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    The Crow
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    304 critiques spectateurs

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    darthbebel
    darthbebel

    25 abonnés 636 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2010
    Bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 février 2010
    Une atmosphère sombre et violente, une mise en scène splendide. Brandon Lee joue son personnage à la perfection, et le comble c'est qu'il en meurt ... Il aura laissé derrière lui une trace indélébile avec cet excellent film.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 9 février 2010
    Assez mauvais dans l’ensemble. Tout se passe dans la nuit dans une atmosphère sombre de bas-fonds chère à Alex Proyas. L’ambiance est assez réussie, bien que les décors laissent quelque peu deviner la reconstitution studio en carton plâtre. L’histoire n’est pas très intéressante, celle d’une vengeance juste et basique venue d’outre-tombe. L’esthétique du film a quelque chose de gothique et de glam qui, ajoutée a une bande son style The Cure, devrait plaire à un public ado. Pensée pour Brandon Lee tragiquement décédé sur le tournage du film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 février 2010
    Quelle ambiance ! Sombre et gothique à souhait, The Crow jouit d'une esthétique sublime, parfaitement maitrisée et inoubliable, magnifiée par la performance, la présence et le charisme du regretté Brandon Lee. Ajoutez à celà des seconds rôles eux aussi excellents, une intrigue sombre, prenante et très bien ficelée et une mise en scène parfaitement gérée, et vous obtenez un chef-d'oeuvre à déguster sans modération.
    ollavatelli
    ollavatelli

    58 abonnés 547 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 février 2010
    Un film excellent !

    The crow est un film bien classe contenant une bonne petit dose d'humour.Le film est un peu gothique, sombre (j'ai remarqué que tout le film se déroule la nuit) et émouvant.Brandon lee est remarquable dans la peau d'Eric Draven.

    La seule chose que je regrette est que le film manque un peu de violence ; pour un gars qui se venge car il s'est fait tuer avec sa bien aimée sans aucune raison, je trouve qu'il y va relativement molo.

    The Crow est donc un film fort intéressant et passionnant, qui est dans l'ensemble très réussi mais manque un peu de sang.
    Tedy
    Tedy

    250 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 septembre 2013
    Cette adaptation du comic éponyme peine à convaincre pleinement, la faute à de nombreuses facilités et un acteur principal (Brandon Lee) pas vraiment talentueux. Ce film arrive malgré tout à nous distraire.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 septembre 2009
    Ce film est un vrai chef-d'oeuvre! Très violent, sombre, mais à la fois triste, émouvant et magnifique...
    Et aussi une une bande-son excellente!
    Film à voir absolument!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 septembre 2009
    Très bon film !! Fantastique, dramatique, violent !! L'histoire est très bien faite et les acteurs jouent à la perfection
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 septembre 2009
    Probablement la meilleure adaptation d'un comic-book. Spectaculaire, violent, sombre... et tellement triste.
    basbi
    basbi

    38 abonnés 1 201 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juillet 2010
    Un bon film fantastique qui soulage autant le héro du film que les spectateurs à la fin du film.
    Ezhirel
    Ezhirel

    53 abonnés 254 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 novembre 2024
    Sorti en 1994 et réalisé par Alex Proyas, le réalisateur du génialissime Dark City, que je vous conseille vivement de voir, le film The Crow est l’adaptation de la série de comics du même nom, réalisée par James O'Barr et sera le témoin temporel d’une époque, comme rarement un film super-héroïque ne l’a été auparavant.

    Alex Proyas, petit réalisateur quasi inconnu à l’époque, n’avait jusqu’alors réalisé que de modestes clips vidéos, court-métrages, et un seul long métrage “Spirits of the Air, Gremlins of the clouds”, petit ovni cinématographique qui ne dépareillerait pas dans la filmographie de Jeunet, d’une beauté ineffable, mais dont l’accueil fut plutôt mitigé au vu de sa nature plutôt déconcertante.

    Autant dire que The Crow allait constituer un défi de taille pour le jeune réalisateur, tout juste trentenaire à l’époque, qui devait encore faire ses preuves et qui signait ici, son premier long-métrage “à gros budget”.

    Et non content d’avoir livré un film très respectable au-delà de toute considération liée à sa nature d’adaptation de comics, Proyas peut également se targuer d’avoir signé l’une des meilleures adaptations de comics super-héroïque de tous les temps, respectueuse et mature, à une époque où les films de super-héros n’étaient pas légion et ne constituaient pas encore un genre à part entière.

    En fait, dans cet exercice de film noir super-héroïque, malgré quelques résultats infructueux comme Darkman de Sam Raimi ou Punisher de Mark Goldblatt, un seul réalisateur avait su tirer son épingle du jeu, à savoir Tim Burton avec ses excellentes adaptations de Batman. The Crow allait donc débarquer comme une nouvelle pierre angulaire du genre.

