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    Le Mécano de la Générale
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    Bernard Bonnejean
    Bernard Bonnejean

    17 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2017
    Je me suis assis comme au ciné-club pour assister à un témoignage de l'histoire du cinéma aussi emballé d'emblée que pour un film d'art et d'essai. Autrement dit avec l'appréhension de devoir m'ennuyer ferme. Eh bien non ! L'humour de Buster Keaton est souvent irrésistible. Certains de ses gags, certaines de ses mimiques sont hilarants et on se prend à éclater de rire. Ce mécano de la Générale, amoureux éconduit et héros malgré lui, nous agace parfois par ses maladresses et on se prend à vouloir lui donner un coup de main. Quant à l'actrice, il lui fallait assez de charme, de grâce et de drôlerie pour accepter de dresser parfois ce portrait de nunuche que la misogynie ambiante imposait au public de ce temps-là. Ah ! ce remplissage de chaudière à bois, quelle trouvaille ! On rit de très bon cœur !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 31 juillet 2014
    Drôle , engagé et contestataire . On se demande quel est le véritable but de la guerre , n'est ce pas juste une question d'affirmation de soi ?
    Jonathan M
    Jonathan M

    133 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 février 2016
    Le pouvoir de la situation qui fera toujours mouche. Un vivier impressionnant de gags, pas une seule minute de répit. C'est un imaginaire sans fin, des convictions sentimentales louables. Indispensable de le voir au moins une fois.
    stillpop
    stillpop

    82 abonnés 1 444 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 juillet 2011
    Parfois, certains jeunes de cités font moins de raffut que le troupeau des deux couples de bobos à Gambetta le mercredi, et c'est vraiment dommage... pour ceux qui ont payés leur place. Mais peut-être était-ce une salle réservée, ils ont tellement d'argent après tout.
    Mis à part ça, le rire idiot d'un des pères à chaque cascade digne d'un De Funès n'était pas moins insupportable !
    Parlons du film, brillamment restauré, magnifiquement mis en musique, on en attendait pas moins du compositeur de Kitano.
    Le scénario ? Il tient dans un comics de 3 minutes.
    Les gags ? Peu nombreux, on les voit venir à 10 km.
    On se dit que la littérature n'a pas eu de jeunesse, alors que le cinéma est resté longtemps adolescent, pour faire se déplacer des foules sur un long-métrage si inconsistant.
    Heureusement, certains regards de Keaton font rire, tout comme certains gags extrêmement misogynes mais tellement caricaturaux qu'ils restent drôle.
    Bref, beaucoup d'argent pour pas grand chose.
    Par contre, les bobos ont été bien embêtés quand les gags consistaient à tuer des confédérés, le politiquement correct n'existait peut-être pas à l'époque, ou tout simplement ce type de film n'est pas destiné aux enfants. Bien fait.
    Jack G
    Jack G

