Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
(...) la fiction la la plus pertinente et enthousiasmante qu'on ait reçue de Buenos Aires depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Humanité
par Emile Breton
Ce n'est pas le détail qui compte dans ce film étonnant, comédie douce-amère entre Buenos Aires et Mar del Plata, mais la circulation. Des objets et des personnages.
Le Monde
par Thomas Sotinel
L'inconfort de la jeune femme face à la dépossession de ce qui faisait son identité donne sans doute la clé de cette comédie de l'aliénation qui dégage des vapeurs à la fois hilarantes et toxiques. La mise en scène de Martin Rejtman en fait un objet très cohérent, articulé avec une grâce anguleuse qui arrête l'attention.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Camille Brun
Silvia¨Prieto est tel une ronde où les objets et les idées circulent et où le spectateur passe d'un personnage à un autre (...) L'apparente détente avec laquelle les personnages sont exposés au spectateur permet ainsi à ce dernier de ressortir amusé de la salle, mais l'esprit occupé et fasciné par les sombres issues dont il a été question.
Première
par Estelle Ruet
Martin Rejtman fait preuve d'audace en usant d'un humour qui n'est pas sans rappeler la comédie italienne des années 70 avec ses personnages déshumanisés et ses situations absurdes. On imagine un portrait de femme convenu, on trouve celui, plus subtil, d'une génération aux repères flous.
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Une comédie de moeurs savoureuse et caustique qui s'impose aussi comme une chronique impressioniste de l'Argentine d'aujourd'hui.
Télérama
par Pierre Murat
Silvia Prieto a été tourné en 1998, à l'aube de cette " nouvelle vague " argentine que Martín Rejtman a influencée. Depuis, on a vu et aimé La Ciénaga, de Lucrecia Martel, Tan de repente, de Diego Lerman, Historias mínimas, de Carlos Sorin et, tout récemment Le Fils d'Elias, de Daniel Burman. Moins étonnant que tous ces films, Silvia Prieto n'en demeure pas moins une oeuvre fondatrice. Un peu comme Le Beau Serge qui annonçait A bout de souffle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
par Didier Peron
Le style pince-sans-rire de Rejtman laisse le spectateur dans une sorte d'expectative sans objet, dont le film souffre un peu. Reste que Rejtman est une nouvelle découverte, de même que son actrice Rosario Blefari, chanteuse et actrice de théâtre avant-gardiste, primée au festival des 3 Continents de Nantes.
Aden
par Philippe Piazzo
Désenchantée, Silvia? Oui, un peu comme l'ensemble du film d'ailleurs, chassé-croisé forcé de personnages plus mornes les uns que les autres.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Cinéastes
par Emmanuel Vincenot
Voilà un film à même de générer des kilomètres de glose savante mais mortellement ennuyeux pour qui attend du cinéma un minimum de palpitation.
Les Inrockuptibles
(...) la fiction la la plus pertinente et enthousiasmante qu'on ait reçue de Buenos Aires depuis longtemps.
L'Humanité
Ce n'est pas le détail qui compte dans ce film étonnant, comédie douce-amère entre Buenos Aires et Mar del Plata, mais la circulation. Des objets et des personnages.
Le Monde
L'inconfort de la jeune femme face à la dépossession de ce qui faisait son identité donne sans doute la clé de cette comédie de l'aliénation qui dégage des vapeurs à la fois hilarantes et toxiques. La mise en scène de Martin Rejtman en fait un objet très cohérent, articulé avec une grâce anguleuse qui arrête l'attention.
MCinéma.com
Silvia¨Prieto est tel une ronde où les objets et les idées circulent et où le spectateur passe d'un personnage à un autre (...) L'apparente détente avec laquelle les personnages sont exposés au spectateur permet ainsi à ce dernier de ressortir amusé de la salle, mais l'esprit occupé et fasciné par les sombres issues dont il a été question.
Première
Martin Rejtman fait preuve d'audace en usant d'un humour qui n'est pas sans rappeler la comédie italienne des années 70 avec ses personnages déshumanisés et ses situations absurdes. On imagine un portrait de femme convenu, on trouve celui, plus subtil, d'une génération aux repères flous.
TéléCinéObs
Une comédie de moeurs savoureuse et caustique qui s'impose aussi comme une chronique impressioniste de l'Argentine d'aujourd'hui.
Télérama
Silvia Prieto a été tourné en 1998, à l'aube de cette " nouvelle vague " argentine que Martín Rejtman a influencée. Depuis, on a vu et aimé La Ciénaga, de Lucrecia Martel, Tan de repente, de Diego Lerman, Historias mínimas, de Carlos Sorin et, tout récemment Le Fils d'Elias, de Daniel Burman. Moins étonnant que tous ces films, Silvia Prieto n'en demeure pas moins une oeuvre fondatrice. Un peu comme Le Beau Serge qui annonçait A bout de souffle.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
Le style pince-sans-rire de Rejtman laisse le spectateur dans une sorte d'expectative sans objet, dont le film souffre un peu. Reste que Rejtman est une nouvelle découverte, de même que son actrice Rosario Blefari, chanteuse et actrice de théâtre avant-gardiste, primée au festival des 3 Continents de Nantes.
Aden
Désenchantée, Silvia? Oui, un peu comme l'ensemble du film d'ailleurs, chassé-croisé forcé de personnages plus mornes les uns que les autres.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
Voilà un film à même de générer des kilomètres de glose savante mais mortellement ennuyeux pour qui attend du cinéma un minimum de palpitation.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr