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    Nowhere
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    74 critiques spectateurs

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    Degrace
    Degrace

    31 abonnés 419 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 mai 2007
    Le succès de "Mysterious Skin" a probablement conduit d'autres personnes que moi à s'intéresser à la filmographie d'Araki. Pour ce premier essai, c'est une franche déception. Le film porte bien son nom, si l'on peut dire. Il commence nulle part, et ne mène nulle part. La mise en scène est nulle, au milieu de décors de carton pâte et de costumes ridicules. Il n'y a pas de scénario, les acteurs très moyens pour certains, carrément mauvais pour d'autres. Les dialogues sont également sans intérêt. Toujours le même thème d'adolescents paumés, du sexe et de la violence. Le problème, c'est qu'il n'y a pas d'idée derrière.
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    1 005 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 avril 2019
    Après Totally Fucked Up et The Doom Generation, ce dernier opus de la « Trilogie de l'Apocalypse Adolescente » comme l'aime la citer le réalisateur Gregg Araki, nous propulse dans un tourbillon de folie à ne pas mettre devant tous les yeux. Toujours aussi irrévérencieux, déroutant mais aussi poétique et minutieux, le réalisateur indépendant décide avec son sixième film d'aller encore plus loin dans ses thématiques et son style visuel. Le long-métrage raconte ainsi plusieurs histoires qui s'entrechoquent, plusieurs destinées qui vont s'achever dans les jours à venir : un jeune hétéro désillusionné se rend compte de sa vie merdique et qu'il est peut-être bisexuel, une fille se fait violer par une ex-star de la TV qu'elle croyait romantique, un couple refoulant la mort s'adonne aux plaisirs sexuels les plus dingues, des extra-terrestres enlèvent des adolescents... Nowhere flirte avec tous les genres et nous fracasse les pupilles. Additionnant les scènes choc, parvenant à instaurer une ambiance aussi glauque que flashy, dirigeant ses jeunes acteurs avec confiance et fermeté, Araki dépeint une nouvelle fois la jeunesse perdue d'une Amérique volage, nourrie à la télévision et à l'adrénaline, incapable de se situer dans une époque sans limites qui file aussi vite que le vent. Usant de son génie créatif et d'une totale liberté d'expression, Gregg Araki continue de nous exposer son talent à travers un teen-movie sous acides cinglant et démesuré.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 11 février 2007
    Une étoile pour l'interprêtation de certains acteurs mais niveau scénario ca vole vraiment pas très haut... J'aime bien les films un peu trash et j'avoue avoir été séduit lorsque j'ai lu le résumé, mais là il faut dire que c'est assez décévant. C'est le genre de film qu'on adore ou qu'on deteste, néanmois cela fait toujours plaisir de retrouver dans un même film autant d'acteurs qui vont devenir par la suite cultes pour les ados de la nouvelle génération. ( Denise Richards, Ryan Phillippe, Shanen Doherty, ...).
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 janvier 2007
    Une expérience unique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 novembre 2006
    Araki a du consommé toute les drogues légales qu'ils a pu se procurés pour pondres un films pareil!!!
    En tout qu'a une chose est sur! Ce trip psyquédélike
    est a maté de toute urgences!!
    En parlé serai inutile je pense ... le regardé est une autre histoire!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 octobre 2006
    « Help me my God ! Une œuvre indéfinissable et inclassable avec une bonne brochette de jeunes acteurs à leur début. La beauté inonde la trash attitude. La Drogue et le Sexe sont-ils les seuls échappatoires sur cette foutue planète ? Une fois de plus Gregg Araki crée une atmosphère unique et complètement déjanté sur le thème de la jeunesse afin de faire passer son message :
    « J’ai l’impression de couler de plus en plus vite dans des sables mouvants, Je vois tout le monde autour qui meurt, et leur agonie est longue et cruelle. On dirait qu’on sait tous, au plus profond de nous, que notre génération sera le témoin de la fin de tout sur terre. »
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 octobre 2006
    Un des films les plus déjantés que vous verez!!! Un Las Vegas Parano encore plus accrocheur!!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    L’atmosphère est onirique, les décors sont extravagants et surréalistes, tous plaqués de couleurs criardes. "Life is Sweet" chantonnent les Chemical Brothers en arrière-plan. Un mec se fait arracher les piercings aux tétons par deux gamines sado-masochistes en manque d'ecstasy. Le récit est déconstruit, perdu à lui-même, saturé et vide à la fois. Les gens ont tous des surnoms, les faux-dialogues sont poussés à l’extrême. Qui existe, qui n’existe pas, on ne sait pas trop. On s’en fout. Du moment que quelqu’un ramène de la défonce à la partie de cache-cache du vendredi soir. On voit un extraterrestre qui désintègre Rose Mcgowan et Shannen Doherty, alors qu’elles se demandaient qui pourrait bien les accompagner à la fête de Jujyfruit. L’image est léchée, les prises de vues sont oniriques. On est où ? Los Angeles ? Mais "Los Angeles c'est genre… nulle part, tous ceux qui vivent là sont paumés", nous explique Dark Smith en se masturbant sous la douche, dès l’ouverture du film, alors que sa mère lui hurle dessus pour utiliser la salle de bain. Sentiment de désastre. Dérive, péripéties, sexe et alcool, en plein dans la Génération X. Du Bret Easton Ellis imagé et sous acide, un montage Nouvelle Vague à la Godard. "Nowhere", c’est une claque. Une prise de conscience sociale "sur un monde qui déraille", un exercice de style enragé. Où se trouve la fête de Jujyfruit se demande un black de 15 ans ?
    LeVellave
    LeVellave

    5 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Sans interet. Pas d'histoire, juste une série de petite histoire trash.
    thethythy
    thethythy

    23 abonnés 434 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    La caméra ne cadre pas toujours et le manque de moyen se voit clairement par les nombreux plans fixes. Mise à part ces questions techniques, Gregg Araki nous raconte des histoires d'adolescents amusantes et rafraîchissantes. La multitude de personnages, généralement bien interprétés par les jeunes acteurs, et de situations fait quand un même un peu fourre-tout et tape à l'oeil mais c'est la façon du réalisateur de relever la sauce. Doit persévérer.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 22 janvier 2013
    Nowhere contient à lui seul tout l'univers de Gregg Araki.
    Son acteur fétiche (James Duval, vu dans Doom Generation) y incarne un post-ado romantique, paumé au milieu d'une sitcom déjantée, en plein Los Angeles. Bisexualité, violence, sadomasochisme, drogue, extra-terrestres...
    Le tout rythmé par les magnifiques musiques de Slowdive (le titre qui ouvre le film est un chef d'oeuvre de pop "ambient"), Radiohead, Catherine Wheel, Marylin Manson, etc.

    Nowhere est le film le plus caractéristique de Gregg Araki, ce que "lost highway" est à Lynch. Si vous n'avez pas aimé Doom Generation, vous allez détester !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un film totalement déjanté, c'est du grand nimporte quoi, entre drogue, sexe, hallucinations, viol, meutre ... les jeunes américains ont vraiment de gros problèmes. et puis c'est drôle, original, de très beaux décors (les chambres de tous les personnages sont superbes) et puis on entre bien dans le monde des jeunes drogués, qui ont vraiment chacun leur personnalité (avec leur vocabulaire ...). Vraiment un très bon film !! Seul mini point faible : le grand nombre de seconds rôles qu'on ne voit que trop peu. Mais beaucoup de très bons acteurs (Heather Graham, Chiara Mastroianni (qu'on voit pas beaucoup) Ryan Phillippe Mena Suvari Christina Applegate ... et surtout James Duval, très beau et bon acteur, et habitué de Araki.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Esthétiquement, c'est parfais. Au niveau de la mise en scène, là aussi, c'est un sans faute. Mais trop déjanté à mon goût, on est bien loin de la finesse de "Mysterious skin". Les acteurs y sont tout de même très bons. Mais le scénario manque de construction, on se perd un peu dans l'histoire...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un film méconnu sur les éternelles turpitudes des adolescents chics de Californie, seulement celui-ci mérite toute notre attention grâce à l'approche particulière d'un réalisateur doté d'une personalité hors-norme, cela se voit à l'écran.

    Globalement, c'est vrai qu'il n'y a pas vraiment de scénario, le film tourne autour de thèmes, pèle-mèle : sexe, amour, homosexualité, isolation, suicide, invasion d'aliens et fin du monde, c'est plutôt fort de réunir tout ça dans un film d'à peine 1h20.

    On suit ici l'existence vidée de sens de plusieurs adolescents aux lignes de dialogues devenant de plus en plus "énigmatique" au long du film. On ne nous épargne pas les scènes chocs, car ici on a affaire à un teen movie trash : sado-masochisme, suicide, consommation de drogue, baston etc... La réalisation est baroque, djeunisante mais réussie (même si elle en fera gerber certains) avec des images aux contrastes poussé (orange-bleu youhou), gros plans à foison, montage épileptique, scènes sous acide, des décors art moderne et des costumes punks qui font le côté weird du film.

    Evidemment, certains décrieront le manque de ligne directrice, mais dire que le film n'a pas de sujet serait une grave erreur, rien que le titre Nowhere (nulle part) nous montre qu'on parle bien ici des errements extatiques de la génération actuelle. Les plans sont truffés de messages, par exemple un plan furtif sur un livre de Nietzsche, philosophe anti-nihiliste notoire. Tous les thèmes de la jeunesse y sont brassés et un soupçon de bargitude réhausse le tout.

    La couverture de la version poche des Lois de l'attraction de Bret Easton Ellis reprend une image du film, un choix judicieux, car ce film se rapproche plus de l'esprit du bouquin que le film qui en a été tiré.

    Un film à l'esthétique peu commune, un peu fou et qui parle bien de nous, les jeunes, alors c'est à voir.
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