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    West Side Story
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    4,0
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    280 critiques spectateurs

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    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 janvier 2022
    Comédie musicale culte, remportant notamment dix Oscars en 1962, ce film co-signé par Robert Wise et Jerome Robbins s’inspire de la tragédie de William Shakespeare : « Roméo et Juliette ». Cette fois-ci, l’amour impossible gagne les cœurs de Maria (Natalie Wood) et Tony (Richard Beymer). Mais les comparaisons s’arrêtent là car les réalisateurs ont ancré leur histoire dans le contexte ethnique des années 1950 à New York, où les Américains d’origine européenne s’opposent aux immigrés portoricains. Malgré une mise en scène d’une extrême qualité pour l’époque (vues aériennes, chorégraphies soignées, etc.), la romance à l’eau de rose ne parvient pas à convaincre. En outre, à l’exception des quelques chansons (« America » et « Tonight » notamment), la plupart des musiques restent peu entraînantes. Bref, un grand classique un peu suranné.
    Samuel Marty47
    Samuel Marty47

    6 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 janvier 2022
    Malgré quelques erreurs de montage le film est vivifiant et admirablement bien orchestré. Cette comédie musicale est un véritable coup de maître ! Excellent !
    Steven O.
    Steven O.

    29 abonnés 697 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 décembre 2021
    Vu en VO hier et ce film m'a littéralement bluffé.
    On comprend rapidement pourquoi il a été élevé au panthéon des films cultes, des chefs d'œuvre.

    Ce film a une avance technique de plus de 30 ans pour moi et une réalisation avant gardiste qui est bluffante. Jamais je n'aurais dit que ce film avait 60 ans de part sa réalisation moderne.
    Les différentes chansons et chorégraphies sont époustouflantes avec certains morceaux qui sont devenus cultes eux aussi.
    C'est synchronisé , rythmé, souvent enjoué, parfois triste mais cela ne laisse pas indifférent.
    Les costumes ajoutent à la beauté des chorégraphies

    Cette revisite de Roméo et Juliette dans les gangs New-Yorkais de la fin des années 50 est un délice, avec des plans et une photographie soignée.

    Reste pour chipoter , un casting parfois inégal avec des seconds ( ou plutôt troisième ) parfois mauvais et une baisse de qualités en terme musicale et de rythme à spoiler: la mort de Riff et Bernardo
    qui apportaient clairement en charisme et en substance à l'ensemble du film

    Mais l'ensemble se relève d'un niveau presque parfait
    ffred
    ffred

    1 696 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2021
    Pas revu depuis au moins trente ans, mais intéressant de le revoir avant la nouvelle adaptation de Spielberg. Un film culte qui n’a pas pris une ride. Mais c’est vrai qu’avec le recul voir Natalie Wood et George Chakiris avec le teint artificiellement assombri et l’accent portoricain fait un peu anachronique aujourd’hui. Toujours un réel plaisir.
    Gonzalo Morales
    Gonzalo Morales

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 décembre 2021
    Mon dieu quel mauvais film ! Je vous fais une faveur, ne le regardez pas, vaut mieux acheter 10 chocolats mars que de regarder ce film ennuyeux.

    A quoi cela sert de ressortir aujourd'hui une telle histoire clichée ? La trame est une perspective anglo-américaine d'un problème social qui existe encore que les réalisateurs évidemment n'arrivent pas à comprendre.

    Cependant, je crois que si le film avait duré une demie-heure, je lui aurais mis 4 étoiles. A cause d'une volonté innécessaire de prolonger la durée du film, je lui mets 1 étoile... Pour m'avoir ennuyé et fait perdre mon temps.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    87 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 décembre 2021
    Grand classique du 7eme art, j'ai voulu le revoir car on en parle beaucoup en ce moment avec la sortie du remake de Spielberg. La scène d'ouverture reste pour moi un monument de grâce, de rythme et de beauté plastique. Et rien que pour cela je trouve logique qu'on le considère comme un chef d'œuvre, même si après il y a quelques longueurs et quelques moments un peu naifs
    TUTUR29
    TUTUR29

