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    Sorcerer
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    cinono1
    cinono1

    300 abonnés 2 054 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2023
    Grand film de mise en scène de William Frienklin, pour l’histoire et surtout les personnages c’est autre chose. 0n comprend que le film ait sévèrement « bidé » lors de sa sortie, les hommes semblent être confrontés à une noirceur extrème, entre vengeance, corruption, et trafics divers. Aucune emphathie ou identification possible avec ces hommes en fuite, déchus… Cette vision de Frienklin peut se justifier lorsqu’il filme des policiers, des marginaux, moins quand il filme des hommes partis se réfugier pour différentes raisons en Amérique latine. Pas une once de joie à se mettre sous la dent avec cette vision terriblement nihiliste mais de grandes scènes en revanche. La mise en scène de Frielkin est belle, précise, prise sur le vif avec ce grain d’image qui n’appartient qu’aux années 70. Il tente quelques visions et échappées métaphoriques d’un bel effet, mais perdu au milieu d’un contenu désespérant et noir, duquel on ne pourrait extraire que cette danse entre Roy Scheider et une femme un peu fatiguée, sorti de ces favelas.
    Raph
    Raph

    2 abonnés 143 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 octobre 2023
    "Les Sentiers de la Perdition !"

    Quand William Friedkin reprend à son compte “Le Salaire de la Peur”, il n’est pas question d’en faire un vulgaire remake sans âme. Le réalisateur de “French Connection” et de “L’Exorciste”, veut rendre un vibrant hommage au grand Henri Georges Clouzot au travers d’une relecture à la fois enragée et sauvage, une vision typique d’un certain cinéma jusqu’au-boutiste, nihiliste et décomplexé des années 70. Intitulé “The Sorcerer”(le nom de l'un des camions du convoi), à l’international, rebaptisé chez nous “Le Convoi de la Peur” - un titre plus opportuniste collant au plus près du matériau d’origine - Friedkin nous renvoie au décorum insalubre et sordide d’une certaine Amérique Latine - celle du roman de Georges Arnaud - au moment où l’on retrouve nos trois (anti)héros, ou plutôt nos trois fugitifs.
    Il y a tout d’abord Victor Manzon devenu Serrano (Bruno Cremer), vétéran de la Seconde Guerre mondiale et banquier fraudeur à Paris, Jackie Scanlon alias Juan Dominguez (Roy Scheider), chauffeur pour des gangsters new-yorkais ayant tué son patron dans un accident de la route et enfin, Kassem rebaptisé Martinez (Amidou), terroriste palestinien avec le Mossad à ses trousses. Venus se faire oublier quelque temps dans cet endroit reculé du monde, leur salut ne se fera qu’au prix du danger. Par l’intermédiaire d’un convoi de deux camions chargés de nitroglycérine à travers la jungle amazonienne, notre trio - ayant réussi la sélection, bientôt rejoint par Nilo (Francisco Rabal), un mystérieux tueur - prend la tangente ! Pour Friedkin - qui a pris tout le temps nécessaire pour nous présenter les protagonistes et les enjeux dans une première heure introductive - va dans une deuxième partie hallucinante, faire de“The Sorcerer”, une expérience cinématographique hautement anxiogène ! Au moment où le convoi démarre, Friedkin envoie ses héros - et du même coup, le spectateur - aux cœurs des ténèbres. Pris au piège par une nature sauvage, implacable, qui déchaîne toute sa fureur - pluie, vent, boue, ravins, chutes d’arbres - les camions avancent inexorablement. Au volant, les équipages sont à bout de nerf. Toute cette tension atteindra son paroxysme lors de l’éprouvante scène de traversée d’un pont surplombant un torrent charriant eau et boue. Ce moment de cinéma où le temps est suspendu, n’a plus rien de réel, le convoi semble évoluer dans une autre dimension, un monde parallèle dans lequel, la géométrie des corps et des objets n’a plus court. Tels des êtres possédés (à l’instar de la jeune Regan de “L’Exorciste”), les camions se contorsionnent, comme lors d’un sabbat - la position horizontale étant comme proscrite - la chorégraphie arrive bientôt au point de rupture ! Accompagné par la partition musicale du groupe Tangerine Dream, “The Sorcerer”, après le calme relatif de la première partie, va alors basculer en une véritable aventure mythologique, en une épopée désespérée, lorsque le convoi franchira le Styx !
    Vador Mir
    Vador Mir

