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Un visiteur
1,0
Publiée le 2 janvier 2007
Surfants sur la mode du film d'horreur japonais, " la mort " surfe entre ridicule, ennui et mauvaise blague. Les effets sont éculés, les acteurs des plus maivais et que dire du scénario qui nous laisse tout penaud.
Déroutant au première abord, le film a de quoi suciter le doute. L'histoire est certes peu banale, mais difficile à croire que l'on puisse tirer quelque chose de surprenant avec un tel scénario. Et pourtant, si le début du film peu laisser perplexe, c'est pour mieux nous surprendre par la suite. Savoureux mélange de Ring et Dark water, le réalisateur utilise un moyen de communication devenu inévitable (le téléphone portable) pour nous faire frissonner, et ca marche. L'ambiance et la mise en scène sont tellement réussie, que le réalisateur arrive à nous maintenir sous pression du début à la fin. Grandiose.Dring Dring.....
Takashi Miike réussit largement à éviter l'écueil du "clone de Ring" avec ce film qui ne fait pas peur, mais qui apporte son lot d'ambiance et d'effets perso. Aux détracteurs qui trouvent que les acteurs jouent mal : ayez au moins la décence de voir les films asiatiques en VOST,on en reparlera après...Et sinon, Kô Shibasaki est divine :) ...
Ca suffit! Depuis the Ring, on nous asphyxie avec le film d'horreur Asiatique formaté, préchi...é et bien laissez moi vous dire que celui là est pas bon du tout. Simplement raté. Pourquoi? Et bien tout d'abord parce qu'il est hyper, mais hyper mal joué. Ensuite, parce quil est hyper, mais hyper mal écrit. Répliques à deux balles (la version Française, c'est encore pire...) et faux sentiments. Dommages, car cela aurait pu (comme pour the Island) être un très bon film. Ce qui m'empêche de ne pas mettre 0: quelques plans astucieux, certaines scènes de fin et le rebondissement final, si l'on est indulgent et néophyte. Cependant, le thème sous jacent de l'enfance mal traité n'est pas du tout mis en valeur. Et c'est bien dommage! Le film s'en serait trouvé plus intéressant. On attend de voir, quel remake pathétique les Usa vont en faire.
Dans la lignée de Ring, La mort au bout du fil nous fait plonger dans de sombres eaux. Angoissant, ce film ne nous laisse pas une minute de repos, des morts qui reviennent de l au-dela, un téléphone qui annonce la date de vôtre mort et des acteurs qui ont réellement l air terrifiés. Le cinéma asiatique fait encore très fort et prouve qu il a encore de beaux jours devant lui. Seule critique, le film aurait gagné a avoir moins de longueur.
Ridicule, ce film est tout simplement ridicule, on s'ennuit du début à la fin. J'aurais du m'écouter et quitter la salle au bout de 10 minutes (le début du film est vraiment nul) mais au lieu de cela j'ai persisté jusqu'a la fin (qui est hélas du meme niveau que le début). Il n'y a rien qui rattrappe le film, pas meme les (pseudo)scènes d'angoisse toutes plus prévisibles les unes que les autres! Le senario est bidon, les acteurs aussi ... Une perte de temps (et d'argent), n'y aller pas sous peine de crise de nerf (je parle en connaissance de cause, je suis quelque peu aigri d'avoir perdu 2h et 7) UN FILM A OUBLIER!!!
Amateur de navet nippon en voici un bon exemple. Aucun scénério qui ne tienne debout, de mauvais acteurs qui n'inspirent que l'ironie . Pas une sensation de surprise ou de peur.Seul bon point l'ambiance sonore du film... Ca ne fait pas beaucoup de bon point pour payer huit euros...
Film très bon ! Engoissant même. Seul "hic" il est un peu long à démarrer au niveau suspens ! Ce qui lui coûte 1 étoile. Film à voir et même à revoir !
Super flippant! Bon, c'est sûr, on retrouve les codes instaurés par ses prédécesseurs, "Ring", "Dark Water", "Ju-on"... La malédiction, le fantôme feminin aux cheveux sales, les apparitions au travers la technologie (ici le téléphone portable)... Mais il est tellement bien fait... énérgique et il y a des effets spéciaux incroyables... N'hésitez pas à affronter ce ptit bijoux Nippon.
