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    Sorcerer
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    S M.
    S M.

    34 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 août 2013
    L'un des meilleurs films de William Friedkin. Il s'agit d'un remake (Un excellent remake comme on ne sait malheureusement plus en faire aujourd'hui) du "Salaire de la peur" de Clouzot. Curieusement méconnu, ce film est un bijou d'aventure, d'action et de suspense. Les acteurs sont tous excellents et inoubliables (Roy Scheider, Bruno Cremer et Francisco Rabal).
    Romain Saint-prix
    Romain Saint-prix

    30 abonnés 215 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 février 2024
    Long, chiant et ennuyant. Je n'ai ressenti aucun intérêt pour ce film. Clairement je n'étais pas la cible. C'est lent, le scénario n'est pas du tout intéressant. C'est bien tourné d'accord mais bon, ça ne suffit pas pour faire un bon film. Bref, pas du tout ma came.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    137 abonnés 2 418 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 juillet 2017
    Une trop longue première partie, celle de l'exposition des personnages (dont on se fout) et de l'intrigue, par contre la traversée de la jungle est intense.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 août 2010
    Un film d'une noirceur abyssale avec des acteurs au sommet et qui ne sont plus Roy Scheider, Bruno Cremer, Francisco Rabal. L'entrée en matière pour chaque personnage est bien amené, Friedkin n'ayant pas son pareil pour filmer chaque région de la planète! 2 scènes d'anthologie: le passage des camions sur le pont pourri en pleine intempérie et l'explosion du tronc d'arbre. A quand une sortie collector en bluray avec commentaire audio du sieur William?j'ai hâte!
    selenie
    selenie

    6 226 abonnés 6 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2017
    On ne peut s'empêcher de comparer avec la version de Clouzot. Ce dernier a signé un Film Noir psychologique qui se focalise essentiellement sur le convoi alors que Friedkin signe un film d'aventure tragique qui prend son temps. Le convoi lui-même ne dure pas plus de la moitié du film et s'arrête à un seul vrai passage sous tension, le fameux pont de cordes. On reste donc un peu sur notre faim. La mission de transport devient secondaire et se focalise avant tout sur la solitude de ces hommes qui cherche non pas une seconde chance, mais une sorte de rédemption morale.
    Site : Selenie
    Yetcha
    Yetcha

    876 abonnés 4 386 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 février 2016
    Et bien malgré l'encensement de ce film, je n'ai pas adhéré du tout. C'est très très long à se mettre en place, on attend le départ pendant une grosse heure. Bien entendu il y a cette fameuse scène du passage du pont, mais finalement, en dehors de ça, c'est assez plat. J'ai de très loin préféré la version originale "Le salaire de la peur" de Clouzot, oh que oui! De plus, la musique est totalement en décalage avec le contenu. Ah la la, je suis vraiment désolé car ce film est considéré comme une oeuvre majeure mais pour moi ce n'est qu'un film très moyen.
    cinono1
    cinono1

    300 abonnés 2 054 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2023
    Grand film de mise en scène de William Frienklin, pour l’histoire et surtout les personnages c’est autre chose. 0n comprend que le film ait sévèrement « bidé » lors de sa sortie, les hommes semblent être confrontés à une noirceur extrème, entre vengeance, corruption, et trafics divers. Aucune emphathie ou identification possible avec ces hommes en fuite, déchus… Cette vision de Frienklin peut se justifier lorsqu’il filme des policiers, des marginaux, moins quand il filme des hommes partis se réfugier pour différentes raisons en Amérique latine. Pas une once de joie à se mettre sous la dent avec cette vision terriblement nihiliste mais de grandes scènes en revanche. La mise en scène de Frielkin est belle, précise, prise sur le vif avec ce grain d’image qui n’appartient qu’aux années 70. Il tente quelques visions et échappées métaphoriques d’un bel effet, mais perdu au milieu d’un contenu désespérant et noir, duquel on ne pourrait extraire que cette danse entre Roy Scheider et une femme un peu fatiguée, sorti de ces favelas.
    VOSTTL
    VOSTTL

    94 abonnés 1 934 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 février 2023
    Enfin vu ce film qualifié de maudit en raison des exigences de son metteur en scène, de la durée du tournage, de ses péripéties dramatiques et de son échec au box-office.
    A ce qu’il paraît « Sorcerer » n’est pas un remake du « Salaire de la Peur » d'Henri Georges Clouzot, une inspiration car les personnages de « Sorcerer » n’ont rien à voir avec « Le Salaire de la Peur ».
    On peut toujours jouer sur les mots ou les nuances, « Le convoi de la peur » tout en proposant une lecture personnelle de William Friedkin a toutes les apparences, tous les contours du « Salaire de la Peur ».
    A bon pinailleur, salut !

