Excellent vielle version du docteur double moi je face pile Jekyll Hyde, célèbre personnage de roman fascination de Robert Louis Stevenson, complexe personnalité, encore un scientifique fou qui se fait mal à lui-même.
Sous le règne de reine Victoria, l’avenue du 19ème, contemporain de Jack l’éventreur, ce n’est pas un hasard, sauf que les femmes légères peu nombreuses dans cette histoire de transformation effrayante, comparée au film de Victor Fleming.
Elles sont terrassées par la peur suggestive, très bien travaillé pour ce réalisateur à découvrir, la métamorphose est impressionnante pour l’époque, le maquillage est clair et net, il y a de l’animalité au Royaume-Uni de Grande Bretagne.
Les sombres rues londoniennes en état sous tension où sévit l’obscurité intrigue maléfique malice, la ressemblance est frappante avec la nature citée, conférence de gentlemen sur les espèces auto-centrées sur diverses et variées réflexions analyses contrastes.
Une caméra qui bouge ne cesse vers ce docteur à la potion magique, glou glou glou une fois irréversiblement ténébreux tueur animal bête, l’inverse est possible mais c’est trop tard, le point du retour vers la normalité est dépassée.
Les ingrédients interdits, qu’est qui vous a pris Mister à mélanger chimiquement ? La mise en scène est intéressante, on entre dans son antre empirique, la vision objective, de pire en pire, c’est passionnant, au-delà de la frayeur en chemin.
Ce n’est que vers la fin qu’une solution fut trouvée, arrêtons cette folie douce sciences qu’il n’y paraît terrible, l’énigme résolue enfin, l’inspection est passera, mieux vaut tard que jamais en 1931 vient ensuite vu celui de 1946, un bon vieux cinéma américain.