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Un visiteur
3,0
Publiée le 22 décembre 2012
La trilogie prend fin sur un film plutôt bon mais sans vraiment changer de fil conducteur et sans apporter vraiment de surprise. Personnellement je ne cache pas ma préférence pour l'arme fatale. Ceci dit, le flic de Beverly Hills saura vous divertir!
Le moins bon de la trilogie certes mais cela ne signifie pas que le film ne soit pas réussi. Les personnages sont peut-être légèrement moins attachants (plus de Taggart ni de Bogomil...) que les deux premiers opus et l'humour légèrement moins présent mais ça reste tout de même très divertissant.
Pour moi c'est le meilleur épisode de la saga, avec un Eddy Murphy au top. Dans la lignée des deux premiers il allie action et humour. Avec le retour du personnage de Serge en vendeur d'arme. Super
C'est l'une des rares trilogie à ne pas s'essouffler et à voir même de surpasser son prédecesseur! Le premier était le plus sérieux, le second le plus spectaculaire et le trois demeure le plus drôle (quoiqu'entre le 2 et le 3 j'hésite). Eddie Murphy égale à lui même, toujours aussi fendard et des cascades vraiment géniales surtout celle du Spider qui me clou toujours au fauteuil! Et puis séquence mémorable! Aquelle Follie!!!! Oh Seurge! Mais non c'est sErge! haha énorme ce passage!! Apparement un 4 va voir le jour! MOI CONTENT!!!
Axel Foley enquête sur une bande de voleurs de voitures qui va l’entraîner jusque dans le célèbre parc d'attractions de Wonderworld à Beverly Hills.
Pour ce second opus, Tony Scott cède sa place à John Landis (Hamburger Film Sandwich - 1977) qui retrouve pour la troisième fois Eddie Murphy après l’avoir dirigé dans Un fauteuil pour deux (1983) & Un prince à New York (1988). Côté scénario, je craignais le pire, puisque visiblement, les motifs d’Axel Foley pour quitter Détroit afin de se rendre à Beverly Hills sont tous identiques et ce, quel que soit le film, c’est à n’y rien comprendre que les scénaristes n’aient pas été foutus de faire preuve d’originalité.
Rappelez-vous, dans le premier opus, Axel se rendait à B.H. pour enquêter sur l’assassinat d’un de ses amis, puis dans le second volet, il y retournait suite au meurtre de son ami le capitaine Bogomil. Et devinez quoi, cette fois-ci, il y retourne après que son ami l'inspecteur Douglas Todd se soit fait dessouder. Visiblement, Axel Foley n’a pas de chance, puisque tous ses amis décèdent prématurément…
En dehors de ce point de détail, qui n’est rien d’autre que l’élément déclencheur pour que le film prenne son envol, il faut bien admettre que la scène d’ouverture est franchement réussie (le trafic de voitures volées suivie d’une course poursuite à tombeau ouvert). Je vais clairement aller à contre-courant, puisque la plupart des spectateurs ont boudé ce troisième opus, le considérant comme le moins bon de la trilogie. Pour ma part, c’est bien la première fois que je trouve le personnage d’Axel Foley “supportable”. Tout ce que je détestais chez lui semble avoir disparu, fini ses blagues, son cabotinage et son surjeu horripilant. Bref, tous les traits de caractère de son personnage ont quasiment disparu, ce qui peut expliquer la désaffection du public pour ce film (et le soulagement pour moi).
Côté réalisation, on appréciera que l’intrigue puisse se dérouler au sein d’un parc d’attractions (un véritable parc et non reconstitué en studio). Bien que certaines scènes paraissent datées, voire ringardes (notamment le sauvetage dans la grande roue), l’ensemble s’avère suffisamment divertissant pour que l’on y prenne du plaisir. On aura aussi le plaisir d’y retrouver Serge, ainsi que bon nombre de caméos, dont le plus connu étant celui de George Lucas.
