Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Subtilement mis en scène, servi par des comédiens très justes (...) ce film s'inspire d'une histoire vraie. Et propose une intéressante réflexion autour de l'idendité sexuelle.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La réalisatrice Alexandra Therese Keining parvient à créer une atmosphère de léger trouble, de tension érotique et nerveuse, à laquelle participent un jeu d'acteur sensible, une belle peinture de la nature, et la partition musicale subtile (...) Un discours socio-moralisateur prend [ensuite] le dessus, qui tire le film vers le guide de bonne conduites pour jeunes lesbiennes (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Alexandra-Therese Keining filme ses actrices, par ailleurs excellentes, avec une délicatesse toute scandinave, captant les regards furtifs et les frôlements d'épaules. On ne peut que regretter que ce film, qui a su préserver la complexité de ses personnages et une élégance visuelle à la hauteur de son propos, trébuche sur la fin.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
(...) le film, centré sur le coup de foudre qui tombe mal, perd en singularité. Il suit tout de même avec délicatesse et sensualité le chemin de Mia vers Frida.
La critique complète est disponible sur le site Première
En abordant le thème de l'identité sexuelle sous la forme d'une comédie sentimentale classique, "Kyss mig" formule une proposition intéressante. Mais, faute d'assumer son parti pris, le film reste conventionnel et fade.
L'une est lesbienne, l'autre pas (encore...) : parviendront-elles à s'aimer au-delà des préjugés ? Après 1 heure 47 de larmes, de cris et de silences qui en disent long, vous aurez mérité la réponse : oui (mais non).
(...) dès la réunion familiale qui provoque la rencontre entre les deux femmes, on craint le pire : comme si feu le Dogme de Lars von Trier obéissait, soudain, à un cahier des charges dicté par Ikéa !
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
Subtilement mis en scène, servi par des comédiens très justes (...) ce film s'inspire d'une histoire vraie. Et propose une intéressante réflexion autour de l'idendité sexuelle.
Le Monde
La réalisatrice Alexandra Therese Keining parvient à créer une atmosphère de léger trouble, de tension érotique et nerveuse, à laquelle participent un jeu d'acteur sensible, une belle peinture de la nature, et la partition musicale subtile (...) Un discours socio-moralisateur prend [ensuite] le dessus, qui tire le film vers le guide de bonne conduites pour jeunes lesbiennes (...).
Le Point
Alexandra-Therese Keining filme ses actrices, par ailleurs excellentes, avec une délicatesse toute scandinave, captant les regards furtifs et les frôlements d'épaules. On ne peut que regretter que ce film, qui a su préserver la complexité de ses personnages et une élégance visuelle à la hauteur de son propos, trébuche sur la fin.
Première
(...) le film, centré sur le coup de foudre qui tombe mal, perd en singularité. Il suit tout de même avec délicatesse et sensualité le chemin de Mia vers Frida.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Critikat.com
Malgré le sel que la réalisatrice ajoute à ce canevas ultra-classique, le film reste bien trop lisse et conventionnel pour interpeler.
Les Fiches du Cinéma
En abordant le thème de l'identité sexuelle sous la forme d'une comédie sentimentale classique, "Kyss mig" formule une proposition intéressante. Mais, faute d'assumer son parti pris, le film reste conventionnel et fade.
Les Inrockuptibles
L'une est lesbienne, l'autre pas (encore...) : parviendront-elles à s'aimer au-delà des préjugés ? Après 1 heure 47 de larmes, de cris et de silences qui en disent long, vous aurez mérité la réponse : oui (mais non).
Télérama
(...) dès la réunion familiale qui provoque la rencontre entre les deux femmes, on craint le pire : comme si feu le Dogme de Lars von Trier obéissait, soudain, à un cahier des charges dicté par Ikéa !