    32 abonnés 1 115 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 décembre 2021
    Après avoir vu l'engouement autour du remake de West Side Story par Steven Spielberg, je me suis décidé à enfin regarder ce classique. Et j'ai plutôt été convaincu ! Encore une fois, le style comédie musicale me rebute un peu, ça m'empêche d'être complètement plongé dans l'intrigue ce qui annule un peu la dramaturgie de certaines scènes, qui ne m'ont absolument pas émues. Mais pour autant, j'ai passé un bon moment devant West Side Story! Il faut dire que les musiques sont tellement belles, les chorégraphies et couleurs splendides, ça aide grandement à l'appréciation. Le scénario traite en plus de sujets encore d'actualité, comme le racisme dans les quartiers ou la misogynie. Le film représente bien le cycle de haine interminable créé par le racisme. Ce message semble très banal aujourd'hui et ça donne un ton un peu niais à l'œuvre, mais force est de constater qu'en cire aujourd'hui, ça ne fait pas de mal de rappeler cette évidence, et c'est pour cela que je pense qu'un remake n'est franchement pas une mauvaise idée actuellement (même si je ne l'ai pas encore vu). Bref, West Side Story reste une comédie musicale donc beaucoup ne vont pas adhérer au film, mais ce dernier reste très intéressant et divertissant, je recommande !
    Rhum Coco
    Rhum Coco

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 décembre 2021
    Sublime ! Beauté !!! Super emouvant !! Un des meilleurs spielberg !!! Tout est excellent, de l'image a la musique et aux choregraphies
    Framas54
    Framas54

    15 abonnés 114 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 décembre 2021
    N’écoutez pas les pisse-froid.. Quand Mr Spielberg s’empare d’un morceau choisi comme l’histoire du quartier Ouest, il met du coeur à l’ouvrage..et des dollars.. Il en fallait pour cette reconstitution du NY des années 50, costumes, rues, bagnoles, appartements.. une réussite musicale aussi, Bernstein c’est la variété au service de la tragédie grecque.. il y a certes comme dans tout film dépassant 2h30, des moments superflus, mais on voit bien que l’auteur s’applique. Les acteurs aussi. Ce film est un melting pote..
    Nicolas E.
    Nicolas E.

    1 abonné 43 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 décembre 2021
    Excellent, les parties chantées sont extrêmement réussies, que ce soit pour les scènes d'action comme celles romantiques. Leur atmosphère et leur mélodie restent en tête des dizaines d'années !
    Vador Mir
    Vador Mir

    257 abonnés 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 décembre 2021
    Chef d'œuvre musical doublé d'une fable sociale, Un film culte qui a marqué son époque. Parfois on aimerait que les conflits dans le monde se résolvent comme dans ces comédies musicales.
    On est clairement dans un plagiat assumé de Roméo et Juliette mais la musique de Leonard Berstein donne vie aux personnages et à l'histoire avec une force rarement égalée dans toute l'histoire du cinéma et fait de ce film un véritable monument.
    Gzc S
    Gzc S

