Derniers Avis : La Cité interdite - Page 21

Très bon film que j'ai vu en VO. Scénario bien construit, intrigue soutenue, du grand cinéma avec de grands moyens. L'actrice principale est talentueuse. Une histoire familiale compliquée, avec tension, mensonges et trahison...Celui qui "gagne" n'est pas forcément celui qu'on attendais...Ce n'est pas une morale à "l'américaine"
A recommander vivement

excellent film. Très grande maîtrise du réalisateur. Intrigue, rebondissements, émotion, pulsions, esthétique, drame cornélien, jeu des acteurs: du grand cinéma!

De beaux costumes, de beaux décors, des acteurs convaincus, mais un ensemble peu convaincant. Le sénario très mince, de nombreuses scènes improbables voire farfelues, et une débauche de violence sur la fin... A déconseiller aux âmes sensibles et à ceux qui en attendent beaucoup.

Bon je me suis dis au début "aller pourquoi ne pas mettre 4 étoiles"...et bien non.
Tout d'abord car la fin est très déçevante : On ne sait pas quel est l'avenir de certain personnages pilié de l'histoire, on a même pas droit a un résumé par écrit...
Bon sinon les costumes et décors sont somptueux, la B.O très représentative de cette Chine de Xeme Siecle et puis bien sur Gong Li toujours aussi puissante et magnifique.
On suit le film du début a la fin avec un grand interet ce qui aussi joue dans la note.
Mais en bref, un film dont l'esthétique est très belle mais qui parfois traine en longueur et bien sur on reste sur notre fin.

Le foisonnement et la richesse des premières scènes sont flatteurs. Un peu trop peut être. Le ravissement du regard cède vite la place à l'écoeurement puis à l'ennui. Les scènes d'actions sont trop rares pour sauver cette navrante histoire de chatelins consanguins en un film d'aventure qui aurait été moins pénible. La dimension humaine que l'on aurait pu attendre d'un film de ce genre n'est que survolée. Cette épopée prétencieuse prouve une fois de plus qu'un débauche de moyen ne suffira jamais à faire un bon film. Sauf pour les passionnés du genre, à éviter.
Je met tout de même une étoile pour l'équipe technique.

On va pas s'étaler 50 ans sur ce film, autant aller à l'essentiel : ce film est vraiment chiant !

Le scénario est totalement débile et poussif. Le rythme est totalement absent, on subit tout au lieu d'être émerveillé. Les acteurs sont tous sur le même jeu, on ne ressent aucune personnalité propre à chaque personnage. C'est comme si on avait multiplié un bonhomme et qu'on lui avait attribué différents objectifs à chaque fois.

Niveau image, si les couleurs sont jolies (seul bon point que je trouve à ce film, d'où le 1 étoile), on frôle le ridicule. Des plans qui se veulent stylés mais qui sont lourds, des univers totalement vide de toute évocation épique malgré les efforts fournis (plans de baston vu, revu, et rerevus à la Lord of the Ring), une réalisation ultra répétitive, donc rébarbative... Bref, le nombre de défaut de caméra et de goûts serait trop longs à énumérer...

C'est simple, j'étais en forme avant le film, et j'ai quand même réussi à zappé 10 à 15 minutes à force de me retenir de pioncer, alors que la bande annonce m'avait franchement alléché !


Un film prétentieux et laid, malgré une bonne cohérence colorimétrique, c'est possible, et ça s'appelle la Cité Interdite ! Je n'ose même pas imaginer le fiasco que ça doit être en VF...

Ce film vaut avant tout pour l'esthétique et le spectacle. Les combats ne sont pas tant mis en avant, mais le tout m'a semblé un ballet dramatique qui, s'il ne touche peut être pas énormément, impressione. Pour les mordus de culture chinoise, à voir pour les décors délicieusement kitchisés et les objets, rites et autres symboles présentés ici d'une façon un peu irréverencieuse mais savoureuse.

Le point fort de l'oeuvre ne réside pas dans le scénario, épuré, mais dans sa richesse esthétique. En effet, outre la finesse des décors et des costumes, La cité interdite regorge de plans esthétiques, ordonnés et symétriques façon très Kurosawa (un peu trop ?). Finalement les dialogues importent peu et l'histoire passent au second plan, car la richesse visuelle suffit à elle même... Un plaisir de revoir Chow Yun-Fat après sa période médiocre chez l'Oncle Sam...