    5 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 avril 2020
    Avec Charlie Chaplin, Buster Keaton incarne le pinacle du cinéma comique et burlesque, et atteint le sommet de son art dans son chef d’œuvre de 1926 : « Le Mécano de la Général ».
    Soucieux de placer son intrigue narrative dans un cadre historique spécifique, comme il l’a fait avec Les Trois Âges (1923) et Ma Vache à moi (1925), le génie « pince-sans-rire » du burlesque choisit cette fois la Guerre de Sécession américaine et en adapte l’un des faits réels.
    En effet, l’histoire du Mécano de la Général s’inspire inspirée d'une opération militaire, le « raid d’Andrews », qui a eu lieu pendant la guerre de Sécession, le 12 avril 1862, et au cours de laquelle une locomotive a été détournée par des volontaires de l’Armée de l’Union pour perturber la voie de chemin de fer reliant la ville d'Atlanta à la ville de Chattanooga. Elle a pris le nom de James J. Andrews, un agent de renseignement qui commanda le raid. Poursuivis par d'autres trains, les membres de l'opération furent finalement capturés. Considérés comme des espions, certains d'entre eux (dont leur chef) furent exécutés, un épilogue qui n’apparait toutefois pas dans le film, certainement pour garder l’atmosphère comique voulue par Keaton. Plusieurs des participants de l’opération furent les premiers à recevoir la Medal of Honor.
    Pour les besoins du film, Buster Keaton essaya de se procurer la vraie « General » qui était encore en service, mais la Western and Atlantic Railroad, la compagnie ferroviaire qui la détenait, refusa. Une autre locomotive du même modèle a donc été utilisée. A ce sujet, précisons d’ailleurs que la scène où celle-ci chute du pont pour s’écraser dans la rivière est la plus onéreuse de l’histoire du cinéma muet. Une preuve, s’il en fallait encore une, de l’effort investi par Buster Keaton pour la production de ce long-métrage.
    Cette implication s’exprime également par une maitrise étonnante du montage et une inventivité comique qui surprend le spectateur à chaque tentative. En maniant le gag avec une haute précision, sans doute acquise grâce à son expérience dans l’art du spectacle, « l’homme qui ne riait jamais » n’hésite pas à détourner des objets quotidiens de leur usage habituel pour établir un comique de situation perfectionné, en témoigne la légendaire scène du canon. Enfin, son ingéniosité s’incarne aussi dans les surprises qu’il réserve au spectateur, en ouvrant une fenêtre sur un fil narratif que l’on ne voyait pas venir, en amenant son personnage dans une situation inattendue et souvent salvatrice.
    Le personnage de Johnnie Gray présente plusieurs similitudes avec une autre figure burlesque bien connue : Charlot. Par ses mimiques, ses gestes et sa maladresse, difficile de ne pas voir le reflet de ce jumeau qui a finit par le pousser dans l’ombre au fil des années. Une injustice qu’il faut d’ailleurs régler car ce tendre malchanceux suscite une empathie certaine, et on finit par s’attacher assez vite à son sort.
    Il faut dire que sa promise, Annabelle Lee, lui en fait voir de toutes les couleurs, volontairement ou non. A la fois patriote et fière, cette jeune américaine aisée n’hésite toutefois pas à mettre les mains dans le charbon pour soutenir son partenaire après la bravoure dont il a fait preuve pour la secourir. Dans ce rôle féminin, Marion Mack, dont la carrière a été brutalement stoppée à l’avènement du parlant, s’implique pleinement dans son personnage et participe sans broncher à tous les gags imposés par Buster Keaton, dont la violence est parfois exagérée, caractéristique majeure du slapstick et du comique burlesque américain. Et bien qu’elle se retrouve malgré elle emportée dans cette aventure périlleuse, on ne peut s’empêcher de s’amuser en la voyant se démener avec les astuces hasardeuses de son vaillant compagnon.
    Fidèle à un rythme bien mené, Buster Keaton livre ainsi la vision d’une nouvelle forme d’héroïsme, loin de celle des guerriers en sueur et aux mains tâchées de sang. Ici, le pauvre mécanicien fait preuve d’une bravoure sans faille alors qu’il se retrouve dans une situation qui lui est imposée, et se découvre des qualités que personne n’avait soupçonnées.
    La mécanique keatonienne est en marche, et bien que le film ait été un échec à sa sortie, Le Mécano de la Général est aujourd’hui considéré comme un chef d’œuvre du septième art, et à juste titre. Premier film retenu pour constituer le fonds du National Film Registry, en 1989, il est également introduit à la 27ème place des meilleurs films américains de tous les temps selon l’American Film Institute, une gloire tardive mais méritée pour un film injustement négligé.
    Stephenballade
    Stephenballade

