Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
chrischambers86
13 706 abonnés
12 423 critiques
Suivre son activité
1,5
Publiée le 26 janvier 2022
Une authentique histoire de soucoupes volantes stipule un carton dans l'intro du film...et qui attendent toujours la nuit pour apparaitre dans un bled perdu de l'Oncle Sam! Ça s'est passè vers la vieille ferme de Palm Woods près du coin des amoureux! Les extraterrestres sont riquiquis et hostiles! Des trucs semi-comiques à faire peur, pas vraiment, le tonnerre, une main de martien piègèe dans une voiture! Tout à l'air d'un gag mais non...il faut attendre les dix dernières minutes pour voir les petits hommes verts sortir des fourrès! La lumière leur fait mal et les aliens envahisseurs avec des têtes de laitues frisèes carbonisent aussi vite qu'ils sont venus. "Invasion of the Saucer Men" n’est pas un très bon produit de la S.F malgrè son affiche allèchante! Un petit budget (on sent vraiment le truc bricolè) avec de l'humour au ras du plafond (cf. le taureau qui boit de la bière). On a bien compris que le film ne se prenait pas du tout au sèrieux et que le vieux Peabody, qui veille ses terres, avait ètè repris par Zemeckis dans "Back to the Future". L'ambiance des fifties et des sèries B d'antan est heureusement meilleure...
Invasion of the Saucer Men (1957) est l’adaptation de la nouvelle "The Cosmic Frame", de Paul W. Fairman. Réalisée par Edward L. Cahn, grand spécialiste de la SérieB, à qui l'on doit entre-autre Le tueur au cerveau atomique (1955), The She-Creature (1956), It! The Terror from Beyond Space (1958) ou encore Invisible Invaders (1959).
Du cinéma Bis en bonne et due forme, voilà ce qui vous attend avec ce film kitch de 60min, où une invasion de soucoupes volantes vient perturber la tranquillité d’un petit patelin.
Alors avis aux amateurs d’aliens en mousse et de figurants costumés, ici les extra-terrestres ont tous une tête de choux de Bruxelles aux yeux globuleux. Le rythme du film y est très lent, armez-vous de patience jusqu’au dénouement final.
Yes we Cahn. Voici donc un petit film de SF au budget microscopique. Alors qu’un jeune couple souhaite s’isoler dans les bois pour profiter de la vie, une soucoupe volante atterrit non loin de là. Pas de bol, les deux cocos vont renverser un de ces ET en rentrant chez eux. Du coup, il seront accusés d’homicide et recherchés par la police. Oui alors dit comme ça, ça ressemble à un mélange entre Armageddon et Julie Lescaut mais il y a moins d’action que dans l’un et c’est plus intéressant que l’autre. En vérité, on est à mi-chemin entre un polar/thriller assez efficace, un pur film de SF paranoïaque et une comédie légère. Peut-être était-ce la copie mais j’ai trouvé l’ensemble assez sombre et on a parfois du mal à distinguer se qui se passe dans ce bois. En termes de contrastes, on a connu mieux. En revanche, l’intrigue fonctionne vraiment très bien et le suspens nous tient tout du long (le film est très court) malgré des personnages qu’on aurait aimé mieux dessinés. En bref, un très bon moment pour qui aime le style.
On se demande dans quel registre on est dans ce petit film de 69 minutes. Satirique ? Oui parce que l'armée n'est pas épargnée, ceux qui veulent tirer sur tout ce qui bouge non plus, mais les héros du film sont aussi bêtes, rien ne montre dans le film que les aliens avaient des intentions belliqueuses, après qu'ils veulent venger leur copain écrasé accidentellement, c'est compréhensible. Comique ? A part la vache qui lape de la bière et qui fonce sur les E.T, pas grand-chose. Horreur ? On voit si peu les aliens qu'on a pas le temps d'avoir peur. Science-fiction ? L'argument est minimaliste. Bref tout ce mélange n'a rien de terrible mais peut se regarder d'un œil distrait en matant Gloria Castillo qui après avoir fait du cinéma fit carrière dans le prêt à porter.
Fiction SF un peu datée: les ET's sont laids, dégénérés et totalement abrutis pendant que la majeure partie du reste des humains est elevée en ferme expérimentale dans un bonheur artificiel. Kitsch.