Mon compte
    L'Effrontée
    Note moyenne
    3,3
    1484 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur L'Effrontée ?

    92 critiques spectateurs

    5
    20 critiques
    4
    24 critiques
    3
    35 critiques
    2
    9 critiques
    1
    1 critique
    0
    3 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    pinly
    pinly

    10 abonnés 232 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 novembre 2008
    Ce film est excellent, beau et très touchant! On ne s'en lasse pas!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 août 2012
    Un film culte!! Le film de mon enfance!! Un portrait touchant et crédible de la crise d' adolescence, du mal être dans sa peau face à l ' incompréhension et le désarroi des adultes.

    Des répliques en or, des acteurs au top, sans exception. A voir et à revoir.
    willnot94
    willnot94

    145 abonnés 276 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 août 2010
    Sur le cultissime tube "Sara' Perche' ti amo", on se laisse envahir par ce joli film où Claude Miller a su capter les angoisses et les désirs de l'adolescence. La réussite est aussi et surtout grâce à l'énorme talent grandissant de la petite Charlotte Gainsbourg, déjà prometteuse en jeune révoltée, à la fois attachante et tout en justesse. Une oeuvre incontournable du cinéma françàis dont on se lasse pas...
    totoro35
    totoro35

    102 abonnés 1 787 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 août 2012
    Le cinéaste Claude Miller retranscrit à merveille les tourments de l'adolescence, sa complexité tout comme ses petits drames sans jamais se départir d'un certain humour et d'une légèreté bienvenue, révélant au passage l'immense talent d'une Charlotte Gainsbourg alors toute jeunette, sorte d'anti-Sophie Marceau au jeu plein de naturel et terriblement attachante.
    Pierre.L
    Pierre.L

    15 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 janvier 2018
    Le film montre très bien les contradictions de l'adolescence et il est amusant de voir Charlotte changer souvent d'avis, parler et agir tantôt comme une adulte et tantôt comme une enfant...Quiconque a connu la frustration et l'ennui des grandes vacances pendant sa jeunesse ne restera pas indifférent en voyant ce film : celui-ci apporte une réelle émotion, qui s'accorde assez bien avec les airs musicaux joués par la jeune pianiste, et la prestation de l'ensemble des acteurs est par ailleurs remarquable.
    Jonathan M
    Jonathan M

    130 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 septembre 2013
    L'effrontée. Et tu veux dire quoi d'autres ? C'est beau, comme jamais ce mot n'a autant eu de sens. Le dédain de Gainsbourg, son assurance, sa pratique, sa colère, son lunatisme, son charme. Si tu tombes pas amoureux du film, tu en fais au moins ton flirt de l'été. Plus qu'une leçon, Claude Miller t'apprend comme on devient grand. Lui qui l'a été et qui le restera. Et puisqu'on est dans l'in-mémorium, big up à Bernadette Lafont!
    cinephile74
    cinephile74

    16 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juin 2011
    Autour d'une Charlotte Gainsbourg gouailleuse et tourmentée, se bouscule une pléiade de grands comédiens (Bernadette Lafont, JC Brialy) dans ce beau film au climat caniculaire.
    timM32
    timM32

    10 abonnés 331 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 septembre 2012
    C'est incroyable de revoir la Charlotte Gainsbourg d'il y a plus de vingt ans ! Sa façon de jouer est pratiquement le même qu'aujourd'hui, et ce dernier est adorable ! On ne peut tomber sous le charme de ce jeu à la fois discret et déclamatoire. Un gros 5 étoiles pour ce chef d'oeuvre incontestable de Miller, malgré l'histoire qui tient sur une page, mais où Charlotte Gainsbourg en est le pilier !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 août 2012
    De ce film finalement assez simple on retiendra surtout l'interprétation limpide de Charlotte Gainsbourg, incarnant une adolescente à la fois fragile et d'une insolence naïve. On peut lire ses émotions sur son visage, touchant par cette sorte de fièvre hébétée qui le fait parfois rougir. C'est à se demander si elle ne joue pas son propre rôle (d'ailleurs, elle garde son prénom au générique). Bien que la mise en scène et les dialogues ne surprennent jamais vraiment, ils ont au moins le mérite d'être sincères et ne tombent (presque) jamais dans le superflu.
    bsalvert
    bsalvert

    405 abonnés 3 576 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 mai 2011
    La candeur de la jeune fille a tendance à énerver.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 août 2012
    Ce n'est pas un chef d'oeuvre, ça n'a pas été un blockbuster, mais "L'Effrontée" est un bon film.


    C'est une chronique douce amère et tendre des affres, des doutes et des hésitations du début de l'adolescence d'une jeune fille.


    C'est un âge où l'on affiche des certitudes pour dissimuler ses doutes et la peur de quitter l'enfance pour toujours; on se laisse facilement aller à rêver à des chimères bientôt contrariées par la vie.

    Fait remarquable: Tous les acteurs, principaux ou secondaires, de ce film sont excellents. Mention spéciale à Charlotte Gainsbourg et Bernadette Lafont .

