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wesleybodin
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3,5
Publiée le 10 juin 2012
(...) un film de genre peut-être un brin conventionnel mais qui remplit parfaitement son rôle de série b divertissante que l’on regardera lors d’une soirée entre amis. Critique complète sur : http://www.leblogducinema.com/critiques/critique-drame/critique-get-the-gringo/
Dans une prison Mexicaine qui fait plus penser a un camp de vacances qu'une prison. Un homme et un enfant se trouvent sur fond de vengeance. Cela parait absurde et peu crédible.
Mel is back ??? Croire ou ne pas croire en la survie de ces acteurs autrefois géniaux... telle est la question. Ce KILL THE GRINGO est d'un ennui et d'une laideur terribles... Rien est à sauver dans cette déferlante de mauvais gout. Rien. ça reste plus regardable que la nullité vue ce soir (DEAD MAN DOWN), mais bon... faut pas pousser. Ni l'un ni l'autre n'ont eu le droit à un visionnage complet de ma part ! Là c'est bon j'ai eu ma dose de bouses, je peux retourner à des oeuvres plus intimistes...
un film magnifique une pur merveille moi qui avez peur d’être déçu après le moyen hors de contrôle mai rien a voir tous et parfait acteur scénario réalisation je ne peux que conseiller se film foncer.
Pas mal mais pas exceptionnel , se laisse regarder , un film d'action avec une histoire un peu grosse , mais bon , le cinéma c'est fait pour nous divertir , et au niveau mauvais il y a largement pire , film juste correcte
Film passable reposant principalement sur des scènes d'action de gunfight plus ou moins grotesques (la pire étant la mutinerie dans la "prison") et qui ne donne en aucun cas pas du tout envie de voyager au Mexique (si le but inavoué était d'humilier ses habitants, c'est réussi). Mel Gibson est une caricature totale de l'américain rebelle reconverti en super héros qui agit sans se poser aucune question mais ça marche quand même... Je ne connaissais pas Grunberg mais je tâcherai d'éviter ses réalisations à l'avenir...
Ce Kill the Gringo est une déception pourtant ça débutait bien avec une bonne course-poursuite et l'arrivée du voleur qu'incarne Mel Gibson dans une prison mexicaine qui ressemble à l'enfer puis là ou l'on espérait une série B bien hard et violente on a droit à un film pépère dont il faudra se contenter d'une unique scène de gunfight certes c'est du bon ralenti mais ça fait mince. Mel Gibson se débrouille trop facilement dans cette prison et on a même pas de scène d'évasion quant à la dernière demi-heure elle est totalement ratée.
Premier long-métrage pour Adrian Grunberg, qui avait déjà travaillé aux côtés de Mel Gibson dans Apocalypto (2006) & Hors de contrôle (2010) en tant que premier assistant réal. Ce n’est donc pas surprenant de les retrouver ensemble pour son premier film, d’autant plus que Mel Gibson n’y est pas seulement acteur, mais aussi coscénariste et coproducteur.
Pour ce DTV, ne vous attendez pas à du grand Art, loin de là. Ici, on a affaire à une sombre histoire de braquage dont le héros finit derrière les barreaux au Mexique. L’intrigue se déroule dans une prison qui ne ressemble à aucune autre (c’est une ville dans une ville), et c’est pour cette raison que l’on n’y croit absolument pas (d’ailleurs, le titre québécois reflète complètement l’état d’esprit du film : "Prison tout inclus"). On voudrait nous faire croire que le gringo qui débarque de nulle part réussit en un claquement de doigt à se frayer un chemin et à arnaquer qui veut au cœur de la misère humaine et des bad-guys qui peuplent la prison.
Le film se veut bourrin mais pas crédible pour un sou, Mel Gibson est en roue libre et cabotine sans discontinue, pendant qu’au loin, on aperçoit (le temps d’une réplique, pas deux, ni trois, juste une) Peter Stormare & Dean Norris.
