Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Passée la surprise de voir le réalisateur de MONSIEUR HIRE se lancer dans un tel exercice, on est tout de suite happé par son travail. (...) L'expérience, si on veut l'apprécier, se regarde et s'écoute : la lumière douce et sublime des paysages cambodgiens, les cadres de l'homme d'image qu'est Leconte, les regards d'enfants, profonds et touchants, mais aussi la musique, puissante et douce à la fois.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
par Olivier de Bruyn
Dépourvu de tout commentaire, reposant sur un art subtil de la captation et du montage, Dogora témoigne de la sensibilité aiguë d'un cinéaste qui n'aime décidément rien tant que surprendre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
L'idée (...) de tourner un film qui ne soit ni un documentaire ni une fiction, mais une symphonie d'images et de notes, n'est pas nouvelle dans l'histoire du cinéma. Mais Dogora ne peut qu'émouvoir par la sincérité et la ferveur manifestes d'un cinéaste envoûté par son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Elle
par Elisabeth Quin
L'hommage [ de Patrice Leconte] au peuple khmer part donc d'une intention louable, mais laisse perplexe. Désireux d'échapper aux clichés du sourire khmer ou des sortilèges d'Angkor, Leconte est tombé dans un autre cliché, celui d'un Cambodge apocalyptique et sans avenir, peuplé de paysans et de déshérités, réduit aux enfants des décharges et des bidonvilles. Le film (...) offre une vision tronquée de la réalité.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Leconte a fait un film zen, sans cesse balayé par un grand vent de musique, au point qu'elle est parfois envahissante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par La Rédaction
La partition, omniprésente et envahissante, finit par parasiter l'image. Emphatique et redondante, elle impose ses effets, elle charge lourdement la barque de nos émotions ainsi bridées et canalisées, quand on aurait voulu les laisser en liberté.
Positif
par Pierre Eisenreich
Sur le plan de la technique et de la beauté plastique, cette production est irréprochable. En revanche, de nombreuses réserves persistent concernant le style de la partition, ainsi que le point de vue touristique et désengagé sur l'exploitation humaine dans un pays du tiers-monde.
TéléCinéObs
par François Forestier
Parfois émouvant, parfois longuet.
Aden
par Philippe Piazzo
Noble intention, résultat abominable. Un film tourné comme on boit le thé, le petit doigt en l'air. Pas une seule image qui n'échappe à l'esthétique publicitaire. (...) Voilà un beau catalogue style papier glacé, avec images du monde passées au Monsieur Propre. Et Dieu merci, dans ce Cambodge-là, il n'y a pas d' enfants qui sautent encore sur des mines.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Obs
par Pascal Mérigeau
C'est une pub pour la misère. La misère clippée, nimbée, musiquée, hamiltonisée, pasteurisée jusqu'à l'écoeurement.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Découvrir ce film, c'est étirer sur 80 minutes l'embarras qui saisit lorsqu'un(e) ami(e) vous montre fièrement sa dernière acquisition (voiture, tableau, compagnon/compagne) ou sa dernière production (civet, tableau, progéniture) et qu'on la trouve insupportable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par La Rédaction
On dirait un long spot pour Médecins sans frontières larmoyant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Frédéric Strauss
On peut trouver ça pompier. Et Leconte suit la partition en se calant au quart de poil sur les changements de rythme, comme dans un clip pas trop malin. Filmé au téléobjectif, le Cambodge est beau, souriant, émouvant, attirant : à trop vouloir faire la promo de sa musique, Dogora finit par ressembler à une grande pub.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
Passée la surprise de voir le réalisateur de MONSIEUR HIRE se lancer dans un tel exercice, on est tout de suite happé par son travail. (...) L'expérience, si on veut l'apprécier, se regarde et s'écoute : la lumière douce et sublime des paysages cambodgiens, les cadres de l'homme d'image qu'est Leconte, les regards d'enfants, profonds et touchants, mais aussi la musique, puissante et douce à la fois.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Dépourvu de tout commentaire, reposant sur un art subtil de la captation et du montage, Dogora témoigne de la sensibilité aiguë d'un cinéaste qui n'aime décidément rien tant que surprendre.
Télé 7 Jours
L'idée (...) de tourner un film qui ne soit ni un documentaire ni une fiction, mais une symphonie d'images et de notes, n'est pas nouvelle dans l'histoire du cinéma. Mais Dogora ne peut qu'émouvoir par la sincérité et la ferveur manifestes d'un cinéaste envoûté par son sujet.
Elle
L'hommage [ de Patrice Leconte] au peuple khmer part donc d'une intention louable, mais laisse perplexe. Désireux d'échapper aux clichés du sourire khmer ou des sortilèges d'Angkor, Leconte est tombé dans un autre cliché, celui d'un Cambodge apocalyptique et sans avenir, peuplé de paysans et de déshérités, réduit aux enfants des décharges et des bidonvilles. Le film (...) offre une vision tronquée de la réalité.
Le Parisien
Leconte a fait un film zen, sans cesse balayé par un grand vent de musique, au point qu'elle est parfois envahissante.
Ouest France
La partition, omniprésente et envahissante, finit par parasiter l'image. Emphatique et redondante, elle impose ses effets, elle charge lourdement la barque de nos émotions ainsi bridées et canalisées, quand on aurait voulu les laisser en liberté.
Positif
Sur le plan de la technique et de la beauté plastique, cette production est irréprochable. En revanche, de nombreuses réserves persistent concernant le style de la partition, ainsi que le point de vue touristique et désengagé sur l'exploitation humaine dans un pays du tiers-monde.
TéléCinéObs
Parfois émouvant, parfois longuet.
Aden
Noble intention, résultat abominable. Un film tourné comme on boit le thé, le petit doigt en l'air. Pas une seule image qui n'échappe à l'esthétique publicitaire. (...) Voilà un beau catalogue style papier glacé, avec images du monde passées au Monsieur Propre. Et Dieu merci, dans ce Cambodge-là, il n'y a pas d' enfants qui sautent encore sur des mines.
L'Obs
C'est une pub pour la misère. La misère clippée, nimbée, musiquée, hamiltonisée, pasteurisée jusqu'à l'écoeurement.
Le Monde
Découvrir ce film, c'est étirer sur 80 minutes l'embarras qui saisit lorsqu'un(e) ami(e) vous montre fièrement sa dernière acquisition (voiture, tableau, compagnon/compagne) ou sa dernière production (civet, tableau, progéniture) et qu'on la trouve insupportable.
Les Inrockuptibles
On dirait un long spot pour Médecins sans frontières larmoyant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
On peut trouver ça pompier. Et Leconte suit la partition en se calant au quart de poil sur les changements de rythme, comme dans un clip pas trop malin. Filmé au téléobjectif, le Cambodge est beau, souriant, émouvant, attirant : à trop vouloir faire la promo de sa musique, Dogora finit par ressembler à une grande pub.