Derniers Avis : Les Ailes de l'enfer - Page 11

Les années 1990 ont en grande partie été marquée par l'explosion du cinéma d'action : genre pas toujours très respecté auparavant, et qui a connu un boum énorme avec notamment les révélations Bruce Willis, Steven Seagal, JCVD, Chuck Norris, Nicolas Cage, Tony Scott, Jerry Bruckheimer, Arnold Schwarzenegger (il était connu avant, hein), Michael Bay, et j'en passe et des meilleurs. Un genre principalement mené par les précédemment cités Jerry Bruckheimer (devenu le producteur d'action par excellence) et son pote Michael Bay (devenu le réalisateur d'action par excellence, bien que comme l'autre, ça soit souvent nominable aux Razzie Awards). Les Ailes de l'Enfer sorti en 1997 est donc en plein milieu, empilant les clichés les plus banals avec les scènes les plus improbables, une musique composée par Trevor Rabin à défaut d'avoir put engager Hans Zimmer et un casting doté des plus notables membres de cette explosion du cinéma d'action : Nicolas Cage en tête d'affiche (qui au fil du temps a sut de moins en moins choisir ses films : partant de films de Lynch ou de Coen dans les 90' pour jouer dans des daubes comme Ghost Rider ou l'immonde Benjamin Gates de nos jours), en second rôle, notre ami respecté John Cusack (acteur habitué à ce genre de seconds rôles qui mériterait une plus grande notoriété... la plupart des jeunes le connaissant uniquement pour 2012, c'est dire), mais aussi John Malkovich, Danny Trejo, Ving Rhames, Steve Buscemi ou encore Monica Potter. Bref. Tout cela produit par Jerry Bruckheimer, on a donc le stéréotype même du cinéma d'action. En gros, Les Ailes de l'Enfer ça raconte l'histoire d'un type qui s'appelle Cameron Poe. Il a été enfermé presque injustement en taule pendant dix ans, et a donc loupé la naissance de sa fille (il est à noter que sa femme l'a attendu paisiblement pendant ces dix années sans commettre l'adultère). Il va être enfin libéré de prison, n'a vu sa fille qu'en photo, et va donc arriver pour la trouver le jour de son anniversaire. Pour arriver à temps, il prend la compagnie Con Air qui est spécialisée dans le transport de prisonniers entre prisons et autres. Pas de chance, il tombe avec les pires truands, gangsters et malfrats de l'histoire (comme un type qui se fait un tatouage pour chaque fille qu'il viole, un autre dont le terme psychopathe est un euphémisme ou bien le gros pédophile joué par Steve Buscemi qui va jouer à Ken et Barbie avec une petite fille), tous transportés en même temps que lui vers une prison de haute sécurité. Bon, comme si on s'y attendait pas, les pas beaux font une rébellion dans l'appareil, et prennent le contrôle de l'avion et décident donc de s'envoler pour les Bahamas. Mais ils n'avaient pas prévu la présence de Cameron Poe, qui, en compagnie d'un noir tout droit sorti des pires buddy movie et d'une gardienne de prison à gros lolos, sans oublier l'agent de la CIA qui devient son pote au sol, va essayer de stopper leur démarche. Alors, outre une histoire complètement abracadabrante, des scènes qui le sont encore plus (celle de l'hélice qui sépare les deux combattants par exemple), on a affaire à un film plutôt fun. Chaque personnage est le stéréotype même de ses traits de caractères ou de ses méfaits passé, le héros n'a aucun défaut, c'est un délire monstre s'étalant sur deux grosses heures, du gros n'importe quoi, mais on prend un réel plaisir à regarder ce film, comme à peu près toutes les productions Bruckheimer, parce que même si c'est totalement improbable, ça reste vraiment excellent à regarder, tant la mise en scène est jouissive, le non-respect de la vie humaine et des infrastructures innocentes est omniprésent, les personnages très amusants et le lots de répliques et de scènes cultes ("Remets le lapin dans la boîte." n'est qu'un exemple parmi d'autres) est au rendez-vous. A titre de comparaison, ce genre de production sans queue ni tête des années 1990 est bien plus intéressant à regarder que les pseudo films d'actions qu'on fait aujourd'hui, toujours sans queue ni tête, mais beaucoup moins jouissif. Bref, Les Ailes de l'Enfer c'est du n'importe quoi, ça se prend pas au sérieux, mais on prend plaisir à le regarder.

