Derniers Avis : La Cité interdite - Page 23

Cette production est très en dessous des chefs d'oeuvre de ce réalisateur , le jeu des acteurs est complètement artificiel, c'est une tragédie qui tourne à la tragédie burlesque et grossière .
Le manque de rythme de l'histoire est vraiment pesant, , au bout d'une heure et demie, j'ai quitté la salle estimant que je n'avais pas de temps à perdre ,
une très grande déception

S'il existait un critère avec 5 étoiles, c'est celui-ci que je lui donnerai. Décidemment Zang Ymou n'a de cesse de nous faire rêver. Décors, costumes et acteurs somptueux. Allez le voir si vous ne l'avez déjà fait

Trop de décors, trop d'couleurs, trop d'figurants, trop d'intrigues superflues .... bref quelle débauche de moyens et d'énergie pour un fond si creux.
Si la Chine a de l'argent à mettre dans le cinéma, qu'elle regarde où elle place ses pions.

les décors et les costumes sont magnifiques, dommage que la lumière soit piquée (mauvaise copie, mauvais écran ??). La scène de la bataille est fantastique et belle en tous sens du terme.
Mais le reste ? Rien, le scénario sonne creux, les scènes d'action lentes à venir et trop rare...
Si vous n'êtes pas fans de films asiatique, n'y allez pas.

Sous un déluge de dorures, de poitrines gonflées, de bastons bourrines et de fourberies bien inutiles, Yang Zimou torpille proprement un projet qui semblait pourtant bien alléchant sur le papier. Pensez donc, Chow Yun Fat et Gong Li dans une superproduction historique en Asie, ça faisait un peu baver. Hélas, loin de leurs prestations habituelles qui les ont fait entrer dans la légende du cinéma asiatique, les deux stars tentent de faire croire en l’existence de deux personnages aussi antipathiques qu’inintéressants au milieu d’une tripotée d’acteurs encore bien plus mauvais. Du très mauvais cinéma chinois donc, tel que fantasmé par l’occidental moyen et dopé par des intentions politiques suspectes menées de concert par le réalisateur et ses commanditaires étatiques. Point de subtilité, une réalisation décousue (un comble !), une surenchère de trucs qui pètent pour épater le gogo moyen (des seins, des gens qui volent, des dorures, des non-dits connus de tous les protagonistes) étalés en huit couches le long d’un récit remarquablement linéaire et sans réels tenants et aboutissants. Hero est passé par là et s’impose à tous les niveaux très au-dessus de ce qui pourrait bien être le plus gros produit marketing ciné jamais fait du côté de la Chine. Fuyons cette horreur et reprenons nos galettes à peine ternies de vrais films de sabre hong-kongais. Non mais !

L'atmosphère de ce film est étouffante, 90% des scènes sont en intérieur, sublime de couleurs cela dit. Et lorsque dehors la bataille fait rage, arts martiaux et horreurs de la guerre se mélangent. C'est l'histoire d'une dynastie, terrible. On est loin du gentil "Hero" du même auteur. Une sorte d'opéra. Unique.

Pour son film le plus couteux jusque là, la Chine nous sort un drame pseudo Shakespearien se déroulant au X° siècle. Complots, trames, trahisons, liaisons ambigus, tous les clichés sont là. Malheureusement Zang Yhimou n'a ni la profondeur ni le talent pour réaliser une telle oeuvre. Aussi, comme lui, on restera de marbre devant cette histoire qui aurait pu être très intéressante, avec en plus, un duo de choc: Chow Yun Fat et Gong Li... La rigueur sans la saveur donc, c'est ce qui conviendrait le mieux pour définir ce très "beau" gâchis. En effet, si on peut repprocher à "La citée interdite" d'être complètement vide de sentiments, on ne pourra pas ne pas s'émerveiller devant tant de beaux décors, de beaux costumes et de (rares) beaux combats. Un coffre d'or cruellement vide.

Film géniale, un bon scénario. Les acteurs parfais un film à voir et à revoir meme si la fin est un peu dommage.Les décor et costume magnifique

Décidement les films chinois ne m'accrocherons donc jamais?Après Hero qui avait été un ennui total je pensais en voyant la b-a qui etait alléchante que Mr Zimou me convaincrait largement. Et bien non, ce film qui a pourtant du potentiel est bourré de dialogues qui méne a rien, il se cache sans cesse sous ses belles couleur d'or qu'on nous expose avec fierté pendant deux longues heures, alors bien sur c'est l'histoire de la chine qui est comme ça mais ce n'est pas au gout des Europeens. Il y a beaucoup trop d'effets spéciaux inutile et même quelque fois grotesque(un superbe ralenti sur un acteurs qui enleve son manteau). Cet chine ou, des esclaves s'exécute au moindre geste ou parole du roi et de la reine et font les mêmes manières pendants toute la durée du film(j'ai entendu dix fois "vous sortez...") Les acteurs n'ont pas beaucoup de présence ce qui enfonce encore plus cet aventure. Le film est formé de certaines incohérence comme une femme qui vient se présenter au roi toute amoché, coloré de sang ne pouvant presque plus marché et qui galope 5 minutes après, quand elle voit que sa fille s'enfuit. Je trouve ça malheureux car les scénaristes et l'equipe de tournage ont bien travailler les scénes de bataille qui sont dynamiques, inédites et même passionnantes.en quatre mots:"tout ça pour ça".Décevant!

