AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,5
1763 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Le Loup-garou de Londres ?
5
29 critiques
4
74 critiques
3
48 critiques
2
24 critiques
1
7 critiques
0
4 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Un excellent film de loup-garou. Les effets spéciaux et le maquillage sont très réalistes, la scène du carambolage impressionnante. On ne regrettera qu'une fin légèrement bâclée.
Mêlant drame, horreur et humour de manière adroite, John Landis réalise ici l'un des meilleurs films de loup-garou jamais réalisé. Une référence. Premier film à avoir remporté l'Oscar des meilleurs maquillages, le Loup-Garou de Londres nous met face à des maquillages impressionnants ainsi qu'une scène de métamorphose diablement étonnante, surtout pour l'époque. Nous devons cela au grand Rick Baker, un des plus grands spécialistes du maquillage. Si j'ai bien aimé le film dans son ensemble, sans être un grand fan des films de loups-garou, j'ai trouvé cependant la fin un peu trop abrupte.
L'un des film de loup garou le plus réussit avec probablement l'une des meilleure transformation en loup. Les scènes d'horreur et l'humour noir font plutôt bon ménage.
Il faut attendre une heure avant de voir David Naughton se transformer en loup garou. Les scènes d'expositions sont trop longues (la romance et l'enquête notamment) et on est constamment dans attente qu'il se passe enfin quelque chose. La transformation en loup garou a dû bien faire son effet à l'époque puisqu'elle reste assez impressionnante niveau maquillage. Ensuite, le scénario reste trop classique pour accrocher véritablement et il y a quelques situations incohérentes. Une petite déception.
Le Loup-garou de Londres est tout simplement un vrai régal, et ce n'est pas pour rien si certaines de ses scènes sont devenues cultes. Rien que la scène du métro vaut le détour (qu’est-ce qu’elle a pu me faire flipper celle-là…), ou encore la terrifiante scène d'intro dans les landes. Mais plus qu’un simple film d’horreur, ce film épate par son humour noir permanent qui fait mouche à tous les coups.
Un bon film d'horreur où se mélange frissons, humour et mystére. Le realisateur nous fait passer des éclats de rires aux larmes en passant apr les frisson en un claquement de doights. J'ai trouvé les effets spéciaux trés bon et la scéne finale sur Piccadely jubilatoire. Dommage que tous les comédiens ne soient pas à la hauteur et que le film soit si court.
Excepté pour en effet ce fantasme enfoui de l'infirmière, ce film usant hélas parfois de sensiblerie un peu facile ne vaut surtout que pour ses prodiges techniques - très peu refaits par la suite - & bien sûr ces séquences hilarantes du téléphone, et du cinéma...
Un film culte , oscillant entre horreur pure et humour noir, avec des effets spéciaux extraordinaires pour l'époque . Du très beau travail signé john landis.
Un bon film de loup garous qui nous plongent dans une ambiance de terreur. Un film bien tourné.
je n'ai pas trop aimer car sa ma fait tres peur mais a voir absolument.
Le film de loup garou de l'humour ,des scènes effrayantes ,une transformation gravé dans les mémoires ,une référence.
John Landis réalise un très bon film d'horreur terrifiant avec l'incroyable transformation de loup-garou.
Ce loup-garou de Londres est un peu un mystère. Il s'agit d'un dosage et d'une recette comme sait si bien le faire John Landis (à la mise en scène et au scénario): mélanger horreur et humour. Horreur, la vrai, avec ici des effets spéciaux époustouflants de Rick Baker pour la transformation devant caméra en loup-garou, et bien horribles pour le gore, le sang, les chairs en décomposition. Et l'humour est à travers les situations et les personnages, d'un américain au Royaume-Uni, d'un médecin enquêteur, d'anglais de la campagne et surtout de l'incongruité des situations. Mais aussi avec des scènes "romantiques" entre David Naughton et Jenny Agutter, parfaitement écrites dans ce contexte.
Le tout dans une espèce de non-style, très caractéristique de la manière de John Landis. Le metteur en scène s'efface devant son sujet: l'histoire, les acteurs, les maquillages et effets spéciaux, les touches d'humour. Et avec comme souvent chez John Landis, un personnage qui enquête (ici le médecin).
Au total, il se laisse voir, pour son rythme, et surtout parceque nous nous demandons comment cette histoire va se terminer; c'est une qualité du scénario de maintenir l'intérêt du spectateur.
Le tout dans une espèce de non-style, très caractéristique de la manière de John Landis. Le metteur en scène s'efface devant son sujet: l'histoire, les acteurs, les maquillages et effets spéciaux, les touches d'humour. Et avec comme souvent chez John Landis, un personnage qui enquête (ici le médecin).