    Il reste que quatre hommes d’horizons différents doivent transporter de la nitroglycérine dans des camions usés sur des routes impossibles à travers une jungle récalcitrante.
    Les chauffeurs sont constitués en binômes : l’américain Scanlon (Roy Sheider) avec l’espagnol Nilo (Francisco Rabal) en tête du convoi ; le français Serrano (Bruno Cremer) et le palestinien Kassem (Amidou) à l’arrière.
    Comme on le remarque, ces hommes viennent de pays différents et sont des voyous réunis dans un village perdu et misérable d’Amérique Centrale.
    Village qui n’est rien d’autre qu’une sorte de grande prison à ciel ouvert. En effet, à défaut d’être vraiment emprisonnés entre quatre murs, William Friedkin préfère jouer sur la symbolique. Et c’est une des bonnes idées du film.
    Cette idée fait partie de la scène d’exposition qui fait suite aux présentations des protagonistes.
    Et oui, avant, le metteur en scène nous brosse le portrait des quatre hommes, un par un, chacun dans leur pays d’origine.
    Ainsi, dans le désordre, spoiler: l’américain est chauffeur d’une bande de bras cassés qui a eu la mauvaise idée de braquer un mafieux qui le recherche ; l’espagnol est un tueur à gage recherché ; le palestinien fuit après avoir fait exploser une bombe dans le quartier juif de Jérusalem ; et le frenchie baigne dans la malversation financière et laisse derrière lui la honte et le déshonneur à sa famille !

    Scènes d’exposition qui durent près d’une heure !
    Et pourtant aussi étrange que cela puisse paraître, je n’ai pas trouvé le temps long tellement que c’était dense.
    Cependant, je me suis tout de même posé la question suivante : « Quand est-ce qu’ils partent ? »

    Evidemment, la scène du pont est incroyable, mais je retiendrai particulièrement celle de Bruno Cremer et d’Amidou.
    Une autre bonne idée du film : soudain, apparaît une gerbe de branches entremêlée qui vient heurter le pont suspendu et plaquer Serrano contre son camion. Cette gerbe qui apparaît subitement a tous les accents du film d’horreur en ce qui me concerne. Elle est imposante comme un monstre qui vient broyer le corps de Serrano. On ne la voit pas venir, le metteur en scène s’est bien gardé de nous dévoiler les environs, le spectateur, soudainement surpris, est comme les deux personnages, obnubilé à faire passer le camion sur un pont suspendu lequel est déjà éprouvé par le premier passage conduit par Scanlon et la tempête de pluie.
    Autre bonne idée : la calandre d’un des camions représente le démon Pazuzu.
    Ce n’est pas anodin ou un effet de style, cette représentation nous dit que le convoi est déjà marqué sous le sceau du maléfice (tiens tiens, un reste de « l’Exorciste » ?).
    A cela s’ajoutent deux autres personnages terrifiants : la jungle et la musique de Tangerine Dream participent activement à donner au récit sa dimension horreur.

    « Sorcerer » est un film intense au rythme soutenu.
    Je peux comprendre que la première heure peut rebuter certains. Une première heure pourtant indispensable et maîtrisée par William Friedkin. Ce n’est sans doute pas objectif, un autre metteur en scène n’aurait pas réussi ce pari.
    Ici, le spectateur que je suis a ressenti le poids de la chaleur, de l’humidité, des solitudes, des regards perdus ou curieux, des frustrations, des colères sourdes, de l’attente, tous ces comportements liés à l’enfermement dans une prison.
    Comme ces prisonniers de ce village pourri d’Amérique Centrale, le spectateur n’a qu’une envie : déguerpir au plus vite !
    Comment ?
    Enfin, le départ.
    Le voyage commence, et contre toute attente, l’intensité retombe légèrement ; je sais pertinemment que le voyage sera ponctué d’obstacles, que les routes seront des pièges pour ces deux camions parce que je suis conditionné par « Le Salaire de la Peur » ! Je m’apprête à compter les points, si je puis dire.
    Cependant, le metteur en scène arrive à me surprendre dans la soudaineté de trois scènes dont celle du pont avec Cremer et Amidou.

    Apparemment, William Friedkin n’aurait fait aucune concession, il a eu ce luxe de prendre son temps.
    Tant mieux ? Tant pis ?
    William Friedkin aurait déclaré : « Film dont je ne toucherai pas une seule image. ».
    Cela signifie que le metteur en scène n’a aucun regret, aucun reproche à se faire, il n’est pas responsable de l’échec.
    Son seul regret aurait été de refuser les conditions de Steve McQueen. L’acteur aurait permis au public de suivre.
    William Friedkin n’a pas eu de chance, son film a eu le tort d’arriver à un mauvais moment. C’est tout.

