Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Fluctuat.net
par Sophie Berdah
Joyeux fluide winterbottomien que n'aurait pas désavoué Laurence Sterne lui-même, engendrant une liberté à la fois immense et contrôlée, un optimisme échevelé, une grande douceur.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Monde
par Jean-Luc Douin
"Tournage dans un jardin anglais" décline la difficulté à faire un film, en suivant les aléas de l'adaptation cinématographique de cet objet littéraire non identifié qui, en filigrane, traite de la difficulté d'écrire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La rédaction
Un scénario sans queue ni tête, une histoire abracadabrante. Mais un résultat cocasse et savoureux (...)
Positif
par Fabien Baumann
Dans les dernières minutes, Winterbottom, par une sorte d'abandon à la grâce cinématographique, en vient à ne presque plus filmer d'histoire ni d'évènement, mais ce n'est pas grave. Il y a les images, Schumann et la chaleur de tous ces gens, dont son oeuvre portera la trace.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Brazil
par Eric Coubard
Fastidieux pour certains, hilarant pour d'autres, mieux vaut savoir manier la langue anglaise pour apprécier ce petit bijou de film aux cabotinages exacerbés.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Françoise Delbecq
Des mises en abyme subtiles qui donnent toute la richesse à ce tournage proche de l'hystérie. De l'humour au second degré. Un régal.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par François Maupin
Certes, l'ombre de Truffaut plane, mais on peut aussi citer les Monty Python pour le côté farfelu, et parfois même Ivory. Voilà un bel hommage au cinéma.
Le Journal du Dimanche
par Jean-Luc Bertet
Winterbottom, en vrai compatriote de Lewis Carroll, marie avec une remarquable maïtrise toutes ces confusions : c'est désordonné et irrésistible comme la vie elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Camille Brun
Et puis si la dernière réalisation de Winterbottom ne respecte pas complètement l'oeuvre de Sterne, elle a au moins le grand mérite de donner envie de se jeter dans le roman !
Paris Match
par Christine Haas
(...) univers anarchique et réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Nicolas Schaller
Objet hybride (...), "Tournage..." jette un regard pertinent sur le 7e art (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par La Rédaction
[un] film qui doit beaucoup de sa classe au numéro d'autodérision d'un forcené de l'humour british, Steve Coogan.
Score
par Julien Welter
Un grand numéro qui emporte l'histoire et nous fait oublier que l'on sait jamais vraiment ce que veut dire cette oeuver étrange.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Dans le genre " film sur un tournage ", celui-ci finit par s'imposer, après un début vraiment brouillon, grâce à son humour à la Monty Python et à sa description mordante du milieu du cinéma.
Télérama
par Pierre Murat
(...) une sorte de Huit et demi passé à la moulinette de l'humour british (...) Pour Winterbottom, ce petit monument iconoclaste et absurde constitue sa Nuit américaine, un concentré de vitriol tendre.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une idée brillante qui de ce fait permet un va-et-vient constant entre le présent du tournage (l'équivalent ici du processus d'écriture) et les évènements passés du roman.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
La réussite partielle tient au pacte tranquille qui lie le film à l'oeuvre. Certes Winterbottom s'y montre délibérément comme un tâcheron face au grand génie que fut Sterne, mais c'est aussi que le texte original appelait moins à être adapté qu'à être troué de nouvelles parenthèses (...)
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Axelle Ropert
Si le motif du film dans le film ne renouvelle pas beaucoup les poncifs du genre (...) est la veine la plus intéressante du film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
On s'en doute, la réalité et la fiction font un pas de deux, Winterbottom se la joue "Nuit américaine" caméra à l'épaule.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
Joyeux fluide winterbottomien que n'aurait pas désavoué Laurence Sterne lui-même, engendrant une liberté à la fois immense et contrôlée, un optimisme échevelé, une grande douceur.
Le Monde
"Tournage dans un jardin anglais" décline la difficulté à faire un film, en suivant les aléas de l'adaptation cinématographique de cet objet littéraire non identifié qui, en filigrane, traite de la difficulté d'écrire.
Ouest France
Un scénario sans queue ni tête, une histoire abracadabrante. Mais un résultat cocasse et savoureux (...)
Positif
Dans les dernières minutes, Winterbottom, par une sorte d'abandon à la grâce cinématographique, en vient à ne presque plus filmer d'histoire ni d'évènement, mais ce n'est pas grave. Il y a les images, Schumann et la chaleur de tous ces gens, dont son oeuvre portera la trace.
Brazil
Fastidieux pour certains, hilarant pour d'autres, mieux vaut savoir manier la langue anglaise pour apprécier ce petit bijou de film aux cabotinages exacerbés.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Des mises en abyme subtiles qui donnent toute la richesse à ce tournage proche de l'hystérie. De l'humour au second degré. Un régal.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Certes, l'ombre de Truffaut plane, mais on peut aussi citer les Monty Python pour le côté farfelu, et parfois même Ivory. Voilà un bel hommage au cinéma.
Le Journal du Dimanche
Winterbottom, en vrai compatriote de Lewis Carroll, marie avec une remarquable maïtrise toutes ces confusions : c'est désordonné et irrésistible comme la vie elle-même.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Et puis si la dernière réalisation de Winterbottom ne respecte pas complètement l'oeuvre de Sterne, elle a au moins le grand mérite de donner envie de se jeter dans le roman !
Paris Match
(...) univers anarchique et réjouissant.
Première
Objet hybride (...), "Tournage..." jette un regard pertinent sur le 7e art (...)
Rolling Stone
[un] film qui doit beaucoup de sa classe au numéro d'autodérision d'un forcené de l'humour british, Steve Coogan.
Score
Un grand numéro qui emporte l'histoire et nous fait oublier que l'on sait jamais vraiment ce que veut dire cette oeuver étrange.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Dans le genre " film sur un tournage ", celui-ci finit par s'imposer, après un début vraiment brouillon, grâce à son humour à la Monty Python et à sa description mordante du milieu du cinéma.
Télérama
(...) une sorte de Huit et demi passé à la moulinette de l'humour british (...) Pour Winterbottom, ce petit monument iconoclaste et absurde constitue sa Nuit américaine, un concentré de vitriol tendre.
aVoir-aLire.com
Une idée brillante qui de ce fait permet un va-et-vient constant entre le présent du tournage (l'équivalent ici du processus d'écriture) et les évènements passés du roman.
Cahiers du Cinéma
La réussite partielle tient au pacte tranquille qui lie le film à l'oeuvre. Certes Winterbottom s'y montre délibérément comme un tâcheron face au grand génie que fut Sterne, mais c'est aussi que le texte original appelait moins à être adapté qu'à être troué de nouvelles parenthèses (...)
Les Inrockuptibles
Si le motif du film dans le film ne renouvelle pas beaucoup les poncifs du genre (...) est la veine la plus intéressante du film.
Chronic'art.com
On s'en doute, la réalité et la fiction font un pas de deux, Winterbottom se la joue "Nuit américaine" caméra à l'épaule.