Si Miike possède l'insatiable capacité d'innover sans cesse dans son répertoire, il le fait avec un bonheur inégal. Avec LA MORT EN LIGNE, il s'attaque au phénomène asiatique des ghost movies en pillant maints éléments scénaristiques de trois films en particulier, à savoir RING, THE GRUDGE et DARK WATER. Certes, la réalisation - irréprochable - demeure sans doute possible à ce jour l'une des plus soignées et l'une des plus élégantes de lauteur de DEAD OR ALIVE: la photographie est sublime, tout comme la teneur filmique de lensemble; hélas, ceci ne suffit pas (toujours) à nous captiver, car, après une première demi-heure soutenue quoique sans grandes surprises, le tempo sombre dans une léthargie achevée et le récit patine inlassablement dans le vide. L'autre inconvénient réside dans le fait que Miike n'est pas Hideo Nakata, et il lui est nettement plus difficile dinstaurer un véritable climat d'angoisse persistant, contrairement à ce dernier. Toutefois, LA MORT EN LIGNE ne démérite pas tout à fait sur ce point, puisqu'il réserve de but en blanc d'ultimes vingt-cinq dernières minutes en roue libre, dans lesquelles quelques scènes-chocs franchement impressionnantes viennent relever la sauce; ce parti pris rappelle par ailleurs le dénouement d'AUDITION (l'un des chefs-d'uvre du réalisateur), dans le sens où le tissu de l'intrigue se découd subitement pour mieux malmener le spectateur dans un délire horrifique malsain et pourtant très premier degré en guise de point d'orgue. Une compensation satisfaisante, mais qui n'empêche pas ce métrage de figurer au rang d'un Miike mineur. En conclusion, un film brillant du point de vue esthétique, mais dont la vacuité et le manque d'originalité déçoivent forcément, surtout de la part d'un cinéaste aussi gratiné.
Ce film n'évite pas les défauts inhérents à la plupart des films de Takashi Miike (notamment The Audition), à savoir une première heure où il ne se passe rien (à ce prix là, autant se mater Derrick et Le Renard, le résultat est le même: on se fait chier!), pour s'énerver dans la dernière demi-heure (avec quelques plans bien flippants). Le film propose pourtant quelques scènes intéressantes, comme la séquence de l'émission de tv, ou la dernière partie dans l'hopital désaffecté (ce passage m'a d'ailleurs rappelé l'ambiance de Silent Hill). Mais bon,c'est vrai que les films de fantomes asiatiques, on commence à en être inondé, et La Mort En Ligne affiche beaucoup trop de défauts pour concurrencer des chefs d'oeuvre comme Ring, 2 soeurs, ou The Grudge.
Je n'ai pas le film The ring mais apparemment à en lire les autres critiques cela y ressemble beaucoup!! Mise à part ça ce film reste plus que moyen, on ne sort plus de ce genre de film, Phone Game Cellular maintenant la mort en ligne!! Le jeu des acteurs est très mauvais mis à part le rôle de Yamashita qui doit sans doute avoir beaucoup plus d'expérience cinématographique que cette jeune fille qui ne fait ressortir aucune émotion; c'est surjoué bref, on y croit pas! L'attribution de mon étoile est simplement du au fait que l'on arrive à faire des subresauts de surprises! C'est tout! Très déçu!! Christophe.
Bien loin d'un Audition ou d'un Gozu, La Mort En Ligne est effectivement le plus mauvais film de Takashi Miike à ce jour... Pas de scène déjantée ou d'esprit potache faisant le style incroyable de Takashi Miike et c'est bien dommage car La Mort En Ligne contient quelques scènes chocs malheureusement enfoncées par des longueurs interminables et un scénario incompréhensible. Reviens à ton cinéma perso Takashi...
Bien que cela paraisse un peu emprunté à d'autres, que ça ait aussi un air de déja vu dans la veine de Dark Water, il faut néanmoins reconnaître que le travail n'a pas été tout à fait bâclé. L'idée n'est pas mauvaise au départ, à l'instar du virus troyen qui se propage par la liste des adresses eamil dans l'ordi où il se loge, la cascade des appels d'un téléphone à l'autre laisse entrevoir des potentialités qui sont hélas sous-exploitées. Le jeu de l'actrice principale est trop appuyé mais fait penser au théâtral traditionnel japonais. Quelques incohérences de scénario et un montage parfois mal ficelé concourrent à affaiblir l'ensemble j'aurais mis 2 étoiles et demie.