    Ce convoi « Sorcier » n’est rien d’autre qu’une chronique d’une mort annoncée.
    Mort qui ne concerne pas seulement les personnages du film mais le film lui-même ! La vision de William Friedkin s’est avérée aussi explosive que la nitroglycérine malmenée par les camions.
    A voir en V.O si possible.
    Gregory S
    Gregory S

    26 abonnés 577 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juillet 2024
    Contrairement à beaucoup.de me 'de, c'est le prologue en format quasi documentaire qui m'a le plus plu. Peut-être parce que je connais le salaire de la peur, et que la partie dans les convois m'a moins convaincu, en effet la tension est moindre que dans le film de Clouzot, c'est plus fantastique
    que terrifiant. Mais ce film, notamment par sa musique et son montage,.est une réussite malgré l'échec mondial lors de sa sortie en 77 et 78.
    ronny1
    ronny1

    36 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 novembre 2017
    Remake du SALAIRE DE LA PEUR de Clouzot, SORCERER, fait suffisamment rare pour être signalé, égale l’original. Si Henri-Georges Clouzot n’a jamais respiré dans l’optimisme quant aux rapports humains, que dire de William Friedkin ? La sainte trilogie finance-mafia-politique broie les individus réduits en esclavage (un salaire permettant juste de survivre, mais pas de partir) quelque part dans une jungle sud-américaine devenue naturellement un camp de concentration. Cette usure impitoyable, au physique comme au moral, conduit inévitablement à la mort. Cette vision désespérée de notre monde occidental n’est pas nouvelle chez le cinéaste, SORCERER se plaçant entre FENCH CONNECTION et TO LIVE IN DIE IN LA.
    La mise en place est d’une élégance rare, essentiellement par la grâce de la partie parisienne devant beaucoup à Bruno Cremer. Excellent du début à la fin du film, il donne avec Amadou, un vrai poids au deuxième camion en comparaison du film original (Folco Lulli et Peter Van Yeck). Il est vrai que le premier équipage du SALAIRE DE LA PEUR se composait de Montand et du génial Charles Vanel (prix d’interprétation à Cannes) et celui de SORCERER de l’estimable Roy Scheider (Steve McQueen qui était prévu, se montra trop exigeant) et du non moins estimable Francisco Rabal…
    Les prouesses ici atteignent un point d’orgue avec le passage du pont branlant en pleine tempête. Cette scène spectaculaire est aussi le point d’inflexion, l’épopée entrant dans une spirale tragique sans issue comme le souligne admirablement la partition à la fois angoissante et flamboyante de Tangerine Dream.
    Contrairement à Clouzot, aucune distraction érotique (le décolleté de la sexy Vera Clouzot ou Miss Darling nue sous la douche) vient affadir le propos, au contraire, l’invitation pour une valse de Roy Scheider à une ex beauté, devenue un débris, est aussi touchante que désespérée, seule étincelle vacillante dans ce monde plus noir que nous pouvions le penser, et dont le plan séquence final achève de nous déciller quant à la collusion de la trilogie citée plus haut.
    Roub E.
    Roub E.

    948 abonnés 4 988 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 février 2023
    La version de Clouzot du salaire de la peur est un des grands chefs d’œuvre du cinéma, ce remake de Friedkin, où plutôt cette nouvelle adaptation l’est tout autant. Cette version va différer dans son introduction en nous montrant comment les divers personnages en sont arrivés la. Fuyant chacun quelque chose, ils se retrouvent dans une forme de prison à ciel ouvert, libres, mais ne pouvant s’échapper. Sorcerer est un film constamment sous tension, oppressant, nous montrant une nature hostile ou la mort ne tient qu’à un fil ou un glissement. Formidablement mis en scène, il est une des œuvres marquantes d’un cinéaste alors au sommet de son art.
    Eselce
    Eselce

    1 389 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 septembre 2016
    Nettement moins bien que l'original, ce remake du "Salaire de la peur" est tout de même beaucoup plus violent et vulgaire. Il reprend quelques scènes et plans, en ajoute avec plus ou moins de succès... Personnellement, je n'ai pas accroché aux acteurs dont les personnages n'offrent pas l'empathie de l'original. La BO m'a brisé les oreilles, elle agace beaucoup plus qu'elle ne donne le ton. La scène du pont est du grand n'importe quoi, la nitro aurait du péter, vu les secousses... Et avec sa machette, Roy Schneider en fait un peu trop... Je salue tout de même la restauration du film qui donne l'impression d'avoir été tourné dans la décennie 2010. Les 20 dernières minutes sont, pour moi, les plus distrayantes. Ce remake aura au moins le mérite d'en montrer davantage sur les péripéties de l'original spoiler: Le déclenchement terroriste de l'incendie du puits de pétrole et le pourquoi de l'explosion du camion de tête
    mais ne lui arrive pas à la cheville, surtout dans son final.
    Alain D.
    Alain D.