Le Flic de Beverly Hills 3 (1994) est à mes yeux, non pas parfait, mais bien plus digeste que ne l'étaient les précédents films. Et ce, en grande partie grâce à un Eddie Murphy qui évite d’en faire des caisses en jouant le bouffon le service et rien que pour ça, je ne boude pas mon plaisir, tant son personnage m’a toujours insupporté.
Avec Le Flic De Beverly Hills 3, John Landis réalise un troisième volet sept ans après la sortie du deuxième et dix ans après celle du film initial, pour un résultat sans évolution malgré tout ce temps accordé. L'histoire nous fait à nouveau suivre Axel Foley qui va une fois de plus se retrouver à Beverly Hills afin de se lancer à la poursuite d'un tueur ayant abattu l'inspecteur Todd, le patron du joyeux luron. De retour dans les quartiers chics, il retrouve son ami Billy et fait la connaissance de l'inspecteur Jon Flint. Son enquête le mène alors à WonderWorld, un parc d'attraction détenu par un homme qu'il soupçonne. Ce scénario ne réinvente pas la roue mais s'avère tout de même agréable à visionner pendant toute sa durée d'environ une heure et demie. On prend les mêmes et on recommence avec une intrigue dont la formule n'évolue pas d'un iota et n'apporte rien de nouveau. On se retrouve devant le même film que ses deux ainés au ton sérieux et violent mais soupoudré d'humour. L'action est bien présente et donne lieu à des scènes ou de nombreux dégâts sont faits. L'ensemble est toujours porté par un Eddie Murphy fidèle à lui même en étant volubile et communiquant sa bonne humeur. À ses côtés, on retrouve Judge Reinhold qui a pris du gallon, ainsi que de nouveaux visages comme ceux d'Héctor Elizondo, Theresa Randle, Timothy Carhart, Stephen McHattie, John Saxon, Alan Young et même Bronson Pinchot qui fait son retour dans le rôle de Serge. Tous ces individus entretiennent des relations faisant des étincelles entre rapports amicaux et rapports de force. Des échanges soutenus par des répliques inspirées toujours aussi amusantes et cinglantes. Sur la forme, la réalisation du cinéaste américain s'avère bonne. Surtout, sa mise en scène évolue dans un cadre offrant enfin un peu de changement avec ce parc féérique et enfantin qui va devenir un terrain de jeu mortel. Ce visuel enchanteur est accompagné par une b.o. de bonne facture composée de titres de nombreux interprètes. Mais une fois de plus, on retiendra surtout le thème principal d'Harold Faltermeyer toujours aussi iconique et efficace. Reste une fin attendue au goût de déjà-vu venant mettre un terme à cette énième traque. En conclusion, Le Flic De Beverly Hills 3 est un film convenable faisant passer un moment divertissant, mais une suite n'apportant absolument rien à la licence.
Beaucoup moins bon que les deux premiers. On retrouve le même type de scénario de flic qui n'est pas de Beverly Hills mais de Detroit. Eddie Murphy utilise les mêmes registres comiques. Son personnage est toujours plus malin que les autres. Bref, ça manque de nouveauté. À part peut-être l'apparition surprise de George Lucas dans la file d'attente d'une attraction à Wonderworld. Certains scènes sont de trop, comme celle du sauvetage de deux enfants, totalement irréaliste, Axel Foley sautant de nacelles en nacelles d'un manège, à vingt mètres du sol. À éviter à moins d'adorer le personnage principal.
Mon opinion sur le troisième épisode de la saga du "Flic de Beverly Hills" a bien changé depuis que je l'ai vu étant jeune. A l'époque, je crois qu'il s'agissait bien de mon préféré, notamment pour son histoire ayant pour décor un parc d'attractions et ses coulisses. Mais en le revoyant récemment, mon avis est nettement différent. Comme les précédents, il y a toujours un côté tragique au début film qui provoque la venue d'Axel Foley à Beverly Hills, mais ici, on sent Eddie Murphy émoussé, un humour moins évident malgré un scénario pas si mal troussé, avec des méchants efficaces (et encore et toujours des policiers pas très coopératifs). Côté casting, il y a bien Judge Reinhold, mais John Ashton manque à l'appel. Heureusement, Bronson Pinchot est lui de retour. Je pense donc désormais que, des trois épisodes de la trilogie originelle, celui-ci est sans doute le moins bon. Un peu trop forcé.