    257 abonnés 784 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 août 2023
    Remake très bien fait du salaire de la peur qui ne surpasse pas l'original, mais qui reste de très bonne facture.
    La classe de Friedkin et le suspens du scénario font le job. Le principe est un parfait exemple de tension au cinéma.
    pfloyd1
    pfloyd1

    128 abonnés 2 108 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2023
    Malgré son age, Le convoi de la peur n'a pas perdu de son intensité à l’écran. Très bien réalisé, on ne peut que se plonger allégrement avec ces quatre chauffeurs de l’extrême, prêts à tout les dangers pour recommencer une nouvelle vie, dans la jungle, sur des sentiers improbables, cette aventure impossible est une prouesse à elle seule. Les acteurs ont dû réellement en baver, ça sent le vraie et l'on perçoit l'exigence du réalisateur à filmer ses situations catastrophiques extrêmes. Dans les 30 premières minutes, on se demande même si l'on ne s'est pas trompé de film, le contraste saisissant avec les beaux quartiers de Paris et Bruno Cremer sont à des années lumières de ce que l'on découvrira ensuite. La photographie est superbe. Roy Sheider est toujours aussi charismatique à l’écran, il enchaîne après Les dents de la Mer (2 ans plus tôt) ce film qui n'a malheureusement pas eu le succès attendu.
    VOSTTL
    VOSTTL

    94 abonnés 1 934 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 février 2023
    Enfin vu ce film qualifié de maudit en raison des exigences de son metteur en scène, de la durée du tournage, de ses péripéties dramatiques et de son échec au box-office.
    A ce qu’il paraît « Sorcerer » n’est pas un remake du « Salaire de la Peur » d'Henri Georges Clouzot, une inspiration car les personnages de « Sorcerer » n’ont rien à voir avec « Le Salaire de la Peur ».
    On peut toujours jouer sur les mots ou les nuances, « Le convoi de la peur » tout en proposant une lecture personnelle de William Friedkin a toutes les apparences, tous les contours du « Salaire de la Peur ».
    A bon pinailleur, salut !

    Il reste que quatre hommes d’horizons différents doivent transporter de la nitroglycérine dans des camions usés sur des routes impossibles à travers une jungle récalcitrante.
    Les chauffeurs sont constitués en binômes : l’américain Scanlon (Roy Sheider) avec l’espagnol Nilo (Francisco Rabal) en tête du convoi ; le français Serrano (Bruno Cremer) et le palestinien Kassem (Amidou) à l’arrière.
    Comme on le remarque, ces hommes viennent de pays différents et sont des voyous réunis dans un village perdu et misérable d’Amérique Centrale.
    Village qui n’est rien d’autre qu’une sorte de grande prison à ciel ouvert. En effet, à défaut d’être vraiment emprisonnés entre quatre murs, William Friedkin préfère jouer sur la symbolique. Et c’est une des bonnes idées du film.
    Cette idée fait partie de la scène d’exposition qui fait suite aux présentations des protagonistes.
    Et oui, avant, le metteur en scène nous brosse le portrait des quatre hommes, un par un, chacun dans leur pays d’origine.
    Ainsi, dans le désordre, spoiler: l’américain est chauffeur d’une bande de bras cassés qui a eu la mauvaise idée de braquer un mafieux qui le recherche ; l’espagnol est un tueur à gage recherché ; le palestinien fuit après avoir fait exploser une bombe dans le quartier juif de Jérusalem ; et le frenchie baigne dans la malversation financière et laisse derrière lui la honte et le déshonneur à sa famille !

