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    The Thing
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    Ghighi19
    Ghighi19

    68 abonnés 1 872 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2019
    Excellent à tout point de vue . Un classique que j aime voir et revoir régulièrement. Il ne vieillit pas et la tension monte à chaque plan . Une mise en scène de Carpenter au plus proche de l angoisse coincé au bout du monde . Un des films les plus anxiogènes qui existe.
    Serpiko77
    Serpiko77

    59 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 mars 2019
    Il y a 3 chefs d’œuvres dans la filmographie de Carpenter, Halloween, New-York 97 et bien évidemment The Thing. Pourtant dénigré lors de sa sortie, le film à peu à peu atteint la notoriété qu'il mérite. Les couloirs souterrains de la station, le froid, la nuit, la bête terrifiante, l'ambiance paranoïaque hallucinante qui s'insinue peu à peu chez les personnages, Carpenter atteint des sommets d'angoisse même si les effets spéciaux du monstre pourront peut-être faire sourire les plus jeunes aujourd'hui. Un sommet du huis-clos horrifique.
    Incertitudes
    Incertitudes

    206 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2019
    Malgré le poids des années, l'impact de The Thing est resté le même. Comme pour Assaut, Carpenter se plaît à enfermer ses personnages dans un huis-clos et à observer leur comportement. A ceci près que l'ennemi ne provient plus de l'extérieur. Enfin, il vient de l'espace de par son origine. Mais comme il change tout le temps d'hôte, ça en fait un ennemi indétectable. Tout du moins, quand il le devient, c'est souvent trop tard. Un climat de paranoïa et de claustrophobie s'instaure vite entre ce groupe de scientifiques coupés du monde. Car au dehors, la tempête de neige fait rage. Les communications avec l'extérieur sont coupées et ils ne doivent compter que sur eux-mêmes. The Thing a eu une telle influence qu'un épisode de la première saison de la série X-Files écrit par le futur réalisateur James Wong s'en est fortement inspiré et qu'il est considéré comme un des meilleurs par ses créateurs. Il faut dire que la transformation de la créature est impressionnante. Même encore aujourd'hui. Son responsable a fait fort car elle est particulièrement terrifiante. Et comme il n'y a aucun moyen de savoir de prime abord qui est contaminé (sauf en faisant une analyse de sang), tout le monde est potentiellement infecté. Tout le monde se méfie de tout le monde. Comme quoi, pas besoin d'effets spéciaux incroyables pour faire un chef d’œuvre d'horreur et de science-fiction. Un bâtiment, quelques armes, Kurt Russell, un monstre hideux et invulnérable. Et l'immense John Carpenter évidemment.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 191 abonnés 4 178 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 février 2019
    Depuis près de 40 ans, trône au sommet de la filmographie de John Carpenter, "The Thing" (1983) remake de "La Chose d'un autre monde" (1951) d'Howard Hawks. Devenu désormais culte, le film a bénéficié du canal vidéo au sommet de sa forme entre 1985 et 2000 pour se frayer un chemin dans le cœur des amateurs de films de genre. Venant après le choc "Alien" (1979) de Ridley Scott , le film sort juste deux semaines après "E.T, l'extra-terrestre" de Steven Spielberg qui par la déferlante de bons sentiments qu'il suscita, ne plaça pas les spectateurs dans les conditions favorables pour plébisciter un film si radical, tant sur le fond que sur la forme. A la tête du plus gros budget de toute sa carrière (15 millions de $), John Carpenter parvenu au sommet depuis "Halloween" (1978), décide de revenir à l'essence profonde de la nouvelle de John W. Campbell, "Who goes there?", faisant de la paranoïa collective l'axe central de "The Thing". Au-delà des magnifiques maquillages et effets spéciaux du tout jeune Rob Bottin (22 ans !), c'est bien son parti pris narratif qui confère encore aujourd'hui toute sa force à ce chef d'œuvre du film d'horreur et d'anticipation. spoiler: Le mal entrant dans la petite station arctique américaine sous la forme à priori anodine d'un chien, va vite fracturer l'unité de l'équipe de douze scientifiques
    dont Carpenter nous présente tout d'abord la convivialité potache qui en régit la vie quotidienne, remède émollient contre l'isolement. Mais le ver est déjà dans le fruit, magnifiquement introduit dans une scène d'ouverture d'anthologie où un hélicoptère menaçant pourchasse sur la banquise un chien loup que rien ne semble pouvoir arrêter. L'ensemble est rythmé par la musique hypnotique d'Ennio Morricone qui délaisse pour une fois les effets baroques et virevoltants qui ont fait sa réputation mondiale. Les choses dès lors s'enchainent très vite et c'est comme un cancer foudroyant qui ronge le groupe. En effet, le monstre d'allure informe possède la faculté après une attaque de prendre très rapidement l'apparence physique de sa victime. Cette capacité à absorber les organismes pour en pervertir la structure sera par la suite interprétée comme une métaphore sur le SIDA (Carpenter ne démentira pas) qui commence à l'époque du film à décimer la communauté homosexuelle masculine. Complètement à son aise grâce à une longue période de préparation, John Carpenter fait monter crescendo la tension pour ne plus laisser le spectateur respirer jusqu'à une fin plutôt ouverte mais ne laissant présager rien de bon pour le devenir de l'humanité, étant pour le coup fidèle au pessimisme qui prédomine chez plus grands auteurs de récits dystopiques ou de science-fiction. Ainsi s'ouvre la trilogie de l'apocalypse de John Carpenter qui se poursuivra avec "Le prince des ténèbres" (1987) et "L'antre de la folie" (1994). L'universalité des peurs que réveille "The Thing" assure à son réalisateur, surtout par les temps qui courent, de ne jamais tomber complètement dans l'oubli. Juste retour des choses.
    Simplicissimus
    Simplicissimus

