Derniers Avis : La Cité interdite - Page 27

Cette grosse m.. a le mérite de m'avoir fait rire tellement c'est grotesque (heureusement je n'étais pas le seul !)
Bref, les deux minutes de fou rire ne valent pas le déplacement...
Ce film est une GROSSE M....

Un film dont la bande annoce avait l'air assez attractive et qui ma finalement un peu déçu. L'histoire n'est pas forcement ce qu'on pouvait penser et l'on voit plus des intrigues de palais que des batailles. Mais cela n'enleve rien aux décors qui sont spectaculaires et à la musique franchement dépaysante, de plus Gong Li est simplement epoustouflante dans son rôle. Au final, un film à voir mais pas forcment au cinéma.

Voilà enfin un film qui change. Malgré un scénario qui ne présente pas un intérêt démesuré, on se retrouve quand même, plongé dans la Chine du Xème siècle, tenu en haleine par cette "histoire de famille" pour le moins singulière. Gong Li est belle à couper le soufle, les décors et les costumes clinquants et kitsch donnent une touche finale à un ensemble démesuré et kitsch.

C'est très grandiloquent, certaines séquences sont particulièrement absurdes et improbables, (le conseiller de la Reine qui débarque avec un grand sourire au beau milleu d'une bataille sanglante par exemple, pour sauver deux personnages)mais on se laisse emporter avec plaisir dans cette histoire épique et aux couleurs et aux images globalement très esthétiques.

Une des scènes de batailles (10 000 figurants) est dignes des "Deux tours", deuxième volet du "Seigneur des Anneaux" !

Les 2 heures passent sans ennui aucun, malgré peut être quelques longueurs tout à fait acceptables.

A voir donc, pour être transporté en d'autres lieux et dans une autre époque.

J'ai littéralement été enthousiasmé par ce film. Des décors somptueux, une tragédie épique, une histoire qui se dessine petit à petit, des acteurs de talents et inspirés (mention spéciale pour Gong Li).
Tout est réuni pour un très grand film. Je conseille de le voir en VO (mais cela est valable pour tous les films étrangers). Le film s'oppose totalement aux concepts hollywoodien. Cela me réconcilie avec le cinéma asiatique car le précédent film (élection 1) m'avait carrément refroidi. Allez bon film à vous et n'hésitez pas à braver les interdits (jeu de mot bien relou)

La Cité interdite est une déception. On n'y retrouve pas la verve ou le climat envoutant du Secret des poignards volants, et force est de reconnaitre que l'on s'ennuie pas mal dans la première partie. Mais alors qu'on pourrait être définitivement désorienté, Zhang Ymou finit de reprendre le controle et sauve les meubles. Car il faut tout de même reconnaitre le travail impressionnant sur les décors et les costumes, même si étrangement, cela ne prend pas tant que cela, et l'on n'est pas si émerveillé que l'on aurait du l'être. Finalement, le film vaut surtout pour ses scènes d'action, fort impressionnantes il est vrai, notamment la dernière, et le duo Chow Yun-Fat-Gong Li, convaincants dans ce couple "Shakespearien orientale". Des qualités donc, mais qui ne prennent pas vraiment. Dommage.

Une étoile pour l'esthétique! car si on note le reste le score risque de basculer dans le négatif. Un film qui se veut être théâtral mais qui lui manque presque tout. Un film chinois qui rempli bien le décors mais le fond est vain et doué de non sens: un dernier "ninja" de nouvelle génération, budget affolant pour ne raconter en fin de compte qu’une histoire dramaturge vide de tout et de sens.

Entrer dans cette « Cité Interdite », s’immerger au cœur du palais Impérial de la Chine du Xème siècle laisse des impressions paradoxales. Car dans l’enchantement des décors, des costumes aux couleurs emblématiques, au milieu du foisonnement de chrysanthèmes, qui, pourtant, n’éloignent pas le mal, le film de Zhang Yimou est un drame intemporel, une tragédie familiale aux enjeux de pouvoir et de domination. On en oublierait les décors pour se concentrer sur les visages, qui traduisent plus encore que les dialogues l’intensité des sentiments. J’ai pensé plus d’une fois au jeu des acteurs de films muets et au cinéma expressionniste devant la force des émotions dans un simple regard, un geste, un rictus ou un sourire aux milles nuances. Alors que les magnifiques batailles nous plongent en plein XXIème siècle avec leurs effets numériques et leur stylisation futuriste, alors que nous admirons leur virtuosité, leur poésie aux antipodes du réalisme, les intrigues de palais pourraient avoir pour cadre la Grèce antique ou l’Angleterre élisabéthaine. Des complots croisés, où les femmes, sous le joug de leurs époux, cherchent à survivre, puis trament leur vengeance, mais se heurteront à une organisation de la société qui ne leur laissera guère de chance d’émancipation. Dociles dans leur prison dorée leur existence s’écoulera dans le luxe et l’ennui, mais qu’un grain de sable entre dans les rouages, qu’un lourd secret surgisse, que du passé remonte un crime impuni, et tout cet ordonnancement séculaire risquera de s’écrouler. Les rebondissements ne le cèdent en rien à un thriller, les personnages des fils pourraient être actuels, la femme du médecin, experte en arts martiaux, est époustouflante. On se repaît de tous ces anachronismes assumés, bien loin de l’ironie exercée par les critiques pour des raisons tout autres que cinéphiliques. Gong Li, Man Li et Chen Jin donnent aux personnages féminins, prisonniers du rituel mortifère, un relief tout particulier.