    James O'Barr lui-même, le créateur de la bande dessinée, apprécia beaucoup l’adaptation de sa BD The Crow, et salua le respect apporté à l’oeuvre. Et n’importe quel amateur de comics sait à quel point il peut être difficile de contenter un auteur, qui trouvera souvent à redire sur les adaptations de leur bébé, même quand elles sont de qualité (qui a dit Alan Moore ?).

    The Crow raconte l’histoire d’Eric Draven, un jeune guitariste de rock, tué la veille d'Halloween alors qu’il s’apprête à épouser l’amour de sa vie, la jeune et belle Shelly Webster. Un an plus tard, tandis que la ville est en proie à une hausse de la criminalité, Eric Draven reviendra d’entre les morts, arraché à l’au-delà par un mystérieux corbeaux, afin de venger la mort de sa petite amie.

    S’il est un aspect que Alex Proyas et son équipe technique ont parfaitement maîtrisé dans cette adaptation de The Crow, c’est la pertinence et la cohérence de l’imagerie globale du film, ainsi que l’atmosphère si particulière qui en découle. Le réalisateur et ses deux compères : Dariusz Wolski et Simon Murton, ont mis un point d’orgue à réaliser une oeuvre, à la fois fidèle et respectueuse du support d’origine, mais également d’une beauté froide et tristement amère.

    L'esthétique gothique omniprésente est une véritable déclaration d’amour à son époque, et Brandon Lee, félin et charismatique avec sa dégaine de rockeur déchu de la fin des années 80 que l’on pourrait aisément confondre avec un certain Alice Cooper, en est sans conteste l’une de ses plus belles égéries. La photographie est savamment pensée de manière à conférer au film une ambiance qui marrie avec brio, sinistrose et romantisme, faisant émerger de cette mixtion paradoxale et oxymorique, la magnificence noire qui caractérise l’art gothique. La colorimétrie met en avant des teintes sombres et rougeâtres, de laquelle il découle tout un symbolisme de l’amour, de la mort, et de la vengeance, dans une valse aux couleurs chatoyantes faite de feu, de sang, et de ténèbres.

    Les plans aériens sont quant à eux l’occasion pour le spectateur de survoler une ville à l’architecture époustouflante et rutilante, à travers les yeux du corbeau. Chaque plan et chaque détail de la mise en scène, reflètent à eux-seuls, la qualité d’une direction artistique qui avait tout compris de la grammaire gothique.

    Les personnages principaux ne font pas exception à la règle et tout dans leur allure et leur écriture dégage un véritable sens de la tragédie et du romantisme. The Crow met en scène la quête vengeresse, quasi-Shakespirienne, d’Eric Draven, esprit vengeur et héros romantique au possible, aux allures christique, véritable phare dans cette Nuit du Diable, qui n’a qu’un seul but, expier les fautes des criminels qui ont violé et assassiné l’amour de sa vie. Le film se terminant lors d'un duel au sommet… d’une cathédrale, symbolique s’il en est, qui ne dépareillerait pas dans un film de capes et d’épées.

    Le film ne se contente pas d’être cohérent esthétiquement, il l’est aussi par ses choix musicaux et notamment par l’utilisation d’une bande-son rock et torturée, à l’image du reste du film.

    Grunge, Metal, Shoegaze, l’ensemble de l’univers musical de The Crow, porté par des groupes mythiques tels que The Cure, Nine Inch Nails, Rage Against The Machines, Stone Temple Pilots, ou encore Medicine, représentent parfaitement une certaine frange de la jeunesse de l’époque, une jeunesse underground, qui a soif de rébellion et de liberté, et dont Eric Draven, et par corollaire, son interprète Brandon Lee, seront de parfaits porte-étendards.

    La musique composée spécialement pour le film, quant à elle, est l’oeuvre du talentueux Graeme Revell, qui signera ici, l’une de ses bande-sons les plus inspirées, et l’une des plus importantes de sa carrière, qui le révélera aux yeux du grand public et qui lui assurera une carrière prestigieuse.

    Néanmoins, la production de The Crow a été parasitée par une malédiction qui s’amplifia de manière crescendo au fil du temps : perturbations climatiques sur le plateau, blessés divers et morts de cascadeurs, jusqu'au point d'orgue de la malédiction, à savoir la fin tragique de Brandon Lee, alors âgé de 28 ans seulement.

    Les circonstances exactes de la mort de Brandon Lee, ont longtemps demeuré pour le moins floues et mystérieuses, et ont alimenté bon nombre de théories conspirationnistes, Pour l’anecdote, Chad Stahelski, le réalisateur de la trilogie John Wick avec Keanu Reeves, était un fidèle ami de Brandon et bien qu’il n’ait jamais été crédité dans le rôle, c’est lui qui a incarné la doublure de l’acteur suite à son décès. Avec un tel talent que le subterfuge ne se voit à aucun moment.

    Bien que tragique, la mort du jeune Brandon résonnera à travers l’ensemble de l’oeuvre comme un écho à l’histoire qu’elle raconte, et ne fera que renforcer sa force et sa profondeur. The Crow possède indéniablement une aura indescriptible, qui transcende sa raison d’être, comme si l’ombre de Brandon planait toujours au-dessus de ce film, et c’est pour cette raison, que le film est si important !

    Je crois qu’il existe une certaine catégorie de rôles au cinéma, tellement forts et symboliques, qu’ils en viennent à outrepasser les frontières de la réalité, jusqu’à empiéter sur le destin de leurs interprètes, marquant par-là même l’histoire du cinéma d’une empreinte funèbre et inaltérable. Comment, ne pas faire un parallèle avec le regretté Heat Ledger, dont la dernière incarnation au cinéma, possède bien des points communs avec Eric Draven.

    Avec tout cela, on peut applaudir Alex Proyas pour être allé au bout de cette aventure, alors qu’il était encore endeuillé par la mort de son comédien et ami Brandon, ainsi qu’à Miramax, pour avoir boosté le budget initial du film, afin de laisser au réalisateur la chance de pouvoir le terminer et ainsi ne pas laisser partir en fumée l’investissement de Brandon dans le film.

    Quoiqu’il en soit, le décès de Brandon Lee fera de lui une véritable icône de sa génération, à l’instar de nombreux autres fabuleux artistes qui nous ont quitté bien trop jeunes (je pense notamment aux membres du "Club des 27"), qui ont marqué leur génération, et dont Brandon Lee faisait inexorablement partie.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 juillet 2009
    Un film culte. Les scéne d'action sont terrible, et à chaque apparition de Draven on reste scotshé à son écran tel des mouche sur un néon, une geule d'enfer ainsi que le look assortit, c'est de la bombe ! Cette atmosphère underground et gothique que l'on ne retrouve dans aucun film, donne tout son charme a ce chef d'oeuvre. Le plus paradoxal dans ce film, c'est que Brandon Lee est réellement mort au moment ou il se fait abattre dans le film (accident du tournage).

    Magnifique hommage à un acteur magnifique, qui à du donné sa vie pour nous permettre de voir cette perle noir de toute beauté.

    R.I.P
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 juillet 2009
    J’avais presque envie de l’assimiler a un rape and revenge. C’est vrai : un couple d’amoureux rockeurs se fait sauvachement tuer et violer. Un an plus tard le loulou revient sous les trais d’un gothique maquillé comme un clown accompagné d’un corbeau. Il va accomplir sa vengeance en tuant tour à tour les vilains méchants. Super stylé, guitare électrique a fond les ballons, ambiance sale, décor somptueux et photos sombre et lugubre à souhait, le film culte de la génération gothique vaut largement sa renommé.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 juillet 2009
    Tout commence par l'assassinat d'un jeune couple par une des nombreuses bandes de la ville où se déroule l'histoire. Un an plus tard un corbeau doué de pouvoir surnaturels redonne la vie au jeune homme et le rend immortel pour lui donner la chance de se venger de ces connards qui ont gaché sa vie, ainsi que torturé et violé sa copine.
    C'est un film d'action fantastique où un type doté de pouvoirs surhumains va se venger de tous les types qui lui ont porté tort ce jour là. Il faut pas chercher plus loin. Seule innovation, son héros plutôt rock and roll car il est maquillé à la KISS et joue de la guitare électrique. Ce n'est pas non plus le héros classique qui est là pour faire le bien, lui il est juste là pour tuer. C'est assez sympa à suivre car on s'attache à ce héros dont on comprend les motivation, une situation, je pense, que bon nombre d'assassiné voudraient vivre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 juillet 2009
    Un très bon film fantastique signé Alex Proyas. Un bon scénario, à la fois gothique, rock, sombre, violent et les scènes d’action sont très réussis. Brando Lee est superbe dans le rôle de The Crow, dommage pour cette acteur, car il est mort pendant le tournage touché par une balle de pistolet prétendument à blanc (rappellent le même destin tragique que Heath Ledger dans Batman, The Dark Knight) et le reste du casting est excellent Rochelle Davis, Ernie Hudson, Michael Wincott, Ling Bai ou encore Sofia Shinas. La musique de Graeme Revell est magnifique, une BO inoubliable et colle parfaitement à ce mélange de violence et le désespoir du personnage.
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