    400 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 janvier 2017
    J’ai beau être cheminot et aimer le cinéma muet, "Le mécano de la Générale" n’est pas franchement mon trip, même après l’avoir regardé à deux reprises espacées d’un bon paquet d’années. Voilà pourquoi je donne cette note de 3/5, qui techniquement et artistiquement mérite bien plus, je le reconnais. Pourtant le film n’est pas mauvais. Au contraire, il est bon. Très bon, même. Et audacieux. Et inventif. Alors où est le problème ? Eh bien je vais vous le dire : de Buster Keaton. Cela vous surprend ? Eh bien voilà. C’est dit, et c’est la vérité qui ne concerne que moi. Eh oui, j’ai du mal avec cet artiste (car il en est un, ça je ne peux pas lui enlever) que j’ai surnommé "l’homme-qui-ne-sourit-jamais". Son visage reste impassible, par n’importe circonstance !! Tout le contraire de Charlie Chaplin ! La conséquence est que son côté trop sérieux casse tout effet comique. Entendons-nous bien : cet avis n’engage que moi, soyons d’accord, hein ! Bon, je vous avouerai quand même que j’ai bien ri à quelques reprises au cours de ce railroad movie quelque peu mouvementé sous les notes enjouées de Joe Hisaishi et qui accompagnent merveilleusement le film. Car il y a quand même quelques bons gags qui fonctionnent à merveille, grâce à l’adresse dans la maladresse de ce fébrile petit machiniste chétif à la démarche fofolle et incertaine. Là aussi le mot "quelques" n’engage que moi, hein… Mais ce qui est le plus sidérant, c’est que "Le mécano de la Générale" a été principalement tourné en milieux naturels, avec de presque vrais matériels ferroviaires et ces parfaites répliques de la fameuse General, l’emblématique locomotive à vapeur de la Western & Atlantic Railroad. Nous sommes en 1926, et déjà le souci d’un minimum d’authenticité est présent, y compris dans une comédie pas si burlesque que ça en fin de compte. Pensez donc, tourner en rond inlassablement dans des studios avec ce train aurait été compliqué au niveau des décors, et on aurait perdu à coup sûr la perspective des longues lignes droites ou des montées hélicoïdales pour passer sous des viaducs pour ensuite y passer dessus. En cette époque, pour rendre au mieux des faits réels ayant eu lieu en 1862 au cours de la Guerre de Sécession, le budget devient vite exorbitant après l’embauche d’une quinzaine de milliers de figurants, de la construction de deux répliques de la General, et de… la destruction d’un pont. Ainsi, "Le Mécano de la Générale" devint alors le film le plus cher de l’histoire du film muet. Buster Keaton était quelqu’un qui savait improviser, tout en restant professionnel et fin calculateur. "Le mécano de la Générale" ne fait pas exception à la règle, d’autant plus que pour la destruction du pont, il n’avait pas le droit de se louper. Boudé à sa sortie, cette œuvre cinématographique fait partie du joyau de la filmographie de Buster Keaton mais pas que, puisqu’elle a été le tout premier film à constituer le fonds du National Film Registry aux Etats-Unis. Et c’est tant mieux ! Parce que ça a beau être mené à toute vapeur, ça ne patine jamais.
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    144 abonnés 3 079 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mars 2020
    S'il n'y a qu'un seul film connu de Buster Keaton c'est celui-ci. Cependant qui juge un film sur sa réputation ou une critique dithyrambique de la presse qui est bien assez souvent partiale et mal avisée, ne juge pas la film lui même. Buster est égal à lui même dans ce film où l'on voit surtout des trains que l'on sait être une passion pour lui. L'intérêt qu'il soit sudiste est que l'on ne va pas taxer le film d'un patriotisme outrancier, cependant c'est tout de même un film de guerre avec un scénario assez convenu. Je n'ai pas vu de gag trop particuliers, mais davantage une impression de répétitif dans ce film. Je ne vois pas la partie romantique bien traitée non plus, au contraire la fille est presque un peu rudoyée. Le tout part sur des quiproquos et cela aussi c'est assez peu subtil. Tout cela joue en défaveur de ce film qui est indispensable à connaître concernant Buster Keaton mais loin d'être aussi original et représentatif de son génie que cela est dit.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    106 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 février 2016
    L'un des films les plus chers de l'histoire du cinéma muet, et sans aucun doute l'un des plus géniaux aussi. Prenant pour cadre la Guerre de Sécession – le seul défaut de ce long-métrage étant d'avoir fait le choix d'un héros se battant du côté des sudistes pro-esclavagistes – Buster Keaton, dans le rôle d'un cheminot maladroit spoiler: qui parvient à mettre en déroute une armée entière
    , réalise une œuvre d'une drôlerie et d'une poésie absolues. Chaque minute est ici prétexte à une trouvaille qui se transforme quasi-systématiquement en un moment de grâce. La mise en scène est virtuose. Dans sa version restaurée, la musique de Joe Hisaishi – compositeur des films de Hayao Miyazaki – accompagne le long-métrage d'une manière magistrale. Un bonheur de tous les instants.
    Le Français Glacé
    Le Français Glacé

    29 abonnés 328 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 octobre 2017
    Le Mécano de la General réalisé par Buster Keaton et Clyde Bruckman en 1926.
    *Les points que j'ai appréciés →
    • La course-poursuite
    • Le comique de Buster Keaton
    • La musique