Des decors de grande beauté,voila se qu'on dit au commencement.
Puis il ya aussi des acteurs de Talents ( Gong Li, Chow Yun-Fat )
On peut aussi rajouter le sens artistiques des scenes de combats; mais voila c bien tout se qu'on peut endire de cette amalgame de couleurs.
le scenario est vide, il traine les pieds pour arriver à une fin previsible.
Quel gachie,on s'attendait a mieux apr le realisateur de " hero".
Passez votre chemin à moins que vous aimez les films à moitier fini.

Un film vraiment décevant. En allant le voir on s'attend à voir la vie dans la cité interdite au moyen âge, à voir des personnages charismatiques, quelque chose de traditionnel au lieu de quoi on a le droit à du kitch mal interprété par des personnages qui ont plus l'air d'adolescents contemporains, mal dans leur peau, en plein carnaval que de véritables princes d'époque.

Les combats qui ponctuent ce film rattrapent à peine le tout. Rien de brillant finalement au point que j'en suis arrivé à m'ennuyer (ca ne m'était pas arrivé depuis des années).

Au final la fin me fait pensé à celle du film Hero, le pouvoir actuel reste en place. Vraiment regrétable.

Le cinéma reprend ses droits ou plutôt sa durée longue qui la différence du petit écran. Durée perçue souvent comme languissante mais d’une manière involontaire, ce qui ne sera pas le cas de la nouvelle réalisation de Zang Yimou après LE SECRET DES POIGNARDS VOLANTS (2004) qui m’avait semblé vain et HERO, sorti un an avant, raté.
Le retour est un film en costumes richement parés, aux décors flamboyants de couleurs et aux scènes de combat stylisées. Les moyens n’ont pas manqué et l’imagination non plus. L’ambiance est issue d’une pièce de Shakespeare transposée dans la Chine du Xe siècle où le cruel Roi rentrant de guerre doit faire face à un complot de sa femme, qu’il empoisonne à petites gouttes. Ses trois fils voulant ou pas le trône, devront affronter leur père et prendre position vers une fin où personne ne maîtrise l’ensemble.
Après donc le classique film de sabre, c’est à une histoire familiale dramatique et meurtrière que nous allons assister dans la cité interdite. Si la première partie, présentation des personnages et de la situation, nous présente le rituel journalier d’une famille royale, avec une mise en scène en intérieur, la seconde sacrifiera tout de même à quelques scènes de combat chorégraphiées intéressantes (dont la descente des hommes en noir, telle une nuée d’insectes). Le combat final rappelle la technique du général dans GLADIATOR mais plus stylisée que violente.
Plus que tous ces secrets, ces révélations, le film est d’abord un écrin pour Gong Li qui montre son talent dans un rôle dramatique. La caméra jouant avec les rideaux de bambou, les parures de chaque personnage et surtout la couleur. Bien que vives, c’est celle du noir qui reflètera l’issue finale. En amenant mieux les scènes de combat, en donnant une structure intéressante à son scénario, Zhang Ymou arrive à captiver notre attention même si la forme comme l’écriture restent qu’un exercice de style.

Il ne se passe absolument rien, film lent et sans action. J'ai dormi un quart d'heure, avec 4 cafés et quelques coca dans le ventre, en pleine après-midi... Nous étions 6 à y être allé, étant fan de ciné, mais nous avons tous été fortement déçu.. De plus, le scénario n'est pas très original et convainquant. Une étoile pour les décors qui sont magnifiques.

Du grand spectacle.
Une Gong Li superbe.

Les Décors comme toujours dans ce genre de film sont somptueux et le scénario est digne d'une grande tragédie grecque.

Sorte de Huis Clos dans lequel on s'immerge avec plaisir, La cité Interdite bien que ce ne soit pas le film du siècle pour moi, est un film très divertissant, très agréable à regarder. Un film de cinéma.

Ce film c'est une histoire avant tout alors si vous ne vous attendez qu'à voir des prises de kung-fu(je veux dire QUE ça parce qu'il y en a quand même)n'y allez pas.Il y a toute une histoire, toute une mise en scène et c'est magnifique.

Intrigues, complots et drame shakespeariens façon « Hamlet » pour cette fresque visuellement somptueuse et grandiose, parsemée de chorégraphies martiales orchestrées par Ching Siu Tung, des combats dont l’apothéose reste la gigantesque bataille finale entre l’armée impérial et celle du prince rebel. Il faut vraiment être un triste rabat joie pour bouder son plaisir à ce spectacle.