AlloCiné
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Votre avis sur The Crow ?
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20 critiques
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Ce film est un conte. Le prétexte, certes, est discutable mais en partant du postulat que le sentiment amoureux est un point commun à toutes les histoires depuis Grimm en passant par Perraut et jusqu'à Andersen, "The Crow" est un film tout à fait défendable. Hormis l'ambiance gothique davantage destinée aux adolescents amateurs de "The Gathering" sans omettre "Nightwish" (tous deux groupes de metal aux relents gothiques), il n'en demeure pas moins que le drame proposé là peut toucher toutes les personnes qui n'ont pas été totalament aveuglé par le cynisme.
Brandon Lee est touchant par la souffrance post-mortem qu'il confère à son personnage, et Michael Wincott est toujours aussi impressionnant de froideur et de cruauté. Cette fable n'est peut-être pas intellectuelle mais elle offre un très bon compromis entre l'ennui et une utilisation de bon aloi de son lecteur de DVD.
Brandon Lee est touchant par la souffrance post-mortem qu'il confère à son personnage, et Michael Wincott est toujours aussi impressionnant de froideur et de cruauté. Cette fable n'est peut-être pas intellectuelle mais elle offre un très bon compromis entre l'ennui et une utilisation de bon aloi de son lecteur de DVD.
Un très bon moment à passer. L'histoire est superbe, même si les executions s'enchaînent trop vite, de plus, celle-ci ne sont pas assez...spectaculaires, dommage. Certains de ces méchants font trop dans l'archétype en plus, le junkie, les deux pyromans barjots, le manieur de couteau, dommage. Mais reste une esthétique particulièrement bien soigné et le jeu de Brandon Lee est très émouvant. Un film à voir, même si le poid des années commence à se faire sentir (les effets spéciaux commencent à faire un peu vieillots) mais bon, entre ça et un remake infâme, je préfère encore les effets spéciaux vieillots. Vous savez ce qui vous reste à faire, le voir! ^^
Le meilleur "The Crow" nettement mieux que la version avec Vincent Pérez.L'univers de ce film est vraiment sombre on reconnait parfaitement la petite touche d'Alex Proyas.La même que l'on retrouve dans le sublime Dark City.Que je conseille à tous ceux qui ont aimé ce film.
L'histoire est ridicule : un mort, réveillé par un corbeau, va se venger de ses assassins après s'être maquillé le visage. Le film tourne en rond, aucun suspens puisqu'on sait déjà comment ça va finir. C'est d'un ennui total et ni l'action, ni les dialogues ne relèvent le niveau. Le seul intérêt du film est l'ambiance gothic qui sera appréciée par les fans du genre dont je ne fais pas partie.
Une merveille ce film et mon film culte,la réalisation et parfaite et Brandon Lee tout simplement prodigieu.c'est un pur chef d'oeuvre et encor je n'ai pas les mots pour dire a quel point se film ma marqué.Bref un joyaux inoxibable
tres beau film.
ambiance gothique parfaite et superbe musique.
ambiance gothique parfaite et superbe musique.
Mon film culte par excellence, 4 ne suffit pas, il faudrait au moins un 10 pour me satisfaire.
Plus quune critique, cest un coup de cur que je dédie à ce film, véritable claque pour moi quétait cette « simple » adaptation dun comics de James O barr joué par Brandon Lee, fils de Bruce et mort pendant le tournage de ce film.
Alex Proyas crée un monde, une atmosphère en quelques secondes dès le générique douverture sublime de la ville en flammes survolée par le corbeau. Cette histoire de vengeance au nom de lamour est sublimée par une photo et une réalisation somptueusse, une musique superbe et un casting en tout point génial. Ce film est un livre dimages animées où seuls quelques effets spéciaux maintenant datés feront sourire certains : Limage sublime du corbeau en feu lors de la mort de T Bird, la résurrection dÉric et sa préparation, son solo de guitare sur les toits, le final émouvant à souhait, trop dimages qui mont marqué pour un film devenu culte depuis et qui mérite son rôle de requiem de Brandon Lee avec tout le panache qui faut.
Plus quune critique, cest un coup de cur que je dédie à ce film, véritable claque pour moi quétait cette « simple » adaptation dun comics de James O barr joué par Brandon Lee, fils de Bruce et mort pendant le tournage de ce film.
Alex Proyas crée un monde, une atmosphère en quelques secondes dès le générique douverture sublime de la ville en flammes survolée par le corbeau. Cette histoire de vengeance au nom de lamour est sublimée par une photo et une réalisation somptueusse, une musique superbe et un casting en tout point génial. Ce film est un livre dimages animées où seuls quelques effets spéciaux maintenant datés feront sourire certains : Limage sublime du corbeau en feu lors de la mort de T Bird, la résurrection dÉric et sa préparation, son solo de guitare sur les toits, le final émouvant à souhait, trop dimages qui mont marqué pour un film devenu culte depuis et qui mérite son rôle de requiem de Brandon Lee avec tout le panache qui faut.