    8 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 février 2019
    Un des films les plus flippants qu'il m'ait été donné de voir!
    Atmosphère lugubre dans ce décor en huis clos glacé et désolé où bientôt l'angoisse, la paranoïa et la terreur vont aller crescendo, après que John Carpenter eut pris le temps et le soin d'installer ses personnages...
    Chacune des transformations repoussantes de la créature,due au génie et à l'imagination cauchemardesque du décorateur et maquettiste Rob Bottin précipite le spectateur dans l'effroi et le dégoût.
    Un grand film d'horreur sorti en 1982, où les trucages classiques de l'époque peuvent encore en remontrer aux possibilités offertes,aujourd'hui,par le numérique...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 janvier 2019
    Big John chez Howard Phillips.
    Première partie : The Thing.
    John Carpenter est un lovecraftien. Un vrai de vrai. Le seul cinéaste a avoir autant exploré les cauchemars du reclus de Providence pour en extraire la substantifique moelle et la porter à l'écran. Et Dieu sait que les abîmes lovecraftienne ne s'explorent pas sans risques ni séquelles pour l'aventurier. Aussi, lorsque The Thing débarqua dans les salles obscures en 1982, il fit un flop. Le commun des mortels n'était pas prêt pour l'expérience. Ce n'est que 30 ans plus tard que ce chef d'oeuvre est réhabilité comme il se doit. Comme le film le plus épouvantable des années 80. Si ce n'est le plus épouvantable de tous les films d'horreurs.
    Remake du film d'Howard Hawkes : "La Chose d'Un Autre Monde" de 1961 ( remake en réalité aux antipodes de l'original si n'est pour l'environnement polaire ) et adaptation a peine dissimulée d'un des monuments de Lovecraft, à savoir "Les Montagnes Hallucinées", The Thing est le premier volet de ce que Carpenter va appeler sa Trilogie de l'Apocalypse. Trois films sous forte influence lovecraftienne dans lesquels le monde est menacé, voir anéanti par des forces malveillantes, omnipotentes et quasi inarrêtables.
    Ici, cette menace est la Chose. Invisible, impalpable. Une horreur adepte du camouflage qui dès qu'elle se révèle est la parfaite incarnation de l'épouvante fidèle à Lovecraft. Celle des abérrations difformes et des créatures qui rendent fous leurs victimes par leur unique apparence. Une horreur qui guette perpétuellement le héros. Un an après "New York 1997", Kurt Russell reprend du service devant la caméra de Big John. Et Mac Ready, le pilote d'hélicoptère qu'il incarne, va endosser tant bien que mal le rôle du seul défenseur de la race humaine face au pire fléau qui soit. Sans ses coéquipiers tous saisis par la paranoïa, il va défier l'inimaginable. Mais sa tentative va t'elle s'avérer gagnante ?
    Appuyé par des effets spéciaux et des maquillages bluffants signés Rob Bottin ( LE maître en la matière ), sur une musique glaciale d'Ennio Morricone ( sa seule collaboration avec Carpenter ) et interprêté par un casting peu connu mais très efficace : The Thing n'a pas pris une ride 36 ans après sa sortie. Et les nombreux copieurs et immitateurs qui ont tenté de l'égaler ont toujours échoué dans leur entreprise. Et cela sans altérer l'aura effroyable qui émane encore de ce monument.
    RealPrime
    RealPrime

