Je suis rentré,j ai vu .je me suis endormi...... Et......je me suis réveillé tout seul dans la salle avec un mauvais souvenir d une musique affreusement pompeuse et inintéressante. A éviter sauf si vous souffrez de d insomnies,dans ce cas Dogora est le film qu il vous faut
J'ai beaucoup aimé la musique de ce film (en particulier Viniashto mi) Bravo à Étienne Perruchon! Les images du Cambodge sont très intéressantes! On apprend beaucoup de choses sur la vie de tous les jours des Cambodgiens.Je l'accorde , ce n'est pas un film très dynamique, mais c'est intéressant à REGARDER!
Tout simplement le chef-d'oeuvre, à l'état infini !!! Je ne trouve pas les mots pour exprimer mon sentiments sur ce film, et de mémoire c'est le seul...
Inconstestablement, un des meilleurs film que j'ai vu de ma vie :).
Merveilleux voyage en extrême-orient... Envoutant, un lavage de cerveau bienfaiteur où on oublie le quotidien, les malheurs, l'actualité... etc... Attention ce film n'est ni un documentaire ni une fiction ; il faut voir ce film comme une peinture de maitre qui évolue ! Ici ce n'est que sourire, couleurs, chant et musique d'ailleurs (vraiment d'ailleurs !), pas de blabla juste des émotions pures qui passent par un magnifique mariage entre les images et la musique... Un des plus beaux mondes parallèles que j'ai vu... Un voyage sensoriel et unique...
Je viens de sortir du ciné... je tremble encore... Je sais pas comment exprimer ce que j'ai ressenti... c'est 100% émotions, ce film est sublime!!!! Allez y c'est tout ce que je peux vous dire... si vous êtes un minimum sensible vous allez vivre un moment incroyable...
je me suis pas franchement ennuyé, mais deux minutes après être sortie du ciné, je n'y pensais déjà plus... Il y a bien des belles séquences, des moments qui vont bien avec la musique, mais en fait ça ne reste pas très palpitant (et pourtant j'aime voyager (j'ai déjà été au Cambodge) et regarder...)
Dogora ou comment filmer ses vacances comme un pied. Grand admirateur de Godfrey Reggio et de sa trilogie des "Qatsi", quel ne fut pas mon énervement à la vue de l'amnésie générale qui a touché les journalistes, parlant pour ce film d'une innovation. Non seulement ce procédé a déjà été utilisé, mais surtout en vingt mille fois mieux. Alors que Reggio passait plus de 5 ans à réaliser ses oeuvres, Leconte arrive avec ce petit Qatsi du pauvre, filmé à la va-vite lors de ses dernières vacances. Le problème vient du fait qu'un poème symphonique ne doit pas être improvisé sous peine d'être indigeste. Non content de nous imposer une musique pompeuse et finalement insipide, Leconte filme moche (et je suis étonné que les critiques insistent sur la beauté des images : c'est une DV bien granuleuse et crade, utilisée n'importe comment !). Le montage est minable et ne suit même pas la musique. Au final, le cinéaste n'avait rien à dire et cela se voit. Un ensemble aussi vain qu'ennuyeux.
DOGORA, ce sont des vibrations dans tout corps pendant tout le film. C'est un concentré de belles choses. Tout est magnifique: images, regards, musique, lumières, prises de vue. Leconte a bien compris la vraie beauté du Cambodge.
Catastrophe!!!!!!!!!!!! Une abomination : musique insipide, esthétique immonde, je partage rarement totalement les avis des critiques, mais pour le coup, ils ont vu juste... "Voilà un beau catalogue style papier glacé, avec images du monde passées au Monsieur Propre" (ADEN) ; "C'est une pub pour la misère. La misère clippée, nimbée, musiquée, hamiltonisée, pasteurisée jusqu'à l'écoeurement." (Le nouvel observateur). Je n'ajouterais pas grand chose... on s'endort en 15 minutes, et, pendant la projection, chaque réveil est douloureux : nausée garantie... En bref, un film à fuir à tout prix!
Un film pour les yeux et les oreilles. Ou l'inverse. Un regard humain. Pudique. Qui croise des quotidiens. Des sourires. Des regards vides. Des enfants. Des familles. A vélo. En scooter. Au travail. Tous les travaux. Pour manger. Ils dorment ensemble. La petite fille se retourne une dernière fois, plante ses yeux innocents et incrédules dans les nôtres. Au revoir petite. Cadrage, couleurs, mouvement, découverte, témoignage de dures réalités. Un film d'émotions. Sublime.
Un film beau et lancinant qui, à première vue, ne passionne pas outre mesure, mais qui, lorsque la salle se rallume, vous laisse une belle impression de voyage dans la tête. Merci Monsieur Leconte d'être toujours aussi imprévisible dans vos choix de mise en scène, tout discret que vous soyez, vous êtes l'un des meilleurs ! A bientôt...
Une série d'images pas vraiment incroyables sur une musique un peu pompeuse : vous pouvez passez votre chemin ou bien vous endormir dans votre fauteuil. Si vous voulez découvir le Cambodge, allez plutôt voir Holly Lola.