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Un visiteur
5,0
Publiée le 17 décembre 2006
Franchement que du bonheur un jeu d'acteur à la hauteur de leur hauteur physique!!! J'ai été boulversé par l'attaque des cul-de-jattes! vraiment phénomenal! On comprend qu'à l'époque des midnight movies les salles sentaient plus la marijuana que le produit pour chiotte. Mais au final le final est sympa, à classer avec turkish starwars, starcrash et autres eraserhead qui pour certains malgré leur médiocrité n'en sont pas moins des films cultes! au final n'allez pas le voir serieusement sachez que cet un navet et il passera beaucoup mieux
Oh que c'est beau de revoir ce chef-d'oeuvre sur grand écran après tellement d'années....très belle restauration de la copie 35mm...film tellment difficile à décrire...oui pour simplifier c'est un spaghetti "eastern" mystique...mais c'est 1000 fois plus...du pur plaisir pour les yeux, pour le corp et pour l'âme. El Topo changera votre vie ou tout au moins votre façon de voir le monde. Et après 35 ans pas une seule ride ! Bravo Jodo !
Alors là non, vraiment, je ne comprends pas : comment un film aussi médiocre a t-il pu être élevé au rang des films cultes ? Ca part dans tous les sens, c'est pénible à regarder, c'est du lourd...Ca me laisse perplexe tout de même. J'ai découvert le film de Jodorowski par le biais du documentaire Midnight Movies ( El Topo fut projeté dans les salles américaines aux séances de minuit dans les années 1970 ), je m'attendais à voir un film unique...Et en effet, il demeure unique de par sa vulgarité et sa violence gratuite. On parle de western ésotérique, il semble en effet que le film de Jodorowski fait un incursion dans le surréel et la dimension religieuse peut apparaître évidente, mais cela ne fait qu'alourdir le film. L'ouverture semblait prometteuse : un homme tout vêtu de noir accompagne son fils vers l'âge adulte ( alors qu'il n'a que sept ans ) et lui demande d'enterrer dans le sable la photo de sa mère et son premier jouet. Et puis le film s'enlise dans le sang, les coups de pétard et les allusions sexuelles. Une faute de grammaire cinématographique...