Un chef-d'oeuvre, une perle noire ! Alex Proyas impose son style et devient un maître malheureusement pas assez présent dans les salles de cinéma. En tout cas, The Crow est son chef-d'oeuvre qu'il aura bien du mal à égaler lui-même ! Quant à Brandon Lee, je n'ai pas peur d'affirmer qu'il se démarque de l'ombre de son père et qu'il devient aussi légendaire sinon plus que son paternel !
L'une des plus belles adaptations de comics. J'ai adoré cette ambiance mélancolique et poétique. Dommage que Brandon Lee soit mort sur le tournage. En tout cas il est parti en faisait le plus beau rôle de sa carrière, pour moi il sera toujours "The Crow".
Excellente réalisation alors que Brandon Lee est mort durant le tournage. Acteurs parfaits, scénario prenant et bonnes scènes d'action!!!Bref à voir absolument!!!
Proyas a un véritable don de mise en scène, une vision élégante du gothisme, et il sait mêler poésie, violence et folie, si bien visuelle que psychologique. Cependant, son Crow demeure plastiquement imparfait, ses dialogues assez laids et son action suffocante. Dommage.
un thriller gothique qui manque cruellement d'acteurs, hormis brandon lee, et dont le scénario ne parvient pas à s'affranchir de son postulat de départ. qu'à cela ne tienne, proyas fabrique le film plan après plan, en usant de ses référence et de sa palette de metteur en scène de talent. il fait succéder montages nerveux et prises de vue contemplatives, filmant la ville avec un parti pris pessimiste, et son justicier zombie avec admiration. sa mise en scène s'adapte au récit, tantôt polar noir, tantôt thriller biblique. mais les faiblesses du scénario ressurgissent dés que le film semble prendre un peu de densité, au cours des scènes d'action notamment, ou la mise en scène ne peut rien contre le manque d'originalité. au final, on est plutôt satisfait, mais surtout heureux que proyas soit au commandes.
Malgré de nombreux défauts, effets spéciaux un peu vieillissant, fin banale, personnages légèrement caricaturaux, il ressort de ce film une oeuvre glauque et poétique, avec un Brandon Lee qui sera à jamais gravé dans nos esprits, à l'image de son rôle, tel un immortel.
Un de mes films préférés. Chef-d'oeuvre. Y'a pas de mots pour dire ce que je ressent quand je vois ce film. L'acteur principal, les décors, la b.o, le maquillage, l'ambiance, l'idée... tout est FANTASTIQUE... Brandon Lee était fait pour ce rôle et il ne nous a pas déçus. Ce film est comme lui, immortel. Merci Brandon.
Alex Proyas signe ici une véritable ode à la vie.
Car ce n'est plus du cinéma, c'est de la poésie.
Le corbeau revenant d'entre les morts et apportant lumière aux victimes et ténèbres aux bourreaux est peut-être devenu un surhomme infaillible, il n'en demeure pas moins un être humain vulnérable et torturé par ses souvenirs. Il puise sa force dans son unique désir de vengeance.
Se venger pour apaiser son âme et celle de sa dulcinée : ici on ne s'encombre point de métaphores religieuses sur la pardon et la miséricorde. Les méchants doivent payer.
Tout est beauté dans cette oeuvre où la violence donne dans le sublime : l'implication et la véracité du jeu d'acteur de l'extraordinaire et tant regretté Brandon Lee (d'ailleurs le film aura eu raison de lui), où l'on sent que le comédien et le personnage ne font plus qu'un. Eric Draven semble tellement souffrir que l'on a mal pour lui.
D'ailleurs, l'intensité dramatique de certaines séquences parvient à atteindre et à transcender les limites sans cesse repoussées de l'insoutenable.
Oui, rien n'a plus de valeur que la vie.
Car ce n'est plus du cinéma, c'est de la poésie.
Le corbeau revenant d'entre les morts et apportant lumière aux victimes et ténèbres aux bourreaux est peut-être devenu un surhomme infaillible, il n'en demeure pas moins un être humain vulnérable et torturé par ses souvenirs. Il puise sa force dans son unique désir de vengeance.
Se venger pour apaiser son âme et celle de sa dulcinée : ici on ne s'encombre point de métaphores religieuses sur la pardon et la miséricorde. Les méchants doivent payer.
Tout est beauté dans cette oeuvre où la violence donne dans le sublime : l'implication et la véracité du jeu d'acteur de l'extraordinaire et tant regretté Brandon Lee (d'ailleurs le film aura eu raison de lui), où l'on sent que le comédien et le personnage ne font plus qu'un. Eric Draven semble tellement souffrir que l'on a mal pour lui.
D'ailleurs, l'intensité dramatique de certaines séquences parvient à atteindre et à transcender les limites sans cesse repoussées de l'insoutenable.
Oui, rien n'a plus de valeur que la vie.
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