    Mise en scène sûre, très pudique (même le personnage de Jean est subtilement dessiné) du regretté Claude Miller, qui sert un bon scénario sachant éviter les clichés, une photographie qui sait mettre les personnages en valeur.

    Et, musicalement, s'opposent deux thèmes récurrents, tout comme s'opposent le monde très BCBG de Clara et le monde ordinaire de Charlotte:

    Pour Charlotte, en pleine confusion affective: Le mythique et trépidant "Sara perche ti amo", qui, justement, commence - et ce n'est pas un hasard- par les mots "Che confusione..."

    Pour Clara Bauman, la jeune pianiste virtuose, charmante petite flamme à laquelle le papillon Charlotte va venir se brûler les ailes: Le lumineux larghetto du concerto pour piano et orchestre n° 11 de Mozart, tout en sérénité

    L'histoire se déroule sans drame, sans violence, sans agressivité... Juste la vie qui rentre et les premières illusions perdues....

    Un bien joli film.
    NeoLain
    NeoLain

    4 952 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 octobre 2016
    Charlotte Gainsbourg si jeune et déjà talentueuse, les projecteurs sur elle. Nominations, César meilleur espoir féminin, bref, la petite fille du fumeur de Gitanes est prête à bousculer elle aussi. L'effrontée est vu comme un des meilleurs Miller. Je confirme. Un beau film sur l'adolescence. Puis coup de nostalgie qui me vient sur le thème musical avec le tube italien "Sarah Perche Ti Amo".
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 622 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2017
    Film à petit budget mais au cœur gros, Claude Miller signe un des plus beaux films sur cette courte période où l’enfance laisse place à l’adolescence. Révélée par ce film, Charlotte Gainsbourg éclabousse de toute sa candeur la toile. César du meilleur espoir, elle aura ; tout comme l’excellente Bernadette Lafond aura celui du second rôle.
    Erick Maurel a écrit une critique de ce film bourré d’émotions dans laquelle je me reconnais : « Plus que la fascination d’une jeune fille pour une autre, le thème principal de L’Effrontée est avant tout le portrait d’une adolescente au moment où elle se cherche et doute le plus, la peinture sensible mais sans fard de cette période malaisée et rarement facile à vivre qui fait la transition entre l’enfance et la puberté. Charlotte est mal dans sa peau, aussi bien à l’école où elle ne se reconnait aucun point commun avec ses camarades que dans son milieu familial qu’elle trouve étriqué et au sein duquel elle s'ennuie. Elle est aussi peu à l’aise dans sa tête qu'avec son corps un peu plus filiforme et dégingandé que la moyenne ; on le ressent d’emblée lors de la séquence à la piscine où elle semble non seulement maladroite avec ses membres mais montre également une peur maladive de sauter du plongeoir, ce qui la fera ensuite être victime des moqueries de ses petits camarades qui, comme c’est souvent le cas à cette période du collège, ne sont pas tendres les uns envers les autres. Lorsqu’elle se trouve subjuguée par une pianiste prodige de son âge qu’elle voit lors d’un concert enregistré sur VHS, elle n’a plus qu’une idée en tête : chercher à la rencontrer, ce qui s’avère tout à fait possible puisqu’elle doit justement se produire durant les vacances d’été au sein de sa petite ville. Tiraillée entre sa vie morne et ennuyeuse au sein de sa famille et ses rêves et ses désirs d’un ailleurs - aussi bien celui de la destination de vacances de son frère plus âgé qui a le droit de partir avec ses copains que celui encore a priori plus inaccessible que lui fait entrevoir sa visite à la villa de la pianiste -, elle a beaucoup de mal à se situer, ses hésitations et ses doutes la rendant fortement irritable, faisant du mal à son entourage sans foncièrement le vouloir, se sentant encore moins en phase avec ses proches depuis qu’elle a l’espoir de pouvoir se rendre dans de plus hautes sphères aux côtés d'une camarade qui semble avoir tout ce qu'elle n'a pas, le talent, l'aisance, l'intelligence et la beauté, ce qui l'attire forcément.