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 décembre 2021
    Un film interminable, j'ai vu le premier au collège il y a 30 ans et j'en garderai un bien meilleur souvenir.
    Certes les acteurs et les décors sont à la hauteur mais c'est lent, c'est mou, papy Spielberg a réalisé son pire film qui aurait peut être plu dans les années 60, mais c'est un film sans intérêt de nos jours.
    J'y suis allé en famille, avec ma femme, ma mère, mes sœurs et beaux frères, 2h30 d'ennui durant lesquelles nous n'attendons qu'une chose, que ça s'arrête. Chaque nouvelle chanson était un calvaire.
    Je reconnais ne pas être un spécialiste des comédies musicales, mais quand on a connu moulin rouge, chicago et grease on ne peut que trouver ce film sans intérêt.
    S'il avait prit Eminem ou Orelsan comme acteurs on aurait gagné une heure de film et ça aurait été plus actuel.
    Extrêmement déçu par Spielberg dont j'ai apprécié tous ses autres films.
    Gagnez du temps n'y allez pas...
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    529 abonnés 951 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 décembre 2021
    Certains chantent pour aimer, d'autres dansent pour exister. Face à la peur ou à la haine, qui pour s'écouter ? Adaptation de la comédie musicale lancée à Broadway, West Side Story reprend peu ou prou la même trame que l'iconique Roméo et Juliette de Shakespeare, à ceci près que la toile de fond est transformée. Les deux amoureux ne sont plus coincés dans un conflit de classe mais dans une lutte entre déclassés.
    Loin d'être un artifice, ce changement rehausse d'un cran la dimension tragique de cet amour contrarié. Jouant intelligemment sur les reflets que se renvoient constamment Jets et Sharks, le film de Robert Wise et Jerome Robbins dépeint l'Amérique d'alors. En fait, l'Amérique de toujours : un pays né et fondé sur les différentes vagues d'immigrations, pourtant rattrapé par son problème de racisme systémique. Si l'injustice et la pauvreté en sont à l'origine, les victimes auront tôt fait de rejeter la faute sur leur voisin et de se disputer leur misérable bout de territoire plutôt que d'aller résoudre les problèmes ensemble. Ce n'est pas appuyé mais le motif parcourt West Side Story.
    Irlandais, Polonais d'un côté, Portoricains de l'autre. De la couleur, de l'énergie, une envie de vivre pleinement. On chante son amour, son amertume. Et on danse pour extérioriser, pour exister. Dès l'introduction (prodigieuse) de 10 minutes sans parole, on revient à l'idée originelle du cinéma muet qui exprime sans relater. Du mouvement, des performances volontairement exagérées et une compréhension immédiate de ce qui se joue. Comment enchaîner après un tel morceau ? Wise et Robbins enchaînent, tout simplement.
    Admettons qu'un ou deux numéros soient légèrement forcés, cela n'enlève pas le talent incroyable de cette troupe d'esthètes du plus haut niveau. Chacun imprime sa puissance et incarne physiquement son personnage, je pense à George Chakiris, Russ Tamblyn, Rita Moreno ou Susan Oakes par exemple. Le choix d'une mise en scène discrète fait sens. Une logistique plus complexe aurait pu interférer avec les prestations des artistes. Est-ce un problème outre-mesure, les plans statiques rendent parfaitement compte des chorégraphies (des plus simples aux plus virevoltantes), d'autant plus que le montage est dynamique, se permettant quelques petites trouvailles pour faire passer l'idée par l'image (Maria et Tony dans leur bulle, les autres danseurs dans le flou).
    Quand bien même on pense en connaître la fin, on se laisse prendre. Le spectacle bien sûr. Le charme de son couple vedette y est aussi pour quelque chose, évidemment. Et puis Natalie Wood. Comment ne pas tomber en totale admiration devant la grâce et l'émotion qu'elle transmet à la caméra ? Richard Beymer est un Roméo des plus convaincants, comme lui on n'a d'yeux que pour Juliette ou plutôt Maria. Comment ne pas se laisser enchanter ?
    Cinememories
    Cinememories

    482 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 décembre 2021
    Le célèbre monteur de la RKO a fait du chemin, depuis « Citizen Kane », puis son succès personnel « La Splendeur des Amberson », pour enfin mettre la main sur la fabuleuse comédie musicale éponyme, sortie quatre ans plus tôt. Robert Wise met donc à profit cette adaptation au « Roméo et Juliette » de Shakespeare, où il évoquera New York et ses conflits ethniques, tout comme ses instants magiques entre deux amants maudits. C’est également en comptant sur le précieux talent du chorégraphe Jerome Robbins, que l’on développera une véritable narration à travers les danses. C’est un rythme qui n’a pas toujours besoin de paroles, mais qui saura légitimement explorer la psychologie de personnages, haut en couleur. Le renouveau du genre arrive avec cette œuvre, qui réussit à capter la tension du quartier ouest de Manhattan et à sublimer un drame, qui n’a rien perdu de sa splendeur.

