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Rorechar
7 abonnés
830 critiques
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3,5
Publiée le 5 novembre 2019
Un très bon film d'action sur le milieu carcéral, où les prisonniers transférés par avion prennent contrôle de l'appareil. On jubile devant la performance de John Malkovich. Face à lui on retrouve un Nicolas Cage qui est crédible dans le rôle de l'ancien ranger qui a fini de purger sa peine et rentre chez lui. À côté de bon second rôle, John Cusack, Steve buscemi. Un film familiale.
Ça se regarde (sauf les sirupeuses toutes dernières minutes) mais ce n'est vraiment pas terrible, le film tombant dans sa dernière très longue partie dans l'illisible, l'incohérent, la surenchère de violence et le grand n'importe quoi. On a de l'empathie pour personne et les gesticulations de Nicolas Cage ne se suivent qu'avec un regard distant. quant à John Malkovich, il se contente de cachetonner. Le suspense n'existe pas puisqu'on sait très bien comment tout cela va se terminer, avec les violons et un lapin en peluche. La seule curiosité qui vaille le coup est le rôle extrêmement curieux que l'on fait jouer à Steve Buscemi. Du cinéma bourrin.
Les Ailes de l'Enfer est un film très bourrin. Ça se mate avant tout pour se vider l'esprit, car on est loin du chef-d’œuvre (je ne pense pas d'ailleurs que le film en ait la prétention). Mais, tout de même, Nicholas Cage est assez peu convaincant (c'est déjà très difficile de le trouver crédible avec des cheveux longs). Même John Malkovitch, bien que bon, est en-dessous de ce qu'il délivre d'habitude. Dans des rôles secondaires, Trejo et Buscemi remontent le niveau. On retrouve l'esprit des films d'actions des années 90 : la guitare électrique en bande-originale, des répliques un peu nulles, une exagération sur des ralentis. Les personnages sont sont assez clichés, et il y a une multitude de personnages secondaires assez inutiles. L'action est pas mal mais pas mémorable, comme film d'action avec des avions, on a vu mieux (Air Force One par exemple). Bof, c'est plaisant et fun ; et ça peut se regarder sans se prendre la tête ; mais c'est loin d'être dingue.
Quels mauvais choix de carrière pour Nicolas Cage, quand même... Parce qu'il faut remonter en 1997 pour tomber dans sa bonne période, où il participait à des films de qualité, comme Les ailes de l'enfer (titre français plus sympathique que l'anglais, "Con air", "Air conditionné"). En 1997, Danny Trejo était jeune, à tel point que seul son visage marqué par de nombreuses cicatrices dues l'acné permettait de se douter de son identité, puisque parmi tous les acteurs du monde,'il n'y a que lui qui a cette tête-là. Les ailes de l'enfer est un film bourré d'action, de suspens, bien joué (notamment par John Malkovich). Seule l'invraisemblance de sa dernière scène spoiler: où l'avion atterrie sur une route de Las Vegas lui empêche d'obtenir les 4 étoiles. C'est vraiment un bon film.
as de grosse surprise, on sait à quoi s'attendre, c'est-à-dire un film plein de testostérone qui tire pendant 1 h 54. Rien de mauvais, pas vraiment bon non plus. Ancien soldat, Cameron Poe a fini de purger ses dix années de prison pour homicide involontaire et part rejoindre sa femme et sa fille, qu'il n'a jamais vue, à bord du Con Air, un avion de transport de détenus. Il se retrouve entouré de tueurs, de violeurs et de terroristes dont la soif de sang et de carnage n'a pas de limite. Tout bascule lorsque Cyrus Grissom, un prisonnier psychotique et violent, prend le contrôle de l'appareil et rallie presque tous les autres détenus avec lui... La réalisation est très simple: le cadrage n'est pas mauvais, la mise en scène va à l'essentiel, les prises de vues sont globalement réussies, la profondeur de champ est bonne et les mouvements pas trop brouillons. Le scénario a pas mal de faiblesses: tout d'abord, on sait très bien que le film va bien se finir, c'est une évidence. Ensuite, il y a un nombre conséquent de clichés, que ce soit sur les personnages ou sur les situations avec des incohérences. C'est rarement d'une grande intelligence mais il y a cependant de très bonnes scènes d'actions et le rythme ne faiblit jamais. Ça se cogne et ça se tire dessus à tout va et c'est assez jouissif. Les acteurs ne sont pas trop mauvais, mais ont vite tendance au surjeu. Les personnages sont un peu trop stéréotypés et donc pas assez attachants. Les dialogues comportent pas mal de répliques assez ringardes, mais il y en a quelques-unes qui valent le coup. La photographie est soignée, la lumière est belle et les couleurs sont bien maîtrisées. Le montage est très fluide et dynamique, on vit l'action à chaque instant. Les décors de Debra Echard sont assez bien réussis, les costumes crédibles et la musique entraînante. "Les Ailes de l'enfer" n'est pas un très bon film, mais se laisse voir une fois.
Moins terrible que le scénario du «déshonneur d’Elizabeth Campbell », un ratage complet pour la crédibilité de ce film. Un nanar que j’ai pris plaisir à regarder, des pénitenciers à l’honneur d’être cité dans le vaste champ du cinéma d’action américain, transportant dans le « con air », ses prisonniers qui en profitent du moment d’égarement de la vigilance pour se lancer dans une mutinerie réussie en déjouant la sécurité de gruyère de l’Etat incriminée, un gros coup de chapeau pour l’infâme exploit. Des scènes gags au piteuse utilisation de poupée de mannequin, une séquence magistral de grand plongeon aérien et opéré par le fabriqué en latex, c’est humoristique comme film plutôt que dramatique, plus de peur que de mal pour ce casting de stars deux étoiles, honorables messieurs Cage, Malkovich, Cusack, Trejo « Old and Paso ».