C'est un film d'action excellent, j'ai eu beaucoup de plaisir à regarder. Tous les personnages sont tout simplement génial, et l'histoire est très bonne aussi, plus Nicolas Cage est tout simplement incroyable dans ce rôle !. Nicolas Cage, prouve qu'il peut aussi être un héros d'action fantastique, et je pensais que John Malkovich a été très menaçant que le méchant principal, plus il est extrêmement bien fait et écrit. Bien sûr il ya des tonnes d'intrigue, mais c'est un film d'action! et je pense que la fin a été très excitant puisque qu'ils tentent d'atterrir l'avion dans les rues de Las Vegas, plus l'ouverture est trop cool.Il a aussi beaucoup d'explosions , John Cusack est efficace dans son rôle. Il a un moment involontairement drôle quand le corps de Chappelle tombe de l'avion et atterrit sur une voiture, et pour un type de film de Die Hard c'est top classe, en plus j'ai adoré la fin, ainsi, comme il était en fait assez émotionnel. Tous les personnages sont extrêmement sympathique. La direction est excellente!. Simon West fait un excellent! travail ici, avec la caméra fantastique, des angles solides et juste garder le film à un rythme extrêmement rapide. L'intérim est merveilleux!. Nicolas Cage est étonnant que, toujours et est étonnant ici, il est extrêmement sympathique, un âne majeurs mauvais, prouve qu'il peut jouer un héros d'action de premier ordre. John Cusack est très efficace dans son rôle de soutien, il était sympathique, avait un caractère cool, et a joué un endroit frais Marshall américain!. John Malkovich est grand comme le méchant, il joue un maniaque grande et il était très menaçant. Ving Rhames est aussi un méchant , il semblait avoir du plaisir avec la partie, il était amusant à regarder. Steve Buscemi est bon ici, il avait un personnage très intéressant et mystérieux. Rachel Ticotin est grand dans son rôle de soutien, mais n'a pas eu tant que ça à faire. Dave Chappelle est bon ici, il est aussi toujours drôle. Monica Potter est très bonne comme la femme de John Cage, elle était très mignonne et sympathique, . Nick a joué un abruti réel et at-il très bien je le détestais. Nick Chinlund, Steve Buscemi, Danny Trejo, MC Gainey et Renoly Santiago font tous ce qu'ils ont à faire bien.

Un bon gros navet américain avec des scènes totalement irréalistes, des dialogues exécrables, un scénario... a non c'est vrai il n'y a pas de scénario. Le psychopathe sauve un peu le film et fait bien rire de par son côté décalé. En conclusion un film à voir avec le cerveau en mode veille.

Un bon film d'action oldschool qui divertit et qui n'appelle pas à la réflexion.

L'histoire est touchante, le scénario est plutôt bon. Les sentiments sont fortement transmit par le personnage de Nicolas Cage. Un bon film d'action, le suspense vous prends, vous ne le lâchez plus!

Un excellent film d'action des années 90 avec un Nicolas Cage encore au meilleur de sa forme! Un bon scénario, de bons personnages et de bonnes répliques. Enjoy!

Blockbuster americain des années 90 ce film est une tuerie! On passera sur le scénario invraisemblable pour se concentrer sur les scenes d'action spectaculaires et autres effets pyrotechniques ainsi que sur les effets spéciaux de très bonne qualité! Nicolas Cage est hilarant de meme que John Malkovitch qui campe un psycopathe délirant! Un super divertissement comme on en fait plus! A voir et à revoir.

Pourtant au début, j'avais l'impression que ça ne serait pas aussi mauvais que ça...

Excellent, mais maintenant ça fait 5 fois que je le vois à cause de la soirée ciné du pauvre sur TF1, ça commence à suffire.

Alors c'est simple, gros bras, les plus méchant ,les plus rusés et tout sa pour quoi ?? Pour faire un film où tu n'as pas besoin de réfléchir 10s ! Tout va vite,tout explose dans tous les sens !! Et à la fin y plus rien debout !! Du Michael Bay

dôté d'un casting impressionant, ce film d'action pur typiquement américain reste convenable sans pour autant révolutionner le genre, loin de là.

Blockbuster de l’été 1997, « les ailes de l’enfer » est un concentré de ce qui se fait de mieux en la matière. Jerry Bruckheimer a les clés du paquebot Hollywood et chaque croisière estivale arrive toujours à bon port tout en ayant pris soin de compter sur la générosité des voyageurs pour rendre profitable la balade.
Une réalisation efficace sans surprise, un montage survitaminé frôlant constamment le ridicule ( sans oublier une bande-son qui sait « s’imposer »), des acteurs qui excellent dans des rôles sous-dimensionnés, une morale dégoulinante, la fin qui va bien avec l’emballage, une nouvelle coupe risible pour Nicolas… Rien ne dépasse, tout brille, tout est prêt à nous faire passer un moment divertissant et ce n’est pas aux râleurs habituels de nous faire croire que l’on peut s’ennuyer devant pareil spectacle : et les débiles, avec un titre pareil de film, vous vous attendiez à quoi ?

Une production Bruckheimer a pour l’habitude de voir les choses en grand : casting 5 étoiles, action à gogo, effets spéciaux de qualité, musique entrainante et atypique. Il est donc inutile de s'attarder sur ces aspects, la barre étant placée très haute... Il ne manque plus qu'à juger le scénario, le plus dur me direz-vous. Celui des Ailes de l'Enfer est-il à la hauteur de son budget ? Oui et non. Oui pour une première partie alléchante et bien écrite, mêlant efficacement suspense, action et humour, appuyée par une mise en scène de Simon West généreuse. Non pour la seconde, surtout les dernières 20 minutes qui sont juste là pour une démonstration pyrotechnique qui n'apporte pas grand chose à l'histoire. En conclusion, ce classique d’action des années 1990 est toujours aussi divertissant malgré quelques faiblesses scénaristiques qui plombent le jugement final.

un gros film d'action bourrin, beaucoup d'explosions mais beaucoup d'ennui

"Les ailes de l'enfer" fait en effet partie du "gratin des films d'action des années 90". N.Cage, après la référence "Volte Face", enchaîne avec cette grosse production réussit en tout point. Spectacle pyrotechnique de qualité, scénario original, acteur "haut de gamme", "superbe musique de M.Mancina". Tous les ingrédients du "bon film" étaient réunis sur le papier, S.West inspiré derrière la caméra, en a fait un "must de sa catégorie".