    Jets versus Sharks, Américains versus Portoricains. C’est une lutte qui se déguste au rythme du son et d’une caméra aérienne et souple. La danse est le langage du corps, est se montre violente et élégante, sans pour autant négliger la tension qui règne entre les deux camps. L’immigration en est la source, mais c’est plutôt la difficulté d’intégration qui est mise en avant. L’ouverture se nourrit du décor réel pour en illustrer toute cette adversité, toute cette morale qui piétine les droits et les libertés de ces jeunes adultes, qui n’aspire pas à s’extirper de leur enclos. Ils préfèrent se l’approprier, en avoir le contrôle, par une forme de suprématie absurde et maladroite de leur part. La jeunesse est dans le déclin, dans le déni et dans l’incapacité de se soumettre à l’autorité, qui fera irruption par instant, mais toujours avec un temps de retard. Les nombreuses plaidoiries des Portoricaines verront la désillusion écraser leur espoir, celui d’une oasis sociale et économique. On joue alors sur le contre-champ de cette rêverie, qui nous ramène dans la crasse des ruelles désenchantées, qui débordent de visages endurcis par les mêmes enjeux, d’un point de vue beaucoup moins optimiste.

    Et au milieu de ce ballet musical, qui revendique chaque espace de son environnement, nous avons Tony (Richard Beymer), un ex-leader des Jets et Maria (Natalie Wood), la sœur cadette du leader des Sharks. Ces conflits ne les concernent pas directement, car leur relation se ressentira souvent par le biais d’une bulle qu’ils se créent, tout juste pour eux, tout juste pour le coup de foudre qui les a réunis. La différence et la tolérance ne seront pas des arguments en faveur de leur soudaine union, dès lors très ancrée dans une réalité sociale, qui n’encourage pas la mixité. Les communautés se referment sur elles-mêmes et il ne reste plus qu’à idéaliser ce qui serait alors délicat à explorer. Une scène, qui simule une rencontre avec les parents respectifs des âmes sœurs en est l’exemple parfait. Comme tout le reste du récit, qu’il soit d’ordre tragique ou non, on réussit à élever la beauté intérieure des personnages, comme on parvient ensuite à déchirer leur foi, leur amitié et leur avenir.

    Wise signe avec « West Side Story », une touche de modernité, bienvenue dans l’ère de la comédie musicale, à l’époque dans le déclin. Secondé par une chorégraphie implacable et la virtuosité du compositeur Leonard Bernstein, qui se balade avec aisance de l’opéra au jazz, le cinéaste a bâti une miniature d’une Amérique dans l’impasse, où l’excès de haine et l’incompréhension interculturelle bouillent dans le sang. Et au-delà de la trajectoire de l’intrigue, on retient cette amère sensation d’abandonner cette vie en groupe, pour enfin se laisser emporter par l’individualité, une notion qui s’associe à la maturité ou simplement une vie d’adulte, si seulement l’on parvenait à atteindre la fin de la rue.
    Ricco92
    Ricco92

    224 abonnés 2 149 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 octobre 2021
    Même si c’est assez rare, certains films arrivent à atteindre la perfection. West side story est de ceux-là ! Ainsi, dans cette adaptation d’une comédie musicale à succès de Broadway qui elle-même adaptait la trame de Roméo et Juliette dans l’univers des guerres de bandes de jeunes à New York, tout est sublime du générique d’ouverture à celui final : la musique et les chansons (qui ne connaît pas America ou Maria ?), les chorégraphies, l’interprétation (on retient en particulier Nathalie Wood, George Chakiris et Rita Moreno), la réalisation faisant preuve d’une vraie science des cadrages et des mouvements de caméra, la photographie jouant parfaitement avec les éclairages et les couleurs … En outre, West side story ne se limite pas à une réussite plastique mais réussit à traiter très justement de thématiques toujours d’actualité (la chanson America est parfaite pour montrer les sentiments contradictoires des immigrés par exemple) et à émouvoir son public (qui peut facilement sentir les larmes monter), ce qui est une chose très difficile à faire quand on pratique un genre aussi artificiel que celui où les personnages se mettent à chanter tout d’un coup. West side story est donc bel et bien un chef-d’œuvre incontestable du 7ème Art.
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