    *Les points que je n'ai pas appréciés →
    • Le manque de passages drôles

    *Conclusion →
    J'ai aimé, c'est un très bon Buster Keaton. 8/10.
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    43 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 décembre 2015
    Il fallait inventer les course-poursuites en train, Buster Keaton l'a fait ! Je commence à comprendre pourquoi il est considéré comme un des génies du burlesque : il prend un concept tout bête et le pousse dans ses derniers retranchements. Et c'est super ! J'ai bien aimé l'introduction du personnage du cheminot, le qu'il ait deux amours, avec l'ordre minutieusement choisi... Rien que ça c'est drôle, et révélateur de sa personnalité en même temps. Cela va revenir à un moment ou un autre, bien sûr, mais au service d'un gag. Le scénario n'est qu'un prétexte pour que Keaton puisse exprimer son humour, et c'est un peu dommage de voir le film insister autant sur l'histoire, en mettant plein de cartons qui ralentissent le rythme pour traduire des dialogues peu intéressants. Heureusement l'intrigue démarre rapidement, le héros est rapidement projeté à la poursuite d'une locomotive volée par des gens prêts à tout pour ne pas se faire rattraper. Et quand je dis tout, c'est tout ! Le personnage de Keaton rencontre tous les obstacles qu'il est possible d'imaginer, et le voir les affronter avec son air blasé, c'est vraiment irrésistible, d'autant plus que les gags sont vraiment bien orchestrés. J'aime beaucoup cette façon d'enchaîner deux fois de suite le même gag, cela fait mouche à chaque fois. Les moments dangereux sont d'ailleurs si millimétrés qu'il y a parfois un petit moment de malaise où l'on se rappelle que Keaton risquait sa vie sur chaque tournage. Le film est joliment réalisé, il comporte plusieurs plans inspirés, comme par exemple celui où le cheminot est assis sur la bielle de la locomotive, ou bien celui où l'on voit s'enfuir les voleurs au loin. Il y aussi la scène à la fin, où l'on voit les soldats grouiller partout comme des fourmis, qui est du meilleur effet. Le Mécano de la General est donc plaisant une fois passées les lourdeurs du début. Le long-métrage file aussi vite que la locomotive, on ne sent pas le temps passer grâce à ce torrent de situations rocambolesques.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 janvier 2016
    Globalement j'ai trouvé le film un peu moins drôle et moins perché que Les lois de l'hospitalité, mais ce qu'il perd en humour il le compense par un rythme impeccable. En effet on a le droit à deux grandes courses poursuite effrénées dans ce film, dans lesquelles Keaton exprime tout son talent burlesque. Impossible de s'ennuyer tant le spectacle est assuré.
    Un film qui a peu vieilli et qui conserve tout son charme et son sens du spectaculaire.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 décembre 2014
    J’ai entendu parler du Mécano de la « Général » de Keaton plusieurs années avant de le voir. Institué en véritable classique-culte-chef d’œuvre, j’étais curieux finalement de mon confronter au film. Le moins que l’on puisse dire, c’est que la réputation du film n’est pas usurpée : certains aspects techniques sont tout bonnement incroyable : les travelings latéraux qui filment la locomotive, le canon dont le tir évite de justesse la locomotive de Keaton, le pont en feux qui s’écroule sous le poids de la locomotive… Bref, une réussite. Ajoutez à cela le jeu d’acteur/cascadeur de Keaton et une histoire loufoque mais tirée d’un fait réel, et vous obtenez un chef d’œuvre du muet, dont la notoriété n’a fait que grandir avec les années. Une belle réussite à voir absolument !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 décembre 2006
    Ce film est un véritable chef d'oeuvre du cinéma.
    Buster Keaton nous conte une histoire passionnante, hilarante, rythmée et parfois touchante. On ne s'ennuie pas une seconde, on est prit par cette histoire de jeune mécano allant à la rescousse de sa belle et surtout de sa locomotive adorée.
    Il est surtout très impressionnant de voir la qualité des scènes d'action et de guerre (écroulement du pont, batailles, différentes acrobaties sur des trains en marche...) alors qu'à l'époque il ne bénéficiait évidemment pas des différentes technologies actuelles. En effet, la réalisation de Keaton est prodigieuse, autant que son jeu d'acteur est précis et d'une justesse incroyable.
    Tout cinéphile averti se doit de voir au moins une fois dans sa vie ce monument du cinéma!
    Antoine D.
    Antoine D.

    40 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mars 2018
    Pendant la guerre de sécession une groupe nordiste s’empare d’un train. Le conducteur qui n’apprécie qu’on lui vole sa locomotive se met à les poursuivre.
    Buster Keaton et Clyde Bruckmann revisitent l’histoire du raid d’Andrews en portant les sudistes en héros et vainqueurs.

    The Great Stone Face est ici un héros de la guerre sans être soldat. Il est, en premier lieu, chasseur pour sauver sa bien aimée Annabelle et mêle le burlesque à l’historique. Ses cascades, il les fait lui même et les miniatures ce n’est pas pour lui. Les décors, eux, sont tous réels et ajouté du réaliste au récit historique.
    Grâce à ça et à sa mise en scène en mouvement, Buster Keaton signe son meilleur film et un des films muets les plus connus.
    Glouyie
    Glouyie

    16 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 avril 2017
    Très belle histoire, Johnny et sa Générale ne font qu'un, ça se sent à l'écran ! On passe un agréable moment.
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