    Séduite voire même hypnotisée par l’opulence de l’univers dans lequel vit la pianiste, elle a de plus en plus de mal à retourner dans sa modeste maison entre un père qui a trop de travail pour avoir le temps de s’occuper d’elle, une amie de la famille qui les aide en effectuant les tâches ménagères et qui ne perd pas une occasion de la railler - sans méchanceté mais avec une ironie qui la blesse tout autant -, un frère qui a plein d’amis et qui a le droit de batifoler à droite à gauche, et enfin une adorable fillette de six ans qu’on lui colle dans les pattes alors que son débit ininterrompu et sa demande d'attention constante l'agacent fortement. Par petites touches sensibles, les auteurs abordent avec une grande intelligence et un sens de l’observation affuté les rêves, les emballements et les élans du cœur d’une jeune fille fragile, boudeuse et timide, ainsi que ses premières espérances déçues et ses grandes désillusions. Ils décrivent les difficultés de l’adolescence avec une telle justesse que tout le monde se reconnaitra au travers de quelques traits de caractère d'une Charlotte tour à tour (ou en même temps) effrontée, cinglante, frondeuse, pleine de certitudes pour cacher ses doutes, agacée par les adultes qui ne la comprennent pas, mais également capable d'amour et de tendresse. Une écorchée vive formidablement interprétée par une Charlotte Gainsbourg qui crève l’écran, aidée en cela par la mise en scène toujours millimétrée et subtile d’un Claude Miller qui semble s’être régalé à la filmer, arrivant à presque tout faire passer par ses regards, expressions et attitudes (beaucoup de gros plans sur Charlotte procurent une puissante émotion). Il ne faudrait cependant pas oublier la délicieuse Julie Glenn qui est la source de la plupart des répliques et séquences humoristiques, une petite fille qui n’a pas la langue dans sa poche, elle aussi subjuguée mais par Charlotte qu’elle considère à la fois comme une grande sœur, une confidente et une camarade de jeu ; elle est craquante du début à la fin et son « Je ne veux pas que Charlotte parte avec la pianiste » fera venir des larmes aux yeux aux plus endurcis des spectateurs. D’après l’actrice elle-même, celle-ci n’aurait pas joué cette scène puisqu’à ce moment-là elle croyait dur comme fer que sa partenaire allait réellement s’en aller.

    Dommage que les auteurs n’aient pas pris plus leur temps pour évoquer ce caniculaire été adolescent, ne se soient pas plus longuement appesantis sur les petits riens de la vie quotidienne et aient manqué d’un peu de subtilité dans la description d’un microcosme artistique assez cliché (le jeu efféminé et pédant de Brialy, le personnage du professeur rigide, la jeune fille un peu hautaine...). En l’état il s’agit néanmoins d’une remarquable réussite, car quoi de plus difficile que de retranscrire d'une manière plausible les contradictions de cet âge ingrat et rendre justes les affres, hésitations, tourments et fièvres des débuts de l’adolescence, voire même le désarroi des adultes face au mal-être de ces grands enfants à fleur de peau qui ne rêvent que d’être enfin pris au sérieux.

    Sans jamais se départir de sa légèreté, tour à tour drôle, désinvolte - pas dans sa mise en scène, au contraire rigoureuse, trop peut-être -, délicat, tendre, délétère et profondément émouvant, sur l'air entrainant du tube interplanétaire Sarà perchè ti amo de Ricchi e Poveri et celui plus serein du concerto pour piano N°11 de Mozart, L'Effrontée est une chronique de mœurs douce-amère, d'une belle simplicité et d’une confondante justesse sur la confusion des jeunes adolescents alors que se bousculent en eux à la fois l’envie et la peur de quitter l’enfance. Il fallait beaucoup de sensibilité et d’acuité dans le regard pour réussir un film aussi fragile. Pari gagné pour Claude Miller et ses scénaristes ; nous ne sommes pas prêts d'oublier les frimousses et les bouderies de Charlotte et Lulu ! »
    willycopresto
    willycopresto

    130 abonnés 1 352 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 mars 2017
    "L'effrontée" (1985) Arte le 13.03.2017

    On ne sait trop pourquoi ce film s'appelle "l'effrontée", pas vraiment le trait de caractère de la petite Charlotte Gainsbourg plutôt conciliante et docile. Claude Miller, le réalisateur, lui a offert ici sur un plateau,son premier grand rôle. Cadeau empoisonné ? En tyout cas, les gênes de ses parents aidant peut-être, elle nous fait ici une brillante démonstration de son talent autour d'un scénario qui m'avait plu la première fois que j'ai vu ce film, mais qui m'a décu lorsque je l'ai revu !
    Le public n'a pas suivi avec 661 000 spectateurs en salles, ce qui ^prouve une fois de plus que les médailles en chocolat ne témoignent en aucun cas de la qualité d'une production ! Je ne suis pas certain non plus que ce film attirerait encore autant de monde aujourd'hui ! En attendant, Charlotte a été révélée au public, soit, et pas seulement par le cinéma. Mais au final en faisant d'elle une star, ne lui a-t-on pas volé sa jeunesse et ses poupées, ou d'autres rêves comme dans cette histoire ?
    willycopresto
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 novembre 2024
    Ce long-métrage réalisé par Claude Miller en 1985, permet de lancer la carrière au cinéma de la toute jeune Charlotte Gainsbourg. En effet, cette dernière interprète avec justesse les atermoiements d’une adolescente qui cherche sa voie. A la fois farouche et fragile mais aussi très agaçante, elle propose toute la palette des sentiments que l’on éprouve à cet âge (ce qui lui vaut d’ailleurs le César du meilleur espoir féminin). Malheureusement, le film ne possède aucune intensité et le scénario très convenu manque d’originalité. Bref, une comédie légère mais sincère sur le passage de l’enfance au monde adulte.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top