Bref, le revival de Mel Gibson ne se fera pas avec Kill the Gringo (2012), c’est une certitude et on ne regrette pas de l’avoir raté au cinéma.
Après Signes en 2002, Mel Gibson s'était écarté des écrans, préférant mettre en scène des drames historiques. Hormis quelques cameos, il fit un vrai petit retour en 2010 avec Hors de contrôle et Le Complexe du Castor l'année suivante. Enchainant de plus belle, il co-écrit, produit et campe le rôle principal d'un thriller d'action intitulé Kill the Gringo, première mise en scène d'Adrian Grünberg, assistant réalisateur de plusieurs blockbusters et accessoirement de Mel Gibson depuis Apocalypto. Un petit retour donc, le film étant sorti en VOD aux États-Unis et directement en DVD chez nous (une première dans la carrière de l'acteur, tout du moins depuis ses débuts). En ce qui concerne Kill the Gringo, il n'a certes pas l'étoffe d'un gros film impérissable mais demeure en soi un bon produit d'action où Gibson nous ressert une fois encore son rôle de marginal taciturne et mystérieux, balançant des répliques fumantes nonchalamment. Bien inspiré par son personnage de Parker dans Payback, l'acteur parvient sans peine à nous faire s'attacher à ce Gringo sans nom enfermé dans une favela-prison et qui va essayer de sauver la peau d'un gamin tout en peaufinant un échappatoire astucieux. Garni de séquences d'action aussi gore que peu inspirées et de passages plus légers (notamment les échanges entre le Gringo et le gosse), Kill the Gringo s'avère agréable à suivre en dépit de facilités grosses comme une maison d'un final des plus classiques. Le long-métrage aurait peut-être mérité une approche plus viscérale, que ce soit dans l'exploitation de son décor carcéral (une ville-prison dont on se demande l'utilité concrète des "gardiens") ou dans son côté fun et décomplexé qui est de temps en temps mis à mal par un sérieux pas franchement nécessaire. Bancal mais efficace à défaut d'être mémorable.
Quand sortent opportunément au détour des années 2010 "Hors de contrôle" (Martin Campbell en 2010), "Le complexe du castor" (Jodie Foster ne 2011) et "Kill the gringo" (Adrian Grunberg en 2012), Mel Gibson est un peu en perdition tant au niveau personnel que professionnel. Un divorce compliqué a largement entamé sa fortune et il est resté presque six ans sans faire l'acteur. C'est donc un peu vieilli qu'il doit se présenter sur l'écran. Ces trois films n'ont certes pas été des succès populaires mais ils ont permis de rappeler que l'acteur de "Mad Max" et de "L'arme fatale" était toujours en service. "Kill the gringo" est réalisé par le jeune Adrian Grunberg qui était le premier assistant de Mel Gibson sur "Apocalypto" (2006). Mel Gibson qui a écrit le scénario joue adroitement sur l'humour empreint d'une bonne dose de dérision qui lui avait si bien réussi dans le rôle de Martin Riggs, le flic suicidaire faisant équipe avec le sergent Roger Murtaugh (Danny Glover) dans les quatre segments de la saga "L'arme fatale".spoiler: Mel Gibson au sein d'une prison ouverte est cette fois-ci accompagné d'un très jeune mexicain qu'il va aider à échapper à un trafic d'organes . L'intrigue est bien sûr hautement improbable et l'intérêt s'il y en a un est de suivre la déambulation de Mel Gibson dans les ruelles de cette prison dantesque, commentant en voix-off ad hoc toutes les avanies qui se présentent à lui, avant, pendant et après qu'elles se soient produites. Si l'on se prête au jeu en faisant fi de toutes les scories qui polluent l'intrigue, on peut fort bien passer un bon moment en compagnie d'un Mel Gibson certes un peu plus buriné mais toujours aussi tonique.