénouement prévisible.
Hors de prix, c’est la comédie bien française qui rappelle d’un certain côté l’arnacoeur. L’histoire y est ici aussi légère, tendre. Les blagues sont plutôt bien pensées, font parfois rire. Surtout, le jeu d’acteur est sans prise de tête, simple, comme la réalisation, et en soit terriblement efficace. On y rajoute un BO qui réserve quelques bonnes surprises et le constat final n’est que positif…
Un film assez vain dans l'ensemble. Audrey Tautou est comme d'habitude insupportable, et Gad Elmaleh plus fade qu'à l'accoutumée. Ça se regarde sans trop de peine mais on est quand même soulagé de voir arriver le générique de fin.
En sortant de la salle un soir de décembre 2006, j'étais terriblement déçu de ce film au casting pourtant si prometteur. L'impression d'avoir vu un film mou, sans saveur particulière. Six ans plus tard, et après avoir vu et revu ce film à la télévision, je dois bien dire que ma position sur ce film a évolué. Il s'agit là d'un film qui se bonifie avec le temps, le duo formé par Audrey Tautou et Gad Elmaleh est très efficace, leur complicité est palpable et fait plaisir à voir. Certes l'histoire reste prévisible et l'intrigue n'est pas folle, mais cette petite comédie romantique n'en est pas moins charmante, et mérite d'être vue!
Etrange sensation en regardant "Hors de Prix", celle du "déjà-vu" ; six mois après "Quatre Etoiles", voici une nouvelle comédie française (le 19° dont je fais la critique depuis un an !) aux accents lubitschiens, ayant pour cadre les palaces de la Côte d'Azur et mettant en scène un duo qui se poursuit et se déchire. Hors de prix, c'est à la fois le train de vie auquel rêve Irène, Rastignac en robe Chanel, et la valeur morale de Jean évaluée par sa protectrice qui s'aperçoit qu'elle ne pourra jamais l'acheter. Car dans la première partie du film, pour Irène délibérément et pour Jean par la force des choses, tout est marchandise, à commencer par leurs propres corps.
Pierre Salvadori est coutumier de ces duos improbables, comme dans "Les Apprentis" ou plus récemment dans "Après Vous...". Et le personnage d'Irène évoque celui joué par Marie Trintignant dans "Comme elle respire". On retrouve bien dans ce film la réalisation assez élégante de Salvadori, qui a compris que le cinéma est avant tout l'art de dire des choses par des images ou par des successions d'images, et non pas uniquement la mise en valeur de quelques répliques : ainsi il utilise à plusieurs reprises les petites ombrelles des cocktails bus par les deux tourteraux pour suggérer en quelques images l'avancée d'une soirée bien arrosée.
Le duo fonctionne plutôt bien : Audrey Tautou joue enfin une vraie peste, et elle y met une énergie et une gouaille convaincantes. Gad Elmaleh est tout en retenue, peut-être un peu trop : le personnage aurait gagné à présenter un peu plus d'aspérité. A la suite de certains critiques, j'évoquais Lubitsch : on est quand même loin de l'auteur de "Sérénade à trois" ou de "To be or not to be". Si Salvadori posséde comme lui une sophistication et un sens de l'éllipse certains, il y a aussi chez lui une certaine indolence, tant scénaristique que stylistique, assez éloignée du sens du rythme constitutif de la Lubitsch's touch.