Au total, il se laisse voir, pour son rythme, et surtout parceque nous nous demandons comment cette histoire va se terminer; c'est une qualité du scénario de maintenir l'intérêt du spectateur.
Un chef d'oeuvre. Trés tourné second degré, bourré d'humour noir, et sujet à une transformation de toute beauté, si ce n'est la plus belle de l'histoire du cinéma !
« Beware of the moon and stick to the road. »
Quand il ne fricote pas du côté des meilleurs créateurs humoristiques étasuniens (le trio ZAZ, le Lampoon’s, le Saturday Night Live), John Landis (cascadeur dans ses jeunes années) écrit ses propres films. C’est le cas de ce Loup-Garou de Londres, sorti en 1981, tout juste après le phénoménal et cultissime Blues Brothers (estampillé SNL). D’entrée, ce qui tranche, c’est la mobilité de la caméra et les décors naturels, qui ne sont pas sans rappeler les films d’horreur de l’époque, tournés comme des films expérimentaux. On se rappellera utilement que la libération sexuelle et des moeurs est passée par là, libérant la créativité des jeunes artistes qui n’hésitent plus à montrer ici une paire de seins ou un homme nu, là quelques litres d’hémoglobine.
Sans être à proprement parler un ponte en sociologie, Landis dépeint régulièrement des fresques sociales par opposition : des étudiants rebelles face à un pouvoir hiérarchique corrompu (American College/National Lampoon’s Animal House, 1977), un groupe de blues hors-la-Loi face à la police (The Blues Brothers, 1980), un sdf face à l’arbitraire de rois de la Finance (Un Fauteuil Pour Deux/Trading Places, 1983), un richissime prince africain face au dénuement d’Afro-Américains du Queens (Un Prince à New-York/Coming to America, 1988), etc. Ici, et dès le début, deux jeunes étudiants états-uniens façon routards sont confrontés à la superstition aride de vieux Anglais perdus dans la Lande. Le choc des cultures, encore.
Pour revenir à la réalisation, Landis alterne les plongées et contre-plongées avec les plans fixes et les mouvements de caméra subjectifs à l’épaule, nimbant les arrières-plans de flou, comme Carpenter le fit dans La Nuit Des Masques/Halloween (1978) ou Sam Raimi dans Evil Dead (1981 aussi).
Au final, Le Loup-Garou de Londres n’est pas à proprement parler un film d’horreur, ou alors les artifices ont salement vieilli, mais un film drôle, parfois même grinçant, qui transgresse pas mal de codes de morale spoiler: et qui finit mal
.
Quand il ne fricote pas du côté des meilleurs créateurs humoristiques étasuniens (le trio ZAZ, le Lampoon’s, le Saturday Night Live), John Landis (cascadeur dans ses jeunes années) écrit ses propres films. C’est le cas de ce Loup-Garou de Londres, sorti en 1981, tout juste après le phénoménal et cultissime Blues Brothers (estampillé SNL). D’entrée, ce qui tranche, c’est la mobilité de la caméra et les décors naturels, qui ne sont pas sans rappeler les films d’horreur de l’époque, tournés comme des films expérimentaux. On se rappellera utilement que la libération sexuelle et des moeurs est passée par là, libérant la créativité des jeunes artistes qui n’hésitent plus à montrer ici une paire de seins ou un homme nu, là quelques litres d’hémoglobine.
Sans être à proprement parler un ponte en sociologie, Landis dépeint régulièrement des fresques sociales par opposition : des étudiants rebelles face à un pouvoir hiérarchique corrompu (American College/National Lampoon’s Animal House, 1977), un groupe de blues hors-la-Loi face à la police (The Blues Brothers, 1980), un sdf face à l’arbitraire de rois de la Finance (Un Fauteuil Pour Deux/Trading Places, 1983), un richissime prince africain face au dénuement d’Afro-Américains du Queens (Un Prince à New-York/Coming to America, 1988), etc. Ici, et dès le début, deux jeunes étudiants états-uniens façon routards sont confrontés à la superstition aride de vieux Anglais perdus dans la Lande. Le choc des cultures, encore.
Pour revenir à la réalisation, Landis alterne les plongées et contre-plongées avec les plans fixes et les mouvements de caméra subjectifs à l’épaule, nimbant les arrières-plans de flou, comme Carpenter le fit dans La Nuit Des Masques/Halloween (1978) ou Sam Raimi dans Evil Dead (1981 aussi).
Au final, Le Loup-Garou de Londres n’est pas à proprement parler un film d’horreur, ou alors les artifices ont salement vieilli, mais un film drôle, parfois même grinçant, qui transgresse pas mal de codes de morale spoiler: et qui finit mal
.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse