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    Les Galettes de Pont-Aven
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    112 critiques spectateurs

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    Max Rss
    Max Rss

    189 abonnés 1 749 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 mai 2019
    La première fois que j'avais vu ce film, je ne l'avais pas du tout aimé. Mais, j'avais comme l'impression d'être passé à côté de quelque chose. Et l'envie de le revoir existait. Le décès récent de Jean-Pierre Marielle m'a poussé à le revoir plus tôt que prévu. Bon, maintenant que je l'ai revu dans deux meilleures conditions, mon avis va être définitif. De quoi ça cause exactement ? Tout simplement d'un homme étouffant dans sa vie morose et qui, par les joies du sexe, va retrouver un second souffle. Ce qui est bien avec ces "Galettes de Pont-Aven", c'est la liberté de ton. Il fallait avoir bien du cran pour sortir un tel film à une époque où la censure n'avait pas encore été adoucie. D'ailleurs, de nos jours, personne ne se risquerait à sortir un film similaire. On a donc droit à des dialogues très crus. La palme en la matière revenant aux répliques de Bernard Fresson. On a aussi droit à deux séquences cultes voyant Marielle d'abord s'extasier sur le fessier de son amante québécoise et ensuite sur le sexe de Jeanne Goupil. Le problème, c'est qu'en dehors de ces dialogues fleuris et de ces deux séquences, on s'ennuie vraiment. Jean-Pierre Marielle a beau être comme dans un poisson dans l'eau, son abattage ne permet pas de masquer le creux. Un film incontournable de par son côté ouvertement provocateur, mais franchement pénible à regarder.
    cinono1
    cinono1

    290 abonnés 2 044 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2019
    Le rôle le plus célèbre de Jean-Pierre Marielle pour un film beaucoup plus désillusionnée que l'on pourrait penser. Loin de la farce en effet, c'est un portrait de l'homme et son désarroi face à la vie, l'impossibilité du bonheur. En épicurien débonnaire, VRP qui rencontre tout un tas de personnages étranges et qui va tomber dans le labyrinthe de l'amour, Marielle est bien évidemment parfait. Il a su donner de la sensibilité dans ses rôles de salauds, et du trouble dans ses personnages sympathiques. Ici, l'homme qu'il est se fissure à la suite d'un évenement avant de reprendre gout à la vie. Un film finalement très profond, très dense.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    132 abonnés 2 412 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 avril 2019
    Un film à l'érotisme désuet qui distille une philosophie hédonistique de la vie avec un Marielle magistral.
    pierrre s.
    pierrre s.

    415 abonnés 3 292 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 janvier 2024
    Quelques années avant le génial, Comme La Lune, le duo Marielle/ Séria sévissait déjà. Ce film ci n'est pas du même niveau que la seconde oeuvre mais offre tout de même son lot de moments culte.
    Bellerophon44
    Bellerophon44

    3 abonnés 113 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 mars 2019
    Un véritable chef d"oeuvre avec un jean pierre Marielle époustouflant, les dialogues sont crus mais se confondent parfaitement dans le rôle joué par Marielle. Pas de répit dans ce film, on se marre, on rigole bref on passe une bonne scéance détente fait d'humour décapant. A voir et à revoir ! Que du bonheur !
    Pagan29200
    Pagan29200

    1 abonné 18 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 janvier 2019
    Une grosse daube épouvantable qui avait choqué la Bretagne à sa sortie. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'après avoir vu ce film, on est sûr de ne pas avoir appris quelque chose de ce navet, qui se sert, servilement, de quelques images de fesses pour attirer le chaland !
    Pseudofile
    Pseudofile

    8 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 juillet 2018
    Jean-Pierre Marielle nous rejoue son emblématique rôle d'hommes à femmes et d'obsédé sexuel, dans lequel il excelle et que je trouve lui va bien. Mais après il faut que l'histoire tienne la route. et pour le coup, dans le cas qui nous occupe, si le film est culte, j'ai du mal à comprendre pourquoi Le film sombre dans le n'importe quoi en seconde partie lorsque fou de douleur de ne point retrouver Angela, qui n'est pour lui pourtant qu'une aventure de passage come une autre; 'il devient alcoolique et se clochardise - bien que logeant à l'hôtel, On sombre dans le ridicule par moment
    Eselce
    Eselce

    1 368 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 juillet 2017
    Pas trop aimé. L'histoire d'un vendeur de parapluie qui se tape des femmes et en peint le fessier à ses heures perdues. Des dialogues et des scènes érotiques typiques des années 70 et sans grand intérêt. Ennuyeux, je m'attendais à voir davantage de scènes et de discours liés à la vente. Rien, que de l'extase du personnage sur les rondeurs féminines avec quelques "compliments" bien laids !
    Sonia K.
    Sonia K.

    18 abonnés 157 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 mai 2017
    Un bon gros navet indigeste à souhait, plein de fesses comme le mauvais cinéma sait en montrer. Le pauvre Marielle se débat laborieusement avec son rôle d' obsédé alcoolique. La fin tourne à la pédophilie puisque le "héros" reluque et "pelote" une gamine. Puant, malsain et barbant à vomir. "Comme la lune", film tournant autour du sexe, du même réalisateur et avec le même Marielle, est bien plus léger, plus amusant et moins malsain que "les galettes de Pont-Aven".
    Roub E.
    Roub E.

    928 abonnés 4 969 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 septembre 2016
    C'est formidablement Rabelaisien. Jean Pierre Marielle joue un triste représentant en parapluie coincé dans une vie morne ou il doit débiter des âneries la journée pour vendre sa camelote avant de retrouver le soir une famille qui l'insupporte par son conformisme; alors que lui rêve de peinture et de fesses de femme. À la suite d'un accident de voiture il va se retrouver coincé dans un village breton et va faire voler en éclat cette vie qui l'étouffe. Comment ne pas être fan de Marielle après avoir vu ce film? Présent à l'écran d'un bout à l'autre, on a tour à tour envie de le secouer et de ne plus vivre cette vie qui l'ennuie, puis on a envie de se perdre avec lui dans ses beuveries, de parler peinture et fesses. Il est absolument extraordinaire et sa gouaille se confond avec le ton du film et le sublime. Une ode à la liberté, au bon vivre, très gauloise, jouissive à regarder et qui fait du bien au moral.
    alouet29
    alouet29

    75 abonnés 1 514 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 septembre 2016
    Malgré les pointures (Piéplu, Marielle, Lavanant, Fresson, et les autres), le film ne décolle pas vraiment et l'on s'y ennuie vite. Le scénario bâclé, les dialogues indigestes et les scènes frôlant la vulgarité laissent un goût plutôt amer.
    Cthulhu Mantis
    Cthulhu Mantis

    24 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 janvier 2016
    Un énorme Jean-Pierre Marielle qui est très en forme, enthousiasme, déchaîner et à mourir de rire. On sent bien l'érotisme qui se dégage et bien amené des années 70 comme c’était dans "Les Valseuses". Henri Serin n'est qu'un petit commerçant de voyage recherchant de l'oxygène dans une société et dans son ménage qui l'étouffe, il cherche sa voie et s’octroie des moments de bonheurs dans quelques fresque amoureuses. Plein d'originalité et poétique, on ne tombe pas dans le graveleux ni le voyeurisme et la vulgarité. Les films de Séria sont quand même au dessus que des pornos de Max Pecas ou de Dorcel.

    Film et rôle de culte de Jean-Pierre Marielle. Les galettes du Pont-Aven sont à déguster sans modération.
    ferdinand75
    ferdinand75

    533 abonnés 3 825 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2016
    Un très joli film , dans la veine d’un certain cinéma naturaliste des années 70, tel Pascal Thomas, ou du Yves Robert d’ « Alexandre le Bienheureux » . Joel Seria est d’un veine un peu plus libertaire, et connu un gros succès sur une dizaine d’année avec sa trilogie très libre , doucement contestataire , comprenant aussi : « Charlie et ses deux nénettes » et « Comme la lune » Marielle est ici un voyageur de commerce représentant en parapluies, peintre amateur à ses heures perdues , qui va tout laisser tomber (femme et enfants) après avoir rencontrer une belle canadienne très libérée. Il part avec elle en Bretagne, en bord de mer. Il est fou de son corps et tout particulièrement de ses fesses. Il y a alors une scène d’anthologie de Marielle qui se pâme devant le derrière de la JF : « Mon dieu que c’est beau , Bo…de M… , c’est magnifique.. ». C’est la version populaire et grivoise du Bardot du « Mépris » et du cultissime « Et mes fesses, elles sont belles.. tu les aimes » . C’est presque aussi fort , dans un registre diffèrent. Marielle est formidable . Mais la belle s’éclipse et l’abandonne , trop libre , et Marielle entame une déprime terrible. Seria nous donne une vison si vraie , si naturaliste de la France profonde de 1974, . C’est touchant de revoir cela en 2016. Les vieux bistrots de campagne, le curé de village, (magnifiquement interprété par Romain Bouteille, figure du comique de ces années là) ) .. Quelques personnages incroyables, sortis de nulle part, truculents et surréalistes : la prostituée bigoudène (formidable Dominique Lavanant),l Le prêcheur fou halluciné interprété par Claude Piéplu que l’on revoit avec plaisir, passé à la postérité pour sa voix dans les « Shadoks » Il y a aussi Andrea Ferréol, magnifique dans son rôle de commerçante adultère. Bresson dans un rôle de faux artiste peintre pervers et libertin. Finalement après beaucoup de beuveries, Marielle retrouvera l’amour grâce à la jeune et vierge Jeanne Goupil ( déjà présente dans "Charlie et ses deux nénettes) . Il tombera encore en extase devant son beau corps et sa petite culotte virginale, ce qui nous vaudra encore une scène d’anthologie. Le film doit beaucoup au talent Jean Pierre Marielle ( sa scène de déprime au bord de la falaise , essayant de peindre, puis se fracassant le cadre du tableau sur la tête, en pleine tempête, est énorme, un monument, ) . Le duo qu'il forme avec Goupil pour chanter "kénavo" est aussi très émouvant et culte.Marielle est formidable et tient là un de ses plus beaux rôles, lâché à son talent , complètement libre, , truculent et salvateur . Un beau moment de cinéma, témoignage de la liberté de ton des années 70.
    soulman
    soulman

    83 abonnés 1 199 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 juin 2015
    Une pochade grasse et vulgaire, sans la dimension libertaire de "Calmos", tourné par Blier l'année suivante avec le même Marielle. On a beau admirer la plastique des différentes muses de ce peintre du dimanche (admirable Andréa Ferréol), on se lasse vite de ce personnage tiède, obsédé par les postérieurs féminins.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 mai 2015
    Outre un JP Marielles impérial, je retiens de ce film la prestation, et la prestance, de Bernard Fresson (Emile) dont le rôle est particulièrement "gras" ... sa présence, son phrasé, la gestuelle dans ses interfaces avec Henri (JPM) sont captivantes je trouve.
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