    Scènes d’exposition qui durent près d’une heure !
    Et pourtant aussi étrange que cela puisse paraître, je n’ai pas trouvé le temps long tellement que c’était dense.
    Cependant, je me suis tout de même posé la question suivante : « Quand est-ce qu’ils partent ? »

    Evidemment, la scène du pont est incroyable, mais je retiendrai particulièrement celle de Bruno Cremer et d’Amidou.
    Une autre bonne idée du film : soudain, apparaît une gerbe de branches entremêlée qui vient heurter le pont suspendu et plaquer Serrano contre son camion. Cette gerbe qui apparaît subitement a tous les accents du film d’horreur en ce qui me concerne. Elle est imposante comme un monstre qui vient broyer le corps de Serrano. On ne la voit pas venir, le metteur en scène s’est bien gardé de nous dévoiler les environs, le spectateur, soudainement surpris, est comme les deux personnages, obnubilé à faire passer le camion sur un pont suspendu lequel est déjà éprouvé par le premier passage conduit par Scanlon et la tempête de pluie.
    Autre bonne idée : la calandre d’un des camions représente le démon Pazuzu.
    Ce n’est pas anodin ou un effet de style, cette représentation nous dit que le convoi est déjà marqué sous le sceau du maléfice (tiens tiens, un reste de « l’Exorciste » ?).
    A cela s’ajoutent deux autres personnages terrifiants : la jungle et la musique de Tangerine Dream participent activement à donner au récit sa dimension horreur.

    « Sorcerer » est un film intense au rythme soutenu.
    Je peux comprendre que la première heure peut rebuter certains. Une première heure pourtant indispensable et maîtrisée par William Friedkin. Ce n’est sans doute pas objectif, un autre metteur en scène n’aurait pas réussi ce pari.
    Ici, le spectateur que je suis a ressenti le poids de la chaleur, de l’humidité, des solitudes, des regards perdus ou curieux, des frustrations, des colères sourdes, de l’attente, tous ces comportements liés à l’enfermement dans une prison.
    Comme ces prisonniers de ce village pourri d’Amérique Centrale, le spectateur n’a qu’une envie : déguerpir au plus vite !
    Comment ?
    Enfin, le départ.
    Le voyage commence, et contre toute attente, l’intensité retombe légèrement ; je sais pertinemment que le voyage sera ponctué d’obstacles, que les routes seront des pièges pour ces deux camions parce que je suis conditionné par « Le Salaire de la Peur » ! Je m’apprête à compter les points, si je puis dire.
    Cependant, le metteur en scène arrive à me surprendre dans la soudaineté de trois scènes dont celle du pont avec Cremer et Amidou.

    Apparemment, William Friedkin n’aurait fait aucune concession, il a eu ce luxe de prendre son temps.
    Tant mieux ? Tant pis ?
    William Friedkin aurait déclaré : « Film dont je ne toucherai pas une seule image. ».
    Cela signifie que le metteur en scène n’a aucun regret, aucun reproche à se faire, il n’est pas responsable de l’échec.
    Son seul regret aurait été de refuser les conditions de Steve McQueen. L’acteur aurait permis au public de suivre.
    William Friedkin n’a pas eu de chance, son film a eu le tort d’arriver à un mauvais moment. C’est tout.

    Ce convoi « Sorcier » n’est rien d’autre qu’une chronique d’une mort annoncée.
    Mort qui ne concerne pas seulement les personnages du film mais le film lui-même ! La vision de William Friedkin s’est avérée aussi explosive que la nitroglycérine malmenée par les camions.
    A voir en V.O si possible.
    Roub E.
    Roub E.

