Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Le Figaro
par Claude Baignères
Charles Russell nous propose une comédie fantasmagorique pleine de gags, de fantaisie et d’effets spéciaux. Le Figaro, 29 octobre 94
La Croix
par J.-L. M.
(…) à l’écran les transformations cartoonesques de l’acteur Jim Carrey sont époustouflantes (…) mais le chef-d’œuvre n’est pourtant pas au rendez-vous. Le scénario est d’une indigence redoutable. La Croix, 27 octobre 94
Le Monde
par T.S.
Il y a là tant de jubilation (…) qu’on oublie la paresse extrême qui a présidé à l’écriture du scénario et les passages à vide qui séparent les morceaux de bravoure. Le Monde, 27 octobre 94
Positif
par Michel Cieutat
(…) on ne peut qu’admirer le jeu survolté du jeune acteur canadien Jim Carrey, qui aurait donc beaucoup gagné à être limité à l’interprétation du comportement soudain décomplexé et délirant du protagoniste dans le quotidien que dans un domaine de fiction
Télérama
par Bernard Génin
(…) on s’amusera franchement à cette nouvelle prouesse des techniciens d’Industrial Light and Magic, première rencontre du film de gangster, de la comédie musicale et du dessins animé. Télérama, 26 octobre 94
Le Figaro
Charles Russell nous propose une comédie fantasmagorique pleine de gags, de fantaisie et d’effets spéciaux. Le Figaro, 29 octobre 94
La Croix
(…) à l’écran les transformations cartoonesques de l’acteur Jim Carrey sont époustouflantes (…) mais le chef-d’œuvre n’est pourtant pas au rendez-vous. Le scénario est d’une indigence redoutable. La Croix, 27 octobre 94
Le Monde
Il y a là tant de jubilation (…) qu’on oublie la paresse extrême qui a présidé à l’écriture du scénario et les passages à vide qui séparent les morceaux de bravoure. Le Monde, 27 octobre 94
Positif
(…) on ne peut qu’admirer le jeu survolté du jeune acteur canadien Jim Carrey, qui aurait donc beaucoup gagné à être limité à l’interprétation du comportement soudain décomplexé et délirant du protagoniste dans le quotidien que dans un domaine de fiction
Télérama
(…) on s’amusera franchement à cette nouvelle prouesse des techniciens d’Industrial Light and Magic, première rencontre du film de gangster, de la comédie musicale et du dessins animé. Télérama, 26 octobre 94