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Film somme de toutes les obsessions bergmaniennes (le couple, la mort, l'art, la jeunesse...), "En présence d'un clown" est le film-testament d'un réalisateur sans pareil, qui avait compris que la vie est le plus beau des spectacles.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
"En présence d'un clown" parle de la disparition et de la solitude mais il le fait avec le dynamisme de l'aventure, comme l'atteste le dernier plan, contrepoint du récit : quand l'action dépeint l'inexorable fin, l'image ouvre un possible. La mort de Bergman nous réserve encore quelques surprises.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Incompréhensible que cet authentique chef-d'oeuvre, présenté dans la section "Un Certain Regard" au Festival de Cannes en 1998 (...), sorte seulement maintenant au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Inédit sur grand écran, l'avant-dernier film de Bergman est une promenade avec la folie, l'amour et la mort, qui a la puissance du " 7ème Sceau " et des " Fraises sauvages ".
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
(...) très vite l'envoûtement, et surtout peu à peu la douceur qui, comme la mort vient, comme la neige tombe, recouvre tout et étouffe les sons, les voix et la musique, va s'emparer de tous les personnages et des spectateurs et les faire se fondre les uns avec les autres dans un bain chaleureux. Comme rarement chez Bergman.
"En présence d'un clown" est loin d'être la fable musico-psychanalytique que notre description pourrait faire craindre. C'est avant tout une matière vivante
La critique complète est disponible sur le site Libération
Brazil
Film somme de toutes les obsessions bergmaniennes (le couple, la mort, l'art, la jeunesse...), "En présence d'un clown" est le film-testament d'un réalisateur sans pareil, qui avait compris que la vie est le plus beau des spectacles.
Critikat.com
"En présence d'un clown" parle de la disparition et de la solitude mais il le fait avec le dynamisme de l'aventure, comme l'atteste le dernier plan, contrepoint du récit : quand l'action dépeint l'inexorable fin, l'image ouvre un possible. La mort de Bergman nous réserve encore quelques surprises.
Excessif
Incompréhensible que cet authentique chef-d'oeuvre, présenté dans la section "Un Certain Regard" au Festival de Cannes en 1998 (...), sorte seulement maintenant au cinéma.
L'Express
Voir la critique sur le site L'Express.fr
L'Humanité
Angoisse et douceur, le sommet d'un art.
Le Figaroscope
Inédit sur grand écran, l'avant-dernier film de Bergman est une promenade avec la folie, l'amour et la mort, qui a la puissance du " 7ème Sceau " et des " Fraises sauvages ".
Le Monde
L'un des plus beaux films de Bergman enfin en salles.
Le Point
Voir la critique sur Le Point.fr
Les Inrockuptibles
(...) très vite l'envoûtement, et surtout peu à peu la douceur qui, comme la mort vient, comme la neige tombe, recouvre tout et étouffe les sons, les voix et la musique, va s'emparer de tous les personnages et des spectateurs et les faire se fondre les uns avec les autres dans un bain chaleureux. Comme rarement chez Bergman.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Cette impureté érigée en principe, cette tension permanente entre ridicule et sublime constituent la force de cette oeuvre déroutante.
Libération
"En présence d'un clown" est loin d'être la fable musico-psychanalytique que notre description pourrait faire craindre. C'est avant tout une matière vivante
Paris Match
Envoûtante symbiose du théâtre, du cinéma et de la musique (...) nous sommes toujours en présence d'un génie.