Le 1er film, sorti 10 ans plus tôt, était plus sympathique et même si le concept du flic black cool des quartiers chauds qui se retrouve à mener une enquête dans une ville des villes les plus blanche, riche et snob des USA pour venger un copain n'était pas incroyable, elle était au moins originale à l'époque. Le personnage d'Axel Foley était mis en valeur à côté d'un duo de flics locaux coincés et pas vraiment habitués aux affaires criminelles mêlant trafic de drogue et fusillades. L'histoire était classique mais efficace, portée par un tout jeune Eddie Murphy encore peu connu.
3 ans plus tard, après le succès du 1er film, les producteurs (dont Eddie Murphy qui coproduit maintenant ses films avec sa propre boite de production) se sont dit qu'il y avait encore de l'argent à se faire sur ce personnage et décide de produire une suite. Le résultat est déjà moins intéressant puisque c'est un décalque du 1er. Même histoire de vengeance, même concept du flic black cool qui use de méthodes peu orthodoxes à Beverly Hills, même duo de flic que dans le 1er film et là ça commence déjà à coincer puisque ces flics ne sont plus des bleus en matière de fusillade. On frise même le ridicule avec un de ces deux flics qui s'est transformé en Rambo fan de gros flingues et de lance roquettes. Ceci dit ça reste un film d'action moins frais mais quand même regardable.
Puis, 7 ans après cette suite. Eddie Murphy tente une 3ème fois de traitre les derniers dollars possible de ce personnage et là c'est la cata. D'abord on est plus en 84, on est même plus dans les années 80 mais au beau milieu des années 90. On est 3 ans après Terminator 2, 2 ans après Reservoir Dogs, 1 ans après Jurassic Park ou Last Action Hero et la même année que Pulp Fiction, Tueurs nés, Speed, True Lies, Stargate, etc. Bref l'année ou l'action c'est des dialogues léchés, de l'action effrénée épique à gros budget, sauf qu'ici on se croirai coincé au début des années 80.
D'abord le prétexte ne marche plus. Que le même flic soit amené 3 fois à enquêter dans la même VILLE, on y croit plus. Le méchant n'a absolument rien à faire à Détroit, c'est juste absurde. En plus ça n'a aucun intérêt de faire aller Axel Foley en Californie puisque 99,99% du film se passe dans un parc d'attraction qui pourrait se trouver n'importe où et qui fait qu'on perd le principe même du film du flic black des quartiers pauvres au milieu de blancs riches et snobs, c'est vraiment juste pour justifier le titre du film. On perd aussi le duo des 2 premiers films puisque l'acteur qui jouait un des deux est pris sur un autre film. On a le droit qu'au personnage de Billy qui n'est pas vraiment impliqué dans l'histoire et qu'on ne voit que quelque fois à l'image pour faire un lien avec les 2 premiers films. Reste cette histoire d'enquête à l'intérieur du parc d'attraction qui donne un côté Scooby Doo ridicule et qui fait clairement ressentir la coupe budgétaire qu'à subi le projet. On sent aussi qu'il y a une décision de rendre le film vraiment tout public pour rentabiliser l'investissement. Fini les plans coquins sur des filles peu vêtues, fini l'humour un peu trash ou borderline d'Axel, maintenant c'est un gentil de Disney qui sauve les petits nenfants, les méchants meurent hors champs et les balles reçues par Axel et ses collègues à la fin du film, ça les fait éclater de rire (!??)
Bref c'était la suite de trop et une 4ème suite s'apprête à sortir 30 ans après cette suite de trop et 40 ans après l'original.
Un troisième volet vraiment moyen. Les séquences dans le parc d'attraction ont fort vieilli et passent mal. Le scénario est vraiment trop léger et pas crédible. Reste évidemment Eddie Murphy qui en fait des tonnes dans le rôle de Axel Foley. Trop peu pour qu'on prenne du plaisir devant le film.