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GlaireWitch
45 abonnés
586 critiques
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3,5
Publiée le 16 juillet 2011
long métrage assez sympa mais qui pour moi a très mal vieillie surtout niveau effets spéciaux, en revanche l'ambiance seul au milieu de nul part et l'atmosphère oppressante sont bien gérés !pour moi le gros point noir du film n'est même pas sont visuelle vieillissant mais kurt russel qui pour moi plomb le film
Bouquin culte, film culte. The Thing a un peu vieilli, certes, mais n'en reste pas moins un bon film de science-fiction/ horreur. Tout l'intérêt de l'histoire réside dans le fait que la chose peut se cacher en chacun des personnages et le réalisateur retranscrit parfaitement cela. Les personnages sombrent de plus en plus dans la paranoïa dans un climat de tension omniprésent. La séquence avec le test du sang, bien que très lente, est stressante à souhait.
Un excellent film de John Carpenter. Kurt Russell campe un chasseur qui tente de tuer une chose tapi dans l'ombre. Une bonne fiction culte des années 80.
Un chef d'oeuvre ... Le chef d'oeuvre parmis les chef d'oeuvres de Carpenter ! The thing c'est une ambiance, un rythme, des sensations. Certes on n'aime ou on n'aime pas mais c'est un film personnel, donc forcément ça créer le débat ! La scène du test fait partie, selon moi, des meilleures scènes de l'histoire du cinéma. Comme tous les Carpenter, c'est un très grand film, mais celui ci peut être encore plus ...
Antarctique, 1982. Des scientifiques américains recueillent dans leur base un chien solitaire, traqué par des Norvégiens visiblement suicidaires et fanatiques. Ils ignorent qu'ils viennent d'enclencher un jeu de la mort avec une créature redoutable... Gros bide et vilipendé par les critiques à sa sortie, "The Thing" a pourtant au fil des ans pris la place de classique de la SF, qu'il méritait amplement. En effet, John Carpenter livre sans doute là son film le plus abouti, huis-clos parfaitement maîtrisé, violent et nihiliste (caractéristiques sans doute responsables de l'échec en 1982 !). Carpenter fait évoluer sa caméra avec aisance dans la base isolée au milieu du froid polaire, utilisant des plans larges pour des espaces pourtant confinés, et jouant à merveille sur l'ambiance sonore, entre bruitages anxiogènes et BO lancinante et organique d'Ennio Morricone. Sans oublier des effets spéciaux excellents pour l'époque, aussi efficaces que répugnants, qui explosent à l'écran après des moment de grande tension, apportés par un scénario intelligent. Côté acteurs, tous sont convaincants en personnages de plus en plus isolé et paranoïaques, et en particulier Kurt Russel, dont le protagoniste cynique parvient néanmoins à trouver des ressources malgré les difficultés. Que vous soyez amateurs d'horreur ou de SF, "The Thing" demeure une référence du genre, qui n'a rien perdu de sa force.
"The Thing" a acquis avec le temps (après avoir été un echec à sa sortie) un statut de film culte. Soyons péremptoires, ceci constitue une injustice. Car "The Thing" n'est pas une excellente série B, ni le "meilleur film d'un sympathique petit maître du genre fantastique", mais bel et bien un trés, trés bon film à ranger avec les grandes oeuvres du cinéma. Claustrophobique, agité d'une tension extréme, fermement critique quant à la nature humaine, "The Thing" est un film métaphorique (tout comme l'était l'original, qui datait de la grande époque "anti-communiste" du cinéma américain), qui parle d'autre chose que de son simple sujet sans pour autant verser dans la démonstration. Ce cinéma manque aujourd'hui.
Etant peu friand des films d'horreur, j'ai dû un peu me forcer pour le voir, et j'ai été assez surpris par tout le travail fait autour. Tout les acteurs sont très bons, même les seconds rôles, ils campent parfaitement leur personnage et ne surjouent pas. L'ambiance et l'esthétique sont travaillés pour que le spectateur ressente l'atmosphère pesante et oppressante du film. Malgré quelques longueurs, le film ne vieillit pas et possède d'ailleurs une excellente b.o
Carpenter a créé un classique incontesté et instantané, une œuvre froide et profonde. Dans ce décor arctique, Kurt Russell doit affronter une menace invisible, un métamorphe qui peut prendre l’apparence de n’importe qui ou n’importe quoi. It Follow a repris ce phénomène de paranoïa, de ne pas savoir d’où vient le danger. En stop motion, le monstre est impressionnant, véritablement imposant. Une manifestation démoniaque, rebutante, et totalement culte.
Dans ce chef-d'œuvre gelé, Carpenter nous entraîne dans une partie de Cluedo glaçante. Imaginez un Monopoly où chaque pion pourrait vous arracher la tête à tout moment ! Les effets spéciaux, bien que parfois datés comme un vieux joystick Atari, restent une orgie visuelle qui vous scotchera à votre fauteuil, sauf si vous avez la vessie aussi solide qu'un bouclier en adamantium !
Carpenter nous offre un suspense qui vous fera sauter comme un goomba sur un champ de bataille Mario. Les personnages, plus stressés que Chewbacca à un concours de tondeuse à gazon, nous emportent dans une danse macabre où la moindre toux pourrait vous transformer en gelée sanglante. Une tension plus épaisse que la sauce de vos chicken wings préférées !
La mise en scène de Carpenter est tellement bien fichue qu'on se croirait dans une partie de Jumanji, sauf que le plateau, c'est l'Antarctique, et les pièges, ce sont des aliens shapshifteurs affamés ! La photographie est plus sombre que la Batcave, plongeant l'atmosphère dans un noir plus noir que l'humour de Deadpool après une cure de dépression.
La bande-son, signée Morricone, est un crescendo d'angoisse qui vous fera serrer les fesses plus fort qu'un passage à niveau quand le train arrive ! Chaque note est une pichenette sur votre tension artérielle, et le thème principal est plus envoûtant que la répétition de "One Winged Angel" dans Final Fantasy VII. Une musique qui vous colle à la peau comme du slime de Ghostbusters !
En somme, "The Thing" est à la science-fiction ce que la pizza est à l'Italie : une institution ! Avec son lot de frissons, de surprises et de twists, c'est le genre de film qui vous fera oublier que vous avez une vie sociale à côté. Une pépite de l'horreur à voir et revoir, comme un bon vieux jeu vidéo rétro qui ne perd jamais de sa saveur, même après toutes ces années. Alors, préparez votre popcorn, éteignez les lumières et préparez-vous à être secoué comme un cocktail par un film qui, comme une IA maléfique, n'a pas pris une ride !
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Me voilà surpris, moi qui m'attendai à une série B dépassée je me rend compte que c'était sacrément bien. Les effets spéciaux ont vraiment bien vieillis, l'ambiance huit-clos est très soignée et paranoïaque, il y a deux trois moments de flippe, de dégout (niveau effets gores, le film ne vous ménage pas), un suspens maîtrisé, de bons acteurs et une musique sympa (qui ne méritait certainement pas d'être nominée aux Razzie). Un film vraiment prenant et angoissant. À voir.
Très grand film de suspense et d'épouvante méconnu, The Thing se hisse dans les sommets. Alliant l'esthétique macabre d' Alien au malaise de l'Exorciste, ce qui fait la plus grande source d'angoisse et d'intérêt de The Thing est néanmoins unique en son genre : la claustrophobie et la peur existentielle (de la fin de l'espèse humaine, de la mort). Cela permet, aidé par le réalisme stupéfiant que distille John Carpenter de son style et ses excellents acteurs, d'établir entre les personnages et le spectateur un lien jamais connu au cinéma. Mention aussi à la superbe musique d' Ennio Morricone et l'exceptionnelle fin, semant en nous un rare état de trouble, de questionnement et de sensation.
Beaucoup d'eau a coulé sous les ponts depuis et le registre a beaucoup évolué au détriment des films qui ont lancé des modes. PLV : savoir d'où on est parti est sympa.
Porter par des effets mécaniques révolutionnaires pour l’époque, ce film culte de l’horreur perd néanmoins en intensité car la quantité de script et le peu de scènes gores donne une certaines longueur au contenu. Malgré tous, je tiens à note une formation de titre accompagné d’un effet sonore tous juste délicieux en début de film. spoiler: Mais par contre, le tout début est très bon avec la soucoupe arrivant sur Terre puis la formation très originale du fameux titre. Très sincèrement, plus d’action et moins de script car l’histoire est très simple à suivre, aurait été mieux pour donner au film sa véritable grandeur d’horreur. spoiler: Pour finir, j’ai été bouche bé devant la scène ou les husky se font déchiqueter pour donner naissance à cette chose. Le visuel était justement grandiose. Presque à nous en donner la nausée.
Ce petit génie de l'horreur qu'on appelle John Carpenter réalise ici un petit bijou d'épouvante. Le suspense est présent tout au long du film, et semble encore plus réelle avec la musique angoissante du maestro Morricone. Le film est vraiment flippant et fait oublier son modèle original. La mise en scène est surement l'une des meilleures de tout les temps. Un quasi chef d'oeuvre.
un classique de la science fiction "sur terre" mélangé avec de l'horreur. Un climat typiquement excitant où enfermé dans une station de recherche dans L’Antarctique une bande de scientifiques doit lutté contre un extraterrestre malin retrouvé gélé qui reprend vie et qui se réplique. Trouvé la chose et le tué. Scénario d'une intensité rare dans ce genre de film où John Carpenter à qui l'on doit aussi "New York 1997" avec sa muse du moment Kurt Russell seul véritable star du film avec Keith David applique à la lettre une réalisation feutré et enrichissante, mené par Ennio Morricone qu'on retrouve aussi en forme, reconnaissable, avec une fin en queue de poisson et doté d'une durée extrêmement court seul 1 heure 25, mais de pure intensité, si intense que cela suffit à nos dépend, tant qu'on veut bien soufflé après le film. inquiétant et horrible, ce film est tout simplement culte.