    86 abonnés 1 754 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 janvier 2019
    Porter par des effets mécaniques révolutionnaires pour l’époque, ce film culte de l’horreur perd néanmoins en intensité car la quantité de script et le peu de scènes gores donne une certaines longueur au contenu. Malgré tous, je tiens à note une formation de titre accompagné d’un effet sonore tous juste délicieux en début de film. spoiler: Mais par contre, le tout début est très bon avec la soucoupe arrivant sur Terre puis la formation très originale du fameux titre.
    Très sincèrement, plus d’action et moins de script car l’histoire est très simple à suivre, aurait été mieux pour donner au film sa véritable grandeur d’horreur. spoiler: Pour finir, j’ai été bouche bé devant la scène ou les husky se font déchiqueter pour donner naissance à cette chose. Le visuel était justement grandiose. Presque à nous en donner la nausée.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    695 abonnés 3 021 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 janvier 2019
    Avec The Thing, John Carpenter dispose d’un temps de maturation suffisant pour changer l’idée ambitieuse d’un remake du film de Howard Hawks en chef-d’œuvre qui cristallise l’ensemble de ses influences, de ses thèmes et de sa patte artistique. Cette fois le Mal est viral, il se transmet tel le sida – nous sommes d’ailleurs en 1982 – et change un groupe de chercheurs en expérience humaine sur la paranoïa collective sur fond de paysages enneigés. Film le plus radical et, paradoxalement, le plus abouti de son réalisateur, The Thing répand une ambiance poisseuse et glacée, trouve une alchimie parfaite entre le gore et le hors-champ de sorte à générer un climat anxiogène rarement ressenti dans une salle de cinéma. Une œuvre brillante et malsaine.
    JoeyTai
    JoeyTai

    20 abonnés 442 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 novembre 2018
    John Carpenter a réussi son coup. Il a su installer progressivement son histoire. Le début est d'ailleurs cocasse : un hélicoptère poursuit un chien en tentant de l'abattre au fusil sans que l'on connaisse les tenants et aboutissants. D'où une suite d'interrogations. Mais on comprend assez vite le danger qui guette les habitants de cette station située en Antarctique. Les acteurs sont globalement très bons, la mise en scène de qualité, et le suspense bien rendu. La présence de la bête va mettre à rude épreuve la solidarité intrinsèque qui règne généralement au sein d'un groupe humain réduit et situé dans un milieu inhospitalier et loin de tout. La bestiole est affreuse comme il se doit, parfois avec excès ce qui confine au grotesque, mais le fait qu'elle puisse prendre n'importe quelle apparence rend ce quasi huis-clos haletant. La fin est plutôt sombre mais ouverte. Enfin, un peu ouverte... Très bon film de science-fiction en tout cas.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 novembre 2018
    5/5 un film entre un mélange d’horreur de science fiction de triller et de psychologie qui pour moi a marquer a jamais la référence de l’horreur l'angoisse et surtout inconsciemment la participation du spectateur impliquer a fond pour savoir qui et la bête ou la chose !on et facilement parano sur tous le monde et le film nous plonge petit a petit dans une réflexion et une participation active pour trouver les spoiler: détail ou des preuves sur celle ou celui qui et contaminer
    !! j’ai vue ce film a sa sortie j’ai a peine 12 et franchement même a 40 ans passer le film me donne le même frisson la même angoisse la mème émotion nous somme en 2018 malgré l’innovation technologique image plan des film avec plus de couleur ou la 3D avec plus d'effet spéciaux et bien moi je vous le dit je n’échangerais jamais l’originale de the thing il on fait une version qui et pas mal sortie au cine en 2011 m'est pour moi le film originale reste et restera un chef d’œuvre de carpenter
    pierrot le flou
    pierrot le flou