    948 abonnés 4 988 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 février 2023
    La version de Clouzot du salaire de la peur est un des grands chefs d’œuvre du cinéma, ce remake de Friedkin, où plutôt cette nouvelle adaptation l’est tout autant. Cette version va différer dans son introduction en nous montrant comment les divers personnages en sont arrivés la. Fuyant chacun quelque chose, ils se retrouvent dans une forme de prison à ciel ouvert, libres, mais ne pouvant s’échapper. Sorcerer est un film constamment sous tension, oppressant, nous montrant une nature hostile ou la mort ne tient qu’à un fil ou un glissement. Formidablement mis en scène, il est une des œuvres marquantes d’un cinéaste alors au sommet de son art.
    DanDan
    DanDan

    83 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2023
    Bon film de William Friedkin qui est injustement boudé et méconnu..peut être du fait d'avoir tenter à sa manière d'avoir fait un remake du "salaire de la peur" de Clousot. Mais ce n'est pas vraiment un remake mais une autre version cette fois dans un pays d'Amérique latine (tourné en République dominicaine vraiment). Les acteurs sont sensationnels surtout Roy Scheider (les dents de la mer, la french connection) initialement rôle pour Steve McQueen et ça se sent..Bruno Crémer (L'alpagueur, Maigret, Section 317) initialement rôle pour Lino Ventura...
    Devenu culte de part l'histoire et la scène du pont..ce film a le mérite de parler de la destiné et différent choix dans la vie...à découvrir absolument une bonne trouvaille
    Starwealther
    Starwealther

    74 abonnés 1 198 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 octobre 2022
    Remake du "Salaire de la peur" par William Friedkin qui n'arrive pas à la cheville de l'original. Encore plus fortement que dans le film original, "Sorcerer" met énormément de temps à se mettre en route, l'histoire peine vraiment à se mettre en place. De plus, la psychologie des personnages n'est vraiment pas creusé, Fridekin n'a misé que sur l'action. On ne tremble pas du tout pour des personnages dont on ne connaît rien et auxquels on ne s'attache pas. Le réalisatrice fait dans l'exagération et nous assomme de bruits incessants de moteurs qui pèsent vraiment à la longue. Je déconseille fortement le visionnage de "Sorcerer" qui est sans intérêt, allez plutôt voir le film d'Henri-Georges qui était bien mieux réussi.
    Patrick Bohbot
    Patrick Bohbot

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 août 2022
    Je vais voir pour la première fois ce film mais c me donnera une idée mais c est dingue de penser Steve MC Queen et lino venturi prévus en premie ça aurait donné quelque chose
    Olivier Gallais
    Olivier Gallais

    7 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 juin 2022
    Très grosse déception !!! Et dire que le film est dédié à Clouzot, le pauvre doit se retourner dans sa tombe. Le film ne commence qu'au bout d'une heure, avant l'histoire est très confuse. Après, pas d'empathie pour les personnages et question suspense aucune sensation. J'adore Friedkin mais là il s'est totalement planté
    mickael l.
    mickael l.

    42 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 avril 2022
    Remake du " salaire de la peur " , je m'attendais à un remake banal , mais là je suis tombé de haut tellement film est puissant. Les images sont prises à merveille tout les points de vue au détail pret , le passage du pont est royal . Rarement un film de fin des années 70 à été aussi bien réalisé . Roy Sheider , Bruno Crémer et Amidou sont magistral voir exceptionnel. Vraiment du très grand cinéma. Je lui met pas 5 pour le remake , mais il le mérite tellement .
    Sosa
    Sosa

    9 abonnés 370 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 octobre 2021
    Je m'attendais à ne pas aimer le film car le film ne commence qu'à la moitié de celui ci.
    Friedkin, célèbre notamment pour "l'exorciste" premier du nom nous a donc eu.
    La seconde partie, là où commence le film m'as surpris départ son dynamisme soutenu.
    Le convois de l'extrême, le film est donc bon, on se prend par les sentiments pour les trois quart de nos compagnons de voyage, oui un des promeneur m'a déplu cependant j'ai oublié lequel est ce.
    SICK
    SICK