Dans les années 90, Nicolas Cage était un fameux acteur de comédie. Mais c'était aussi un acteur de film d'action de tout premier plan. Une sorte de successeur avec Bruce Willis, Keanu Reeves et Christian Slater aux stars bodybuildées des années 80. Les Ailes de l'enfer symbolisent toute cette démesure propre à cette décennie avant que le tout-numérique à la Marvel ou Transformers ne viennent prendre le relais. Une bande de taulards dégénérés menée par John Malkovich impayable en psychopathe machiavélique dans un avion, Cage qui vient mettre le boxon et c'est suffisant pour faire un gros film d'action où tout pète à l'écran. En même temps, c'est une production Bruckheimer. On ne peut pas jouer les surpris. On retrouve également ce patriotisme (Poe reste quoi qu'il arrive un bon Marine même en étant déchu) et les valeurs familiales mises en avant : une jolie épouse blonde avec une jolie petite fille blonde aussi bien élevée. Et tous les trois se répètent toutes les trois secondes qu'ils s'aiment au cas où le spectateur n'aurait pas bien compris ou aurait oublié que c'est une bonne petite famille américaine qu'on a là. Enfin bref, les gentils gagnent à la fin, les méchants perdent, Cage a une super coupe de cheveux et j'adore cet acteur comme j'adore cette période cinématographique révolue. Maman, je veux revenir en 1997.
Un des nombreux films mauvais qu'a fait monsieur Cage. On va pas se le cacher mais le film est culcul simple et sans réel intérêt. A la limite en mettre plein la vue avec les scènes d'action, mais celles-ci ne sont pas extraordinaires. Rien qu'au début du film, lors de la présentation de personnages (très cliché et simpliste) on sait qu'on aura affaire à un film de second catégorie. Pis bon tout le film est parsemé de cliché de simplicité. Les acteurs sont les seuls à faire à peu près le travail... Quand ils sont pas dans l'exagération bien sûr. Bref, un film plutôt ridicule
Un bon film d'action, j'aime bien le rôle de John Malkovitch qui fait un très bon psychopathe. Le scénario est intense, la bande son pas terrible et la femme de Cameron assez fade.
Un très bon film avec un sujet mi-commun mi-originale bien exploité avec des effets spéciaux bon pour 1997. L'histoire a des rebondissements et des surprises avec une progression dans le film qui reste claire et cohérent . Le scénario est bien , logique sauf pour certaines choses où ses un peu gros. Un bon dialogue compétant des répliques pouvant nous faire décrocher un sourire. Nicolas Cage ,John Malckovich ,John Cusack ,... sont très crédibles avec des rôles fait pour eux .
Globalement divertissant, de l'action sans prise de tête et des personnages hauts en couleurs. Après, je continue toujours autant à rigoler de ces films et séries US où les convois de prisonniers, qu'ils soient 1 ou 100, ne sont protégés que par deux pauvres agents pénitentiaires sans aucune escorte ou avec une escorte en carton. Très peu réaliste, mais quand on choisit Les Ailes de L'Enfer, ça passe un peu au second plan.
Les ailes de l'enfer est un film excellent porté par des acteurs connus comme Nicolas Cage , John Malkovich , Ving Rhames etc , le scénario est très bien et il y a beaucoup d'action et les ruses que Le personnage de Nicolas Cage sont très bien pour s'allier a la police et d'empêcher les autres détenus de rentrez chez eux et d'être libre , le personnage joué par Nicolas Cage est tout simplement remarquable comme les autres mais lui il veut voir sa famille et surtout sa fille qu'il a pas vu depuis qu'il été en prison , c'est un très bon film a voir
Blockbuster millésime 1997, "les ailes de l'enfer", sent bon le cahier des charges à grand spectacle ou rien ne manque. Situé dans la grande période des productions Bruckheimer, le film déploie tout un savoir faire logistique qui semble un peu daté aujourd'hui, à l'ère du tout numérique, mais pas désagréable à voir. Mais la grande affaire, ici, ce sont les acteurs. Ils tirent définitivement ce gros avion vers le haut, d'autant que ce ne sont pas des action men rodés mais bien des acteurs de composition (Cage, Malkovitch, Cusack, Buscemi...), entourés, ils est vrai, de quelques gros bras (Ving Rames, Danny Trejo... ) A ce titre, la première partie dans l'avion, truculente et bien menée, fait office de huis clos tonitruant, fort en punchlines jouissifs. Seul bémols, le début et la fin très téléphonés quand même mais ça ne vous empêchera pas de finir vos pop corn, je vous rassure...
Con Air est un film 100% testostérone avec de l'action et que de l'action. Ne cherchez pas un scénario, des dialogues intelligents et du suspense vous serez déçu ! Par contre niveau baston et explosion il y a ce qu'il faut et c'est très bien fait. Ce film fait partie de la génération des années 90 et c'est toujours un plaisir de le revoir. Bref : comme le dit Nicolas Cage, réplique qui tue : "je n'ai confiance qu'en 2 personnes, la première c'est moi et l'autre c'est pas vous !"