Mon compte
    The Thing
    Note moyenne
    4,2
    16069 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur The Thing ?

    763 critiques spectateurs

    5
    324 critiques
    4
    276 critiques
    3
    107 critiques
    2
    36 critiques
    1
    13 critiques
    0
    7 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    il_Ricordo
    il_Ricordo

    104 abonnés 407 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 novembre 2011
    L'histoire d'un indésirable qui vient bouleverser la vie de tous les jours en massacrant tout ce qui l'approche : le fait qu'il vienne de l'espace et qu'il prenne corps des êtres qu'il va exterminer n'empêche pas au canevas de manquer d'originalité. Pourtant, la mise en scène efficace de John Carpenter, qui restitue habilement la naissance et la montée de la paranoïa de ses personnages, donne au film toute son importance : il ne s'agit pas d'un film d'horreur ordinaire. Ce remake d'un film de Howard Hawks possède une véritable beauté visuelle et une maîtrise totale du suspense, Carpenter ne cesse de nous secouer tout au long de cette œuvre captivante.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 septembre 2013
    The Thing ou l'un des meilleurs films de John Carpenter. L'ambiance de paranoïa générale nous met mal à l'aise pendant tout le métrage. Les scènes de suspense sont éprouvantes et les effets gore saisissants. La réussite du film repose essentiellement sur les épaules de Kurt Russell qui incarne un personnage attachant, en proie aux mêmes doutes et peurs que les spectateurs.
    beautifulfreak
    beautifulfreak

    111 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 octobre 2011
    Un sommet de l'effroi dans le froid. Ce remake du film de Howard Hawks - qui surpasse l'original - est l'un des plus grands classiques du cinéma fantastique. On pourrait le comparer à "Alien" (avec les thèmes de l'isolement, de la paranoïa de groupe et de la menace extraterrestre) mais il va encore plus loin dans l'angoisse, à l'aide de sa créature protéiforme particulièrement flippante. Il faut dire que "The thing" de Carpenter doit énormément à Rob Bottin, le concepteur des effets spéciaux, qui a su créer avec son équipe des effets saisissants (en 1982) sans l'aide d'ordinateurs. Carpenter s'imposa avec cette "chose" comme un maître de l'horreur. L'ayant découvert à l'adolescence, j'en ai joyeusement cauchemardé pendant des semaines! Le remake/prequel récent n'est pas nul, mais il doit tout à son modèle et n'apporte rien de plus. Mieux vaut voir ou revoir la version de "Big John", qui demeure aussi glaçante 20 ans après.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 270 abonnés 7 534 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 octobre 2011
    The Thing (1982), remake de La Chose d'un autre monde (1951), lui-même adapté du roman "Who Goes There?" de John W. Campbell (publié en 1934) est définitivement une œuvre culte dans la filmographie de John Carpenter (New York 1997 - 1981 & Los Angeles 2013 - 1996) qui reprend l’intrigue originale et la situe dans le même contexte. Avec bien plus de moyen, tant financier que logistique (comparé à la première adaptation) et où les animatronics sont en surnombre, le film nous envoi en Antarctique où une vie extraterrestre a décimé une équipe de scientifiques norvégiens. Des chercheurs américains situés à proximité de leur base vont à leur tour être confronté à cette "chose" inexplicable et qui a la faculté de se métamorphoser et donc, prendre l’apparence de n’importe qui (et notamment, des membres de l’équipe). Bizarrement, le film fut un échec lors de sa sortie, mais il connu son heure de gloire lors de son exploitation vidéo et à depuis gagner ses lettres de noblesse. Là où John Carpenter nous bluffe, c’est qu’il ne perd pas de temps et nous retient en haleine dès les premières images. Il y insuffle un tel vent de terreur, qu’une paranoïa généralisée s’installe au sein de l’équipe de chercheurs américains. Ne sachant plus en qui ils doivent faire confiance, ils sont constamment sur leur garde, seule la méfiance et la peur règne au sein de ce huit-clos magistralement mis en scène, avec des acteurs plus ou moins connus (le plus connu de tous étant Kurt Russell). Le cinéaste est parvenu à y insuffler une atmosphère oppressante, entre paranoïa et suspicion où d’impressionnants trucages (SFX et autres animatronics) en imposent toujours et ce, près de trente ans après sa réalisation. A signaler aussi l’excellente B.O composée par Ennio Morricone. Il ne reste plus qu’a espérer que le prequel éponyme (2011) soit à la hauteur, mais pour être franc, cela parait impossible.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 octobre 2011
    Film culte de John Carpenter. Un film d'horreur captivant, angoissant et terrifiant face à cette mystérieuse chose extraterrestre qui peut prendre l'apparence de n'importe qui. Avec une ambiance en huis-clos avec le stress, la peur et la paranoïa de chaque individu. Kurt Russell est excellent dans le rôle du héros. La musique d'Ennio Morricone est simple et colle très bien à l'ambiance du film. Et les effets spéciaux sont incroyables, surtout pour l'époque.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 octobre 2011
    Y a ce passage de Moby Dick qui apparait aussi dans les premières pages de "Terreur" de Simons qui me viens toujours à l'esprit quand on parle de The Thing. Ce merveilleux paradoxe entre l'innocente blancheur de l’environnement et l'absolue dangerosité de ce qu'elle recèle. Carpenter pose d'emblée ce paradoxe pour ouvrir le film, dans un premier temps en nous plongeant dans ce magnifique panorama clair et éclatant qu'est l'antarctique, puis alternant séquences à l’intérieur, dominé par la chose, et à l’extérieur où le froid et la nuit qui s'étend un peu plus a chaque minute du film rendant le panorama toujours plus inquiétant et transformant finalement le rassurant en oppressant. Cependant on finit paradoxalement par trouver plus rassurant l’extérieur sombre et extrêmement froid que l’intérieur lumineux et chaud. Ce du fait de la chose,qui est en quelque sorte une allégorie fantasmatique de la paranoïa, laquelle sert toujours a merveille la tension et se pose comme le véritable pilier de ce thriller arctique, dérangeante lorsqu'elle est sous sa vraie forme et angoissante de manière plus suggestive lorsqu'elle prend l'apparence de quelqu'un d'autre ce qui au final rend son absence tout aussi anxiogène que sa présence. De même, la réalisation est vraiment excellente, on sent sa patte toujours aussi lovecraftienne œuvrer avec brio ( que ça soit dans The Thing, l'antre de la folie, ou encore wishmaster l'esthétique tout autant que le thème et l'ambiance son profondément ancrés dans sa littérature) il excelle dans les effets spéciaux suintants et dégoulinants donnant tout autant corps qu’âme à sa "chose", et ce à notre plus grand plaisir. En somme un film tout a fait culte dont il serait criminel de se priver si on ne déteste pas le genre
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 octobre 2011
    Le plus grand film d’horreur fantastique qui soit ; 1h48 de stress, d’angoisse, de paranoïa ; qui est qui, qui fait quoi, d’ou viens cette chose ? Bref, il n’y pas plus efficace comme film, inutile d’en dire plus, y a rien à en dire tellement je connais ce film par coeur, c’est une merveille que je regarde à nouveau avec plaisir, au moins une fois par an, à la période de Halloween par exemple : à noter que la version Full HD du Blu Ray est vraiment terrible, et que Kurt Russell restera toujours le meilleur dans ce rôle ; un look superbe ^^
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 octobre 2011
    La fiction paranoïaque ultime ! Carpenter, qui n'a pas son pareil pour évoquer nos peurs ancestrales, transforme un huis-clos horrifique en crise d'angoisse identitaire. On a rarement vu un film qui donne corps avec autant de force au concept d'altérité ! "The Thing", par sa puissance suggestive rappelle les grands mythes de l'antiquité, questionnant la nature humaine à travers des récits symboliques à haute teneur en adrénaline - On pense ici en particulier au mythe du Labyrinthe. La force du film tient autant à l'implacabilité de son récit qu'à l'ampleur incroyable de sa mise en scène. Carpenter confirme ici qu'il est un maître dans la gestion de l'espace cinématographique : pas un mouvement de caméra, pas un cadre, pas un raccord qui ne soit d'une justesse absolu et d'un impact maximal. Dès la splendide séquence d'ouverture, il sait instaurer un climat d'inquiétante étrangeté qui se charge peu à peu d'une tension insoutenable. Maître dans l'art de la suggestion, le cinéaste livre dans la première partie du film un modèle de huis-clos oppressant (dans un cadre spectaculaire et superbement photographié). Mais il ne se contente pas de ce pouvoir absolu de suggestion (qu'il maîtrisait déjà avec tant de brio dans "Halloween"), puisqu'il décide ici d'affronter frontalement la représentation de l'horreur (qui est évidemment la métaphore visuelle de ce Mal que l'homme porte en lui, enfouit dans les ténèbres de sa psyché. Ce Mal qui libère cette haine paranoïaque où l'autre est réifié, conduisant l'humanité à ses pires excès). Mais, au cinéma, le risque est grand de jouer la carte de la frontalité (suggérer est toujours plus fort que montrer), aussi Carpenter à le génie d'opter pour une troisième voie, unique dans les annales : l'horreur qu'il montre est tellement à géométrie variable (le monstre est un mélange d'apparence en permanente évolution) que notre imagination de spectateur continue de fonctionner et n'est jamais limitée à ce que l'on voit. Le cinéaste rejoint ainsi l'écrivain Lovecraft dans sa capacité à décrire l'innommable, nous laissant face à une terreur blanche, mélange de figuratif (quasi clinique) et d'abstraction. "The Thing", sous son apparente simplicité (quasiment une épure dans la clarté de son trait), est donc un film implacable, mais c'est aussi un grand film crépusculaire sur la nature humaine (voir son final à la Schopenhauer). A l'instar de "Shining", il retrouve ainsi la force du cinéma des origines, à travers la fascination brute et virginale de ses images, la ligne claire de son récit et son incroyable puissance évocatrice.
    Dynastar21
    Dynastar21

    33 abonnés 438 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 octobre 2011
    Un très bon film. J'en avais entendu beaucoup de bien et je ne suis pas déçu ! Ce qui frappe avant tout c'est de voir que le film n'a pas quasiment pas vieillit, il n'a pas pris une ride, l'image est encore très nette et les effets spéciaux n'ont rien à envier à certaines productions contemporaines, 30 après, c'est vraiment beau ! Le film n'est pas un film d'épouvante très effrayant, ni un film gore mais un film qui mise tout sur son ambiance. Cette atmosphère particulière, lourde, stressante qui est une des qualités indéniables du long-métrage. Cette atmosphère est en partie due au cadre du film, la base dans le pôle nord coté Norvège qui assez réaliste quand on sait que le film a été tourné en studio. L'atmosphère oppressante est renforcée par la BO d'Ennio Morricone très belle (pas exceptionnelle non plus) et qui se prête parfaitement au film. En ce qui concerne les acteurs, Kurt Russel est assez charismatique et tente de maintenir l'équipe à bout dans la base scientifique tandis que les seconds rôles remplissent leurs contrats sans éclaboussures. En ce qui concerne la créature, elle est relativement bien faite pour l'époque et elle est assez horrifique. John Carpenter avec sa mise en scène soignée signe ici un film d'épouvante efficace qui a sa sortie au cinéma n'avait pas bien marché mais qui a gagné son statut de film culte par la suite et c'est mérité. A ne pas oublier la critique sociale de Carpenter, notamment par exemple sur la solitude, l'exclusion (en effet dans le film, les scientifiques vivent en communauté mais arrivent quand même à boire en solitaire ou à jouer aux échecs contre un ordinateur) ! Il y aussi un élément important d'évoqué, une peur universelle, la peur de l'autre car quand "l'alien" a infiltré l'équipe, tout le monde s'observe, se méfie et l'ambiance devient intenable, la peur de l'autre est très bien montrée par John Carpenter. Le film oscille donc entre science fiction, épouvante et horreur et se démarque par son ambiance vraiment stressante et captivante. Très bon.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 octobre 2011
    Film culte de John Carpenter, il reste dans les mémoires. Il ne fait pas foncièrement peur, mais il possède un déroulement unique : on se retrouve en effet très rapidement devant un thriller horrifique. Les apparences différentes de "La Chose" sont vraiment horribles et réalistes malgré le poids des années. Les acteurs sont convaincants sans être transcendants non plus. La fin aussi nous fait rester sur notre faim, tellement elle est prévisible finalement... Mais malgré ces "défauts", il marque par sa tournure générale et l'aspect visuel de cette monstruosité spatiale. A voir pour tout les fans du genre bien sur !
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    532 abonnés 952 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 septembre 2023
    Une base de recherche en antarctique, douze hommes, une entité inconnue capable de prendre la forme de n'importe qui. La traque commence. S'arrêtera t-elle ? Quarante ans plus tard, on est toujours pas sûr de la réponse. À l'image de ce titre - The Thing - assez vague pour exciter l'imaginaire mais tellement évocateur dans la mémoire cinéphilique. Au point d'avoir presque fait oublier sa nature de "redite". En grand fan de l'original (La Chose d'un autre monde, 1951), John Carpenter entendait bien se réapproprier la nouvelle Who Goes there ? signée John W. Campbell plutôt que de bégayer l'adaptation sortie trente ans plus tôt. L'idée est donc d'en revenir à la substantifique moelle. Avec le scénariste Bill Lancaster, ils font le choix d'une intrigue ramassée, avec un nombre réduit de personnages (ils étaient 37 dans le roman), et une Chose repensée. Question icônes, Carpenter est un fournisseur en tout genre : Michael Myers, Snake Plissken, Christine ou Jack Burton. Avec The Thing, il accomplit sa plus grande œuvre.

    Le film est une perfection absolue sur le plan narratif, technique et horrifique. Il entre dans le vif du sujet sans attendre. Il n'y a aucun texte introductif, aucun mode d'emploi, aucune explication. Dix minutes et déjà confus ? Tant mieux, les douze membres de l'équipe de recherche sont dans le même cas. Carpenter a justement pensé sa mise en scène afin que le public n'aie jamais d'avance sur les personnages. Qui est qui, qui fait quoi, quelle relation entre chacun : on l'apprend au fur et à mesure, souvent de manière intuitive et finalement peu par le dialogue. Libre de s'attacher, prière de se méfier. Car il suffit d'un hors-champ, un léger mouvement de porte ou une ellipse, et le piège se referme. Plus on comprend la Chose, plus The Thing nous tient à sa merci. D'où vient la menace, peut-on l'identifier sans se tromper, se révélera t-elle à nous ou est-ce nous qui nous révélerons à elle ?

    Nulle porte de sortie. Dehors, c'est un désert de glace et le froid polaire. À l'intérieur, c'est une menace aussi implacable qui grandit. Elle n'a pas une forme mais une infinité. Elle est multiple, imprévisible, animale, humaine, sournoise, monstrueuse. Engagé par John Carpenter, le responsable des effets spéciaux Rob Bottin a l'idée d'une Chose dont les capacités de mutation dépasse l'entendement. Un an de travail, zéro jour de repos, une hospitalisation pour couronner le tout. Bottin y a laissé sa santé, mais son travail lui est passé à la postérité. Ses créations peuplent encore les cauchemars de millions de spectateurs. Et font du film un sommet de terreur organique, où Carpenter se sert de la Chose protéiforme pour exposer en plein jour les mécanismes de défense de notre espèce face à l'inconnu et son inclination à l'extrémisme (paranoïa, xénophobie, bestialité). The Thing a en plus le bon goût de laisser une petite zone d'ombre au cours de sa résolution. Quand le thème (inoubliable) ouvrant le film résonne de nouveau pour le générique final, on est libéré...En tout cas, on en a l'air. Pour être aussi réussi, The Thing ne pouvait venir que d'ailleurs. Un chef d'œuvre définitif.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 octobre 2011
    Un bon petit film d'horreur a l'ancienne, un huis clos avec effets maisons... Il n'a pas trop mal vieilli, les ressorts restant ceux qui fonctionnent toujours aujourd'hui... et la Chose a vraiment une sale gueule !
    landofshit0
    landofshit0

    275 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2011
    Mené de main de maitre par un Carpenter signant ici un huit clos tendu,ou la paranoïa se glisse a l’intérieur de chacun des personnages.Et emmène littéralement le spectateur dans cette spiral de suspicion.L'image et la mise en scène n'ont absolument pas pris une ride,et les effets spéciaux limite vraiment aussi les dégâts.
    Julien D
    Julien D

    1 206 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 août 2012
    Quatre ans après avoir révolutionné le cinéma d’épouvante avec son survival Halloween, John Carpenter réalisa ce qui est encore considéré comme une référence en matière de huis-clos horrifique (au coté d’Alien bien entendu). L’omniprésence de la peur se fait grâce à un rythme parfaitement soutenu et une mise en scène oppressante faisant partager au public la paranoïa des personnages. La montée crescendo de la tension s’accorde à merveille avec la musique signée par Ennio Morricone. En plus, quand on se rend compte que les effets spéciaux restent impressionnants trente ans plus tard, on doit reconnaitre qu'ils devaient être véritablement cauchemardesques à l'époque!
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    82 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 octobre 2011
    John Carpenter dans toute sa splendeur avec ce film plutôt surprenant. En effet, alors que l'on voyait d'ici le simple divertissement d'horreur avec des cadavres qui pleuvent, The Thing se montre être au final un véritable moment de tension et surtout de paranoïa, aidé par un scénario, une ambiance et une photographie qui nous permettent de ressentir une angoisse inattendue. Et je ne parle pas des effets spéciaux (robots, marionnettes, maquillages), tout simplement excellents (quoiqu'un peu vieilliots pour les plus réticent). Dommage que la fin soit trop simple, gâchant un épilogue qui aurait pu clore merveilleusement ce film culte (il faut bien le dire). The Thing, un film angoissant qui mérite sa réputation!
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top