    1 abonné 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 juin 2020
    Après les génialissimes "The French Connection" et "The Exorcist'', William Friedkin revient avec un nouveau chef d'oeuvre du cinéma. Étant l'un des réalisateurs les plus respectés du Hollywood des années '70, Friedkin reçoit une liberté totale pour son prochain long métrage de 1977 baptisé "Sorcerer". Ce film brillant est un "remake" du chef d'oeuvre Français "Le Salaire de la Peur" d'Henri-Georges Clouzot mais, "Sorcerer" se démarque avec une toute nouvelle approche tout en étant très fidèle à son récit de base. Le film raconte la rencontre de quatre inconnus qui ont quitté leur pays respectif à cause de problèmes multiples et se retrouvent dans un village miteux de la République Dominicaine. À la suite de l'explosion d'un puits de pétrole, les quatre protagonistes sont choisis pour transporter, à l'aide de deux camions à travers la jungle, des charges explosives qui permettront d'éteindre l'incendie. Le début du récit peut paraître lent pour certain car on y prend le temps de nous imprégner des personnages avant de vivre leur aventure cauchemardesque et qui est l'une des caractéristiques particulières et très réussies du cinéma Américain des années '70. Ce nouveau film de Friedkin est une symbolique de l'enfer où l'on peut voir très souvent la forme de Pazuzu qui est le démon représenté dans "The Exorcist" et ce choix artistique n'a pas été une sorte de malédiction à ce film sale? Car, le film a été une catastrophe totale au box-office lors de sa sortie et sera le premier échec du réalisateur, principalement dû à la sortie de Star Wars une semaine auparavant. Le long métrage est aussi considéré maudit à cause de son tournage infernal en Amérique du Sud qui a duré un an au lieu de 3 mois comme prévu. On peut se rappeler les fameuses scènes du pont qui ont été une des plus grandes épreuves à filmer dans le cinéma Hollywoodien. Ce tournage pénible peut certainement rappeler celui de "Apocalypse Now" de Francis Ford Coppola, un autre chef d'oeuvre des années '70 et qui a beaucoup de choses en commun avec ce dernier Friedkin. Typique de cette décennie, ce film est extrêmement sombre et anxiogène qui ne laisse aucun moment de paix et présents pour déranger le plus profond de nos âmes. Depuis sa sortie ratée, "Sorcerer" a été élevé au chapitre du film culte et aujourd'hui considéré un chef d'oeuvre absolu dans le cinéma Américain comme de nombreux films des sombres années '70. Une expérience inoubliable qu'il faut revivre plusieurs fois dans sa vie et de ce fait, indispensable à tous les amoureux du cinéma. 5/5
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 14 avril 2020
    Remake du "Salaire de la Peur", Sorcerer est une oeuvre assez impressionnante sur plusieurs aspects : outre ses décors très travaillés, fourmillant de vie et de détails, il contient des scènes d'action assez impressionnantes à une époque où les trucages n'étaient forcément pas monnaie courante. L'équipe technique du film a donc fait un travail phénoménal pour créer les passages les plus saisissants du film (la traversée du pont, etc...), et pour retranscrire une ambiance poisseuse de tout premier ordre. Sorcerer a malgré tout vieilli, sur le plan visuel, mais également sur celui de la narration, quelque peu lapidaire. Le casting aurait peut-être pu également être un peu plus costaud (notamment coté US) pour se montrer à la hauteur de l' ambition du projet. En l'état, son visionnage reste malgré tout assez plaisant.
    bobbyfun
    bobbyfun

    40 abonnés 1 246 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2020
    Ce long convoi sur le chemin de la rédemption se mêle à un haletant suspense physique et psychologique, stressant et brillant à la fois.
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