Magnifique le visuel est a coupé le souffle , l'interpretation estb imperiale Gong Li en tête et le film devient une tragedie de l'amour et de la mort sur fond d'inceste et de trahison, subtil, jouant avec tout les ponctifs et les codes du genre sans en abuser, cette cité interdite est une excellente surprise, un grand film d'aventure passionant, palpitant,un mélodrame flamboyant et sanglant, une oeuvre qui malgré une mise en place des enjeux un peu longue est une vraie bonne surprise, seul vrai hic la VF IGNOBLE, allez le voir en vo si vous pouvez.

cela faisait vraiment longtemps que je ne m'étais pas emm**** à ce point là....
ok, c'est beau esthétiquement, mais quand l'intrigue mets si longtemps à demarrer, c'est terrible...
la bande annonce est trompeuse. En fait, le film, c'est tres tres peu de combats, bcp de blabla pour rien.
le film est long, long, long, long, loooooong !
Allez, une étoile juste passque j'aime bien chow yun fat...mais bon, je vais immédiatement allez me voir hard boiled ou il etait une fois en chine, ça me reconiliera avec le ciné asiatique.

Etonnante ambiance qu'est ce huit clos aux centaines de figurants.
Le réalisateur Zhang Yimou, habitué des films de sabre (pour les plus récents) en ayant présenté « le secret des poignards volants » et « Hero », ne déroge pas à ce thème. Toutefois moins spectaculaires que les deux précédents, il nous propose cette fois un film plus sombre au coeur de la famille impériale.
Pouvoir, passion, respects de la famille et des traditions de la chine ancestrales, tels sont les thèmes majeurs abordés.
On y retrouve deux visages connus des films chinois présentés (entre autre) en France : le majestueux Chow Yun-Fat et la magnifique Gong Li.
Complexe et intérieur, ce film ne vous comblera pas autant que les précédents en virevoltes et grandes actions, mais titillera sans aucun doute votre sensibilité et fera naître en vous un certain émerveillement.

Loin de finir dans le kitsch et le too much, je trouve personnellement que tout ce luxe chatoyant de couleurs et d'éclats dorés se justifie et sert le film. Chaque scène devient un vrai tableau ! Les enfilades de colonnes tantôt rouges, roses ou bleues dessinent des perspectives parfaites dans lesquelles se mouvoient les personnages. De magnifiques plans à travers des stores d'une finesse remarquable viennent compléter l'ensemble et renforcent les jeux de transparence et de lumière dans ces tableaux. Les costumes sont à la hauteur des décors, chargés et luxueux. La Chine au Xème siècle, une époque sous le signe de la démesure avec une architecture monumentale, loin de l'échelle humaine. L'or, apparenté aux dieux, symbole du soleil sur Terre, domine. Associé à la couleur rouge comme métaphore de l'ambition qui déchaîne les passions et fait couler le sang. Le chrysanthème d'abord enigmatique puis poétique et métaphorique. La fleur d'or qui évoque pour moi la vie et la mort. Yimou nous chorégraphie tout, du simple geste de la main aux combats. Un récit qui se construit sur les bases mêmes de la tragédie. Il soulève les questions du destin et des secrets, du destin qui s'acharne contre l'homme, du secret inavoué qui, entre les mains du cruel destin, se retournera contre lui. La tragédie repose sur les intrications entre les personnages. Tel un jeu d'échec, seul celui qui saura anticiper les mouvements de ses adversaires triomphera. Et méfiez-vous, chaque pion aura son rôle à jouer. J'aime vraiment beaucoup ces scénarios où les personnages, même secondaires, interviennent de manière cruciale dans l'histoire. Bref une véritable toile de la tragédie, mettant en jeu des rapports de force, des passions et des ardeurs jusqu'au-boutistes au nom de l'honneur et d'ambitions plus personnelles, servis par des acteurs magnifiques. En résumé, j'ai beaucoup aimé (oui, tout ça pour ça). C'est le genre de cinéma qui transporte et qui fait rêver, c'est bien tout ce que je demande.

un tres grand film avec des decors et des costumes magnifique, la tres belle gong li est magnifique en reine vengeuse seul point negatif l'histoire des fammilles est trop compliquer

franchement le film est beau sauf que durant 1 heure on a le méme décort est sa lasse puis la présentation des personnage principaux mange la moitié du film le scénario limite (ésprit chinois ou japonais) puis la fin est tiré par les cheveux et vite fait mal fait sinon pour pas vous enmerder aller voir autres chose

Aucune raison pour 0 etoile. C'est tout.

Pour moi, c'est l'intrigue qui fait défaut au film. Non pas qu'elle soit dénuée d'intérêt (sauf pour ceux que les histoires de rois et de reines, de lutte de pouvoir, de complot et de rivalité amoureuse n'intéressent pas), mais plutôt à cause de qqls longueurs et parce que tout est dans l'excès. Avec ce film, Zang Yimou n'a pas peur d'en faire trop et assume. Ses acteurs surjouent (sauf Gong Li - mais sans doute que c'est le doublage français horrible qui donne cette impression). Mais le spectacle est au RDV et le film est littéralement somptueux (décors, photo et costumes). C'est aussi ça le cinéma : une recherche picturale. Et puis il y a Gong Li, qui incarne l'impératrice avec classe et autorité.