C'est beau, c'est bien, mais qu'est-ce que c'est long à partir....

Rivalité, pouvoir, tragedie, combats: c'est de cette façon que nous a été vendus ce film. Il s'avére que le scenraio est plus que leger, les dialogues sont à la limite du ridicule et c'est long mais vraiment trés long on s'ennuie ferme et on espére durant ces 21 heures un rebondissement.L'histoire est coussue de fil blanc et on connait la fin dés le début du film.
Le peu de scenes de combats du film paraissent bien trop moderne pour cette époque et font couler trop de faux sang.Je mets une étoile pour la beauté des costumes et des décors, decors qui quand meme lasse au bout de 2h!!! Ne perdez pas votre temps.

Zhang Yimou , le réalisateur du chef d'oeuvre " épouses et concubines" a fait beaucoup mieux.
La débauche de couleurs et d'effets spéciaux est parfois de mauvais gout.
Les décors sont souvent des décors de synthèse
obtenus vraisemblablement par ordinateur.
La fin s'apparente un peu trop à un jeu vidéo.
Les costumes et le jeu des acteurs sont cependant
superbes.

La cité interdite devait ressembler à bien des choses... sauf à ça... on se croirait dans le palais de Barbie ! J'imaginais me trouver devant un véritable film historique, conçu pour une fois par des chinois, je me suis retrouvé devant une énoooooorme production à l'eau de rose (fluo...) NAVRANT !!!!

Yimou s'améliore dans le genre que tigre et dragon a su remettre à l'ordre du jour. La cité interdite à l'originalité de fonctionner sur le mode de la tragédie grecque (et non pas schakespearienne comme l'ont dit certains critiques). Tout se passe dans l'immédiateté, en une seule journée où tes les événements les plus extrêmes ont lieu jusqu'à la reconnaissance ultime, lorsque tous les secrets sont dévoilés. Nous spectateur éprouvons de la pitié et l'émotion est très palpable. Gong Li illumine le film de sa grâce infinie et de sa beauté décidément impérissable depuis son premier film avec son réalisateur fétiche: le sorgho rouge. Toute en retenue et en justesse, l'actrice a trouvé l'un de ses meilleurs rôles avec ce fantastique personnage de reine maudite et victime. En conséquence, Chow Yun Fat est quelque peu eclipsé, pourant dans un rôle inhabituel. Notons evidemment cette sublime esthétique dans les décors et les costumes avec des couleurs dominantes, l'or et le rouge. Moins d'action cependant malgré quelques scènes inoubliables (les ninjas volants aux masques de théâtre grec!). Répétons-le, ce film a tout d'un nouvel oedipe roi version chinoise et dégage une intensité folle. Bref un film très beau visuellement qu a recours au classique originel dans sa construction, ce qui n'est pas plus mal. Une fresque impressionnante.

La présence au générique de stars comme Chow Yun-Fat et Gong Li allait-elle permettre à Zhang Yimou de redresser la barre après le désolant Secret des poignards volants ? On pouvait l'espérer, et les décors somptueux offerts aux yeux des spectateurs constituent une belle entrée en matière... avant que tout ça se ramasse lamentablement la gueule ! Rapidement, on se rend compte que le réalisateur a tout misé sur l'image, sans se soucier de donner une quelconque consistance aux personnages (hormis les têtes d'affiche, les acteurs manquent en outre cruellement de charisme) ou de développer une intrigue un tant soit peu originale. Ce qui se voudrait un drame royal grandiose tient plus de la soirée diapo de chez Connaissance du monde, sur le thème Tentures, voilages et tapis : les textiles bariolés dans la Chine d'antan. L'histoire est prévisible et ennuyeuse, le traitement bavard et répétitif au possible, les combats pas terribles, la musique insupportable, Gong Li (constament dans le surjeu) passe le métrage à faire de la broderie, Chow Yun-Fat, afin de bien faire comprendre la majesté de son personnage, concourt pour le titre de l'homme se tenant le plus droit du monde, mais c'est lorsque le film veut basculer dans l'épique qu'on touche le fond, avec un feu d'artifices d'effets numériques mal maîtrisés (au lieu de multiplier les plans à effets cheaps, ils auraient mieux fait de miser sur un nombre restreint, mais avec des CGI finalisés), et quelques séquences théâtrales bien ridicules (un plan de Chow Yun-Fat digne d'une pub pour Head and Shoulders !). Les seuls atouts du film étant dévoilés dès le début, on a largement le temps de ruminer sa déception avant la libération offerte par le générique de fin.