    584 abonnés 3 280 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 octobre 2024
    Quatre aventuriers conduisant deux camion avec des caisses de nitroglycérine comme chargement destiné à éteindre un puits de pétrole en feu. Cela ne vous rappelle rien ? Un remake du "Salaire De La Peur" transplanté dans la jungle sud-américaine. Rien donc de surprenant, cependant William Friedkin nous offre des scènes spectaculaires et un casting royal avec notamment, de superbes Bruno Cremer et Roy Scheider.
    this is my movies
    this is my movies

    699 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 décembre 2015
    (...) Tout ce que vous voyez à l'écran est bien réel. Les camions tombèrent plusieurs fois dans la rivière, ils furent à chaque fois remontés, remaquillés et replacés jusqu'à ce que le réalisateur obtienne ce qu'il veut. Très pointilleux, Friedkin était un véritable tyran sur le tournage, renvoyant un technicien ayant fait foiré une prise ou bien poussant Scheider dans ses retranchements. L'acteur est d'ailleurs au top dans le film, signant une performance éblouissante et véritablement marquante. Il faut voir son regard perdu dans les dernières séquences, on peut dire qu'il n'a jamais été aussi bon, ni avant, ni après. Le reste du casting est tout aussi incroyable, Bruno Cremer en tête. A l'époque, c'était un pur acteur de cinéma et non pas l'éternel interprète de Maigret pour France 2. Sa performance est assez épatante, l'acteur déployant tout son charisme, sa manière d'habiter le cadre, son débit presque trop lent, trop tranquille mais aussi une belle intensité dans des scènes clés.(...) Mais un tel film est-il bon uniquement grâce à ses acteurs ou ses conditions de tournage épiques ? Bien sûr que non. (...) Cinéaste du chaos, Friedkin nous trousse quelques séquences d'émeutes assez saisissantes tandis que certains plans sont d'une beauté visuelle à tomber : le départ des camions sous la pluie, l’explosion de la plateforme, le retour nocturne de la dernière caisse et j'en passe. Son montage propose aussi une plongée mentale dans la psyché du héros, avec ses paysages qui défilent au milieu de flashbacks et d'hallucinations pour un résultat sensitif d'une belle puissance et très évocateur. J'ose à peine imaginer le choc pour ceux qui ont eu la chance de découvrir ce film en salles ou après, lors de sa ressortie, vierge de toute information ou a priori. Les paysages sont stupéfiants et surtout, Friedkin et son département artistique ont réussis à rendre vivant les camions baptisés pour l'occasion. (...) Un grand film, presque unique en son genre, beau, tragique, puissant, parfois tendre mais souvent cruel, très violent et palpitant de bout en bout, avec de nombreux rebondissements et quelques surprises. A noter enfin la partition du groupe Tangerine Dream, qui a composé la musique à partir des premières versions du scénario, sans voir aucun rushes. Certaines séquences sont rehaussées par les notes électroniques et d'autres sont en parfaite adéquation avec cette ambiance hors du temps. La critique complète à lire ici
    Acidus
    Acidus

    718 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 novembre 2017
    Fort du succès de ses deux précédents longs métrages, "French Connection" et 'L'exorciste", William Friedkin s'est engagé dans une entreprise périlleuse, celle de réaliser une nouvelle adaptation du roman " Le Salaire de la Peur" de Georges Arnaud, déjà porté au cinéma par Henri-George Clouzot en 1953. La version de Clouzot étant excellente, j'étais sceptique quant à celle de Friedkin, malgré sa bonne réputation. Pourtant, si elle ne dépasse pas celle de son aîné, cette nouvelle adaptation est réussie et Friedkin s'en sort avec les honneurs en dépit de l'échec commercial de son film. Premier point appréciable, l'intrigue de "Sorcerer" est assez différente du film de 1953 pour ne pas avoir cette impression de redite, de voir le même long métrage. Les modification sont bien pensées et Friedkin réussit, à l'instar de Clouzot, à créer une ambiance de tensions et de suspens durant tout le trajet en camions. Ma préférence va toutefois à l'oeuvre de Clouzot, plus intense, à l'instar du climax spoiler: (l'explosion d'un des deux camions)
    que foire William Friedkin. Un très bon film qui ne démérite pas et s'apprécie même lorsque l'on a vu "Le salaire de la Peur". C'est dire le niveau....
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