    1 abonné 28 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 octobre 2018
    Carpenter se retrouve aux manettes de son premier film de commande pour un studio (Universal) avec le remake de « La chose d’un autre monde » (1951). Les ingrédients de base de la version originelle sont les mêmes, mais exit la « chose » d’origine végétale, avec son grand front, ses grandes griffes et assoiffée de sang, au profit d’une menace invisible, plus cynique, plus perfide. Un organisme protéiforme, intelligent, capable de se métamorphoser en imitant a la fois le physique mais aussi le comportement de ses victimes. Rob Bottin va matérialiser ces visions cauchemardesques en réalisant des effets spéciaux d’anthologie, entre latex et animatronique. La description du processus de mutation des victimes, avec de longs plans où on parvient sans mal à reconnaitre le visage des victimes (hommes comme chiens ) transformées en créatures hybrides, entre monstre et organisme vivant, est littéralement hallucinant ! Les attaques de la « chose » sont tout aussi bluffant, et fulminent lors d’une confrontation finale dantesque.
    Si j’ai eu le bonheur de découvrir « The Thing » au cinéma à sa sortie, plusieurs visionnages dans mon salon, dont celui pour l’écriture de ce papier, me permettent d’affirmer que 33 ans après l’effet reste intact! Mais la ou Carpenter enneige définitivement « la chose » de 1951 , c’est avec une mise en scène jouant la carte de la paranoïa, utilisant habilement les codes du huis clos, pour bâtir dans cet univers claustrophobique une ambiance de terreur étouffante. Un climat oppressant qui atteint des sommets avec la scène du test du sang, pour déceler les « infectés », et le pétage de plomb de Blair (Wilford Brimley) détruisant tout moyen de contact et d’échappatoire (radio, véhicules, chiens ) .
    Carpenter n’oublie pas de glisser astucieusement quelques jump scare, avec entres autres cette apparition très Hallowenesque de Blair surgissant plein champ ou cette silhouette qui passe rapidement devant Fuchs, et d’autres effets d’« épouvante » comme la scène très « gosht movie » de la poignée qui bouge. L’ensemble est renforcé par une musique additionnelle (le reste du score est signé Ennio Moriconne) composée par Carpenter au synthé avec juste 2 notes…comme pour simuler un battement de cœur.
    Le casting, excellent, est dominé par Kurt Russel en anti héros au look improbable, la barbe touffue, un blouson aviateur et un chapeau de cow-boy sur les épaules, contribuant a iconiser son personnage, a la manière du Snake de « NY 1997 ». « The Thing » est une œuvre sombre et profondément pessimiste, l’ambiance paranoïaque n’étant jamais perturbé par un trait d’humour est ainsi maintenue de la traumatisante scène d’ouverture avec la chasse du chien en hélico, jusqu’à la conclusion avec les deux survivants.
    Une noirceur qui contribuera lors de sa sortie, confrontée au phénomène « E.T. » (en salle au même moment) et une très mauvaise presse, a un semi échec commercial.
    Au fil des années le film sera réhabilité et accèdera rapidement au statut de culte et de chef d’œuvre de l’angoisse! A partir d’un « monster movie » Carpenter réalise un film de « science fiction – Horreur », genre dont « The Thing » reste à ce jour, avec le «Alien » de Riddley Scott, la référence absolue.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 376 abonnés 4 189 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 octobre 2018
    « The Thing » a bientôt quarante ans et est encore une œuvre emblématique des films d’épouvante. Il faut avouer que le réalisateur a déjà fait ses preuves avec le culte « Halloween, la nuit des masques » en 1978. « The Thing » nous fait grelotter dans le froid de l’Antarctique où douze chercheurs découvrent un corps enfoui sous la neige depuis plus de 100 000 ans. La créature va alors reprendre vie en prenant la forme de celui qu’elle veut. Bien au-delà du questionnement sur ses origines, c’est la paranoïa et la méfiance des uns sur les autres qui est au cœur de l’intrigue. Situer l’histoire dans le désert blanc incite les protagonistes à être régulièrement à l’abri ce qui installe un quasi huis clos à l’histoire. L’angoisse est alors grandissante et lorsque les spectaculaires et atterrants effets spéciaux font place, « The Thing » devient référence des classiques de l’horreur.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 octobre 2018
    Sans doute l'un des films d'horreur des année 80 qui n'est pas le plus mythique,pourtant qui a eu des succès,je ne comprend pas.Donc après avoir fait le célèbre Halloween sortie en 1978 que j'avais bien aimée,cette fois ci Carpenters sort un film s'appelant la chose qui effraient pratiquement le monde entier grâce a son suspense.De bon acteurs comme Kurt Russel l'un des personnages principaux qui joue le mieux.Un film d'absolue terreur,un scénario assez fade mais pas mal pour ça.Une petite perle de l'horreur,des monstres terrifiant,un film gore.The Thing n'est pas une grande légende du cinéma.
    brianpatrick
    brianpatrick

    84 abonnés 1 615 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 septembre 2018
    C'est une véritable chef d'oeuvre, un film de 1882, avec des effets spéciaux magistrales. Une bonne ambiance dans une base polaire en Antarctique. Une atmosphère cocasse entre membre scientifique d'une même expédition. Un scénario très originale.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    88 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 avril 2020
    Film culte des années 80. Ça a pris un petit coup de vieux mais le côté sombre et impalpable de la chose est bien fait. C'est parfois un peu degueu mais je suis content de l'avoir vu.
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