Je suis une légende, un film avec une ambiance posée, ou le scénariste a travaillé avec will smith pour donné un film reposant sur l’image et le comportement. C’est ce que nous révèle le réalisateur francis lawrence lors d’une interview donnée par Blacktree Tv pour la sortie du film en 2007.
“Nous avons travaillé sur cette approche, pour offrir des scènes vraiment fortes”c’est ce que nous promet le film, un film contemplatif, avec des scènes puissantes avec will smith portant ce rôles, acteur bien connu de tous, et qui à cette période comme aujourd’hui reste un acteur très prolifique et a ses côtés le réalisateur de constantine ou plus récemment des hunger games: Francis lawrence.
Comme il le précisait dans son interview, monsieur lawrence ne voulait pas reproduire le film sortit précédemment: 28 jours plu tard, le réalisateur a alors décidé de se consacrer beaucoup plus sur le personnage principal.
Il s’en remet alors à will smith, un acteur star, dont le visage a l’affiche permet à coup sûr une réussite au box office, et preuve en est puisque l'accueille par le public est plus que convenable avec 585,349,010 $ de recette à l’international.
L’acteur et les scénaristes se sont mis à travailler ensemble pour créer le personnage et son environnement malgré quelques liberté d’adaptation par rapport au livre original, il en ressort que ce film est une bonne adaptation de roman éponyme.
Bien sur lorsqu’on pense film d’action, nous vient naturellement des films comme les avengers, ou plus en accord avec l’époque transformers. La différence avec I am legend ressort principalement du fait que ce dernier n’est pas à proprement parler film d’action puisqu’il s’attarde beaucoup plus sur la vie d’un survivant après l’apocalypse. S'attarde sur les capacité d’un homme seul a se convaincre du contraire, nous pensons bien évidemment à la scène de la première partie, dans le magasin lorsqu’il parle au mannequin comme à ses amis ou du moins à des connaissance de quartier auxquels on parle par courtoisie et par convention social. Nous nous somme tous dit un jour que n’aimions pas parler à ces personnes, ici il est alors montrer que la vie en société était finalement ce qui empêche un homme de devenir fou car ça rapproche le personnage de sa vie d’avant, vie qu’il aimait.
Dans une époque où le monde que vous connaissait a disparu,ou la nature reprend ses droits que vous reste il ? Will smith nous montre une prestation flegmatique, ou l’idée principal est de rester digne, limite froid face à la peur constante que représente la solitude et les “nouveaux humains”qui sont dans le livre des zombie, modifié ici pour une adaptation à l’époque plus logique.
Jusqu’au moment ou interviennent dans sa vie de nouveau intervenant de les personnes de anna et ethan.
Le film entier est fondée sur une montée en terreur lente quant au conséquence du virus qui a créer des monstre, des zombie qui malgré leurs méchanceté et leur incapacité à communiquer ne sont pas totalement dépourvu d'intelligence comme prouver a la fin quand il sont guider par un d’entre eux qui semble avoir plus de leadership que les autres.
De plus cette angoisse est apporté par un parallèle avec des flash disséminé le long du film ou nous apprenons de plus en plus sur les origines de cette épidémie.
Ce choix de montage est clairement ici pour nous permettre de mieux nous mettre dans la peau du héro qui malgré tout ce qu’il a perdu reste avec une humanité plus qu’importante qui va le pousser à aider anna et ethan tandis qu’il perd de plus en plus son mode de vie très organisée au profit d’une vie plus humaine.
Will smith tenant le rôle principal et le film dans un point de vue plus général, en a surpris plus d’un. personne ne l’attendant dans ce genre de rôle il s’en sort néanmoins avec une prestation plus que respectable d’un calme olympiens qui serait si l’on écoutait quelque mauvaises langue a la limite du fade, mais heureusement que l’apparition de nouveaux personnage ainsi qu’un genre filmique d’action permettant un rythme de montage rapide la sauve d’une monotonie dans son jeu et lui permette de rendre honneur à sa carrière.
Quand au physique du protagoniste, il est en effet difficile de croire qu’un scientifique qui comme précisé au début du film passe sa vie dans ses recherche ai un corpz aussi bodybuildé mais il ne sera au déplaisir de personne de voir les muscle de will smith de plus malgré ce petit détail cette condition physique s'inscrit totalement dans la ligné des films d’action de ce genre et de cette époque.
Malgré sa qualité respectable le film n’est pas une réussite dans son ensemble, il regorge de défauts. Que ce soit le jeu de will smith ou l’implication du spectateur dans le film, le but du réalisateur n’est pas toujours atteint. mais même en tenant comtes de ces petits détails, le film reste un agréable moment a passer que ce soit sur grand écran ou sur des plateforme de streaming il n’est pas question de trouver le film trop long. Avec ces 104 min directors cut le film ne nous lasse à aucun moment mais ne nous laisse pas non plus sur notre faim.
un film agréable, sans restriction d’âge et même si il n’a pas remporté d’oscar il reste un film à voir et qui s’est inscrit dans un univers communs à beaucoup de fan du genre ou me de cinéphile amateur.
Ce film est tout de même, si il faut lui apporter un compliment de plus, une oeuvre qui nous prouve que warners sait produire des films créatifs et qu’il est possible de faire des bonnes adaptation, des films originaux fonctionnant sur des codes déjà utilisé à maintes et maintes reprise. c’est une preuve qu’il est encore possible de faire des bons films qui ressemble a d’autre.
I am legend
Etat unis, 2007
Réalisation Francis Lawrence
Scénario Akivava Goldsman, Mark Protosevich
Image Andrew Lesnie
Montage Wayne Wahrman
Direction artistique David Lazan, Patricia woodbridge, Bill Skinner et Howard Cumming
sous la direction de Naomis Shohan
Musique James Newton Howard
Production Original film, Warners bros, Village roadshow Pictures, Weed roed Pictures et overbrooks Entertainment
Distribution Warner Bros. et Village Roadshow Pictures
Durée 104 min
Sortie 5 decembre 2007