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Ricco92
230 abonnés
2 156 critiques
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3,5
Publiée le 23 août 2018
S’il y a bien une zone géographique où cinéma érotique ne signifie pas majoritairement médiocrité, c’est bien l’Asie. Si le pinku eiga japonais est le plus célèbre, Hong-Kong a également connu une vague de films érotique à partir de 1988 avec un nouveau système de classification créant la Catégorie III qui signifiait que ces œuvres étaient réservés aux adultes. Le gros succès de ce genre est Sex & zen signé Michael Mak, réussite qui connaîtra deux suites et un remake en 3D vingt ans plus tard et qui se verra même sortir dans les salles françaises. Cet accueil public enthousiaste est dû à son aspect érotique mais également à l’humour qui se dégage dès son argument (un homme doté d’un petit pénis se fait greffer un sexe de cheval). Ainsi, celui-ci est extrêmement présent et fait souvent mouche si on est sensible à l’humour chinois. De plus, ce film farfelu (les actes sexuels eux-mêmes sont parfois tellement exagérés qu’ils en deviennent plus comiques qu’excitants) est visuellement très beau. On pourra cependant regretter que, malgré sa courte durée (1H35), le film part parfois dans tous les sens et que le spectateur peut avoir l’impression qu’il commence à tirer en longueur vers la fin. Toutefois, Sex & zen, sans être un grand film, est une œuvre d’érotisme comique assez plaisante à suivre grâce à sa fantaisie et à son humour.
film chinois le plus maivais de toute l'histoire. bon au début tu te dit que c'est super qu'ont aura des tradition chinoises que c'est beau, tradition d'ancètres puis d'un coup t'entend un grand père qui fait la morale a son petit fil parce qu'il couche avec toutes les femmes marié du village, a parir de là tout s'écroule les scènes de sexe s'enchaines et meme là c'est raté vous y croyez ?? meme les scènes de sexes sont très mauvaises en mode bestiales ils en font beaucoup trop, le grand père qui essaye a nouveau de lui faire la morale, le reste sont des scènes complètement stupide. ont sent la grosse tentative de faire un film de tradition mais le fait avec l'hyper sexualisation de toutes filles. certes dans les tradition les plus anciennes les hommes avait tout les droits mais pas au point de faire de nombreuses scènes de sexe, encore moins en mode bestiale. l'une d'entre elle se fait meme violé et séquestré.
Il faut le voir pour le croire. Ce n'est pas un film érotique, c'est un film délirant ! J'ai rigolé pendant toute la vision du film. C'est du second degré et il faut vraiment le prendre ainsi !
En fait c'est un mélange entre un film érotique (à ne pas confondre avec un film porno hein) et un film de déconne. Les dialogues sont très osés (language très cru, peu de tabous), et les situations comiques et sexuelles sont très osées aussi, on se marre bien. Malgré tout l'ensemble reste plutôt fade, et le doublage français est très inégal (c'est souvent le cas pour les films asiatiques, dommage).
Hong-Kong et ses multitudes de réalisateurs de films de commande de sabre de seconde zone, Michael Mak n'aurait pas dérogé à la règle si il n'avait pas eu l'idée lumineuse d'adapter un best-seller Chinois de la littérature érotique longtemps interdit. Parenthèse brillante dans une carrière de réalisateur qui l'est moins. Un scénario totalement déjanté, mené tambour battant à la façon d'un film de sabre. C'est également un film très chaud, très drôle, qui surf parfois à la limite du X, mais d'un esthétisme assez remarquable. La première chose qui marque est la trame du film qui bien que manquant cruellement de densité est d'une originalité cependant déconcertante :spoiler: Cheng jeune noble dépourvu de beaux atouts, à l'issue d'une rencontre avec un célèbre bandit volant décide de se faire greffer le sexe d'un cheval afin de pouvoir courtiser toutes les filles de la contrée. Pour Cheng commence alors une grande aventure qui le mènera dans un abîme profond, d'où on ne ressort jamais .
Un OFNI, à côté duquel il serait dommage de passer. Une comédie délirante, un pur moment d'anthologie.