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    Nowhere
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    3,2
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    74 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 juillet 2010
    Gregg Araki continue d'épater le spectateur, du moins il m'épate moi ! Après son poignant MYSTERIOUS SKIN et son récent SMILEY FACE, NOWHERE est certainement l'opus le plus barge des trois, c'est dire... Un véritable OFNI superbement emballé, notamment du coté de la mise en scène et la mise en lumières, qui parle de drogue, de sexe, de meurtres... et même d'extraterrestres. Et quel final d'anthologie ! [8,5/10] Si ce n'est déjà fait, faites vous plaisir et découvrez vite cette pépite de 1997 !
    Guillaume p
    Guillaume p

    31 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mars 2011
    Un voyage en enfers au cœur de l'adolescence américaine totalement instrumentalisée et livrée à elle-même face à un monde d'une violence rare.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 janvier 2007
    Une expérience unique.
    thethythy
    thethythy

    22 abonnés 434 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    La caméra ne cadre pas toujours et le manque de moyen se voit clairement par les nombreux plans fixes. Mise à part ces questions techniques, Gregg Araki nous raconte des histoires d'adolescents amusantes et rafraîchissantes. La multitude de personnages, généralement bien interprétés par les jeunes acteurs, et de situations fait quand un même un peu fourre-tout et tape à l'oeil mais c'est la façon du réalisateur de relever la sauce. Doit persévérer.
    Truman.
    Truman.

    233 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 février 2014
    Nowhere aborde presque tout les thèmes de la jeunes Américaine paumé, paumé dans absolument tout, le sexe, la drogue, la violence, la société, le futur, la paranoïa, la folie, les maladies ... Puis dans tout ça il y a aussi des drames, viol, suicide, coeur brisé et overdose ...

    Gregg Araki connait ces thèmes et ce sont souvent les même dans ses films, ici il décide de nous emporter avec un jeune durant une journée assez banal .
    Sauf que ce jeune pense que la fin du monde est proche, du moins la sienne, et il voit une sorte de gros lézard .

    Cette folle journée nous emmène autour de ses amis, des amis de ses amis, de leurs frères et soeur . Tout les personnages sont tarés, barrés loufoques et excentriques avec des looks haut en couleur So 90"S et ceci m’amène au point négatif du film => C'est laid !
    J'ai trouvé ce film visuellement hideux, entre les couleurs qui pétillent, les éclairages et les décors cradingue j'ai trouvé ça moche mais d'un coté cette laideur n'est pas là pour rien, elle est là pour amplifier la laideur de cette jeunesse perdue .

    Ce film est implanté dans l'univers de Bret Easton Ellis ( d'ailleurs la photo de son livre Les lois de l'attraction provient d'une scène de ce film ) .
    Tout fait penser a du Ellis, entre ces personnages poussifs et décalés, la violence et le trash ou encore dans le sexe sans limite .
    " Hey ça te dirait de mettre ton cul sur mon visage et de lâcher un bon gros pet bien gras ? "

    Gregg Araki donne une vision spécial de la jeunesse de L.A, une jeunesse qui n'est rien et qui essaye de devenir quelques chose en faisant absolument tout, une jeunesse désespéré, seul et triste .
    Auto
    Auto

    28 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 septembre 2010
    Trip sensoriel à l'esthétique gay, et tellement nineties... Le cinéma d'Araki, me fait penser à celui de Gus Van Sant. Le deux partagent en effet un amour commun pour cette période pleine d'incertitude qu'est l'adolescence mais à la place des long plans sur les nuages en mouvements, le premier assaisonne ses films d'une pointe d'absurde et surtout d'une bonne dose de trash! P.s: Araki doit réellement faire une fixette sur les aliens parce que comme dans Mysterious skins (Qui est sortit après je vous l'accorde) un des personnages est également persuadé d'avoir été enlevé par eux et subit des expériences extraterrestres.
    maxime ...
    maxime ...

    250 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mai 2013
    pas mon trip. il faut aimé les trucs édulcorés et a base de speed. pas au niveau de kaboom et mysterious skin. malgré une fin de cinglé sa on peu dire que araki c'est sa marque de fabrique.
    Guillaume182
    Guillaume182

    133 abonnés 1 194 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 avril 2013
    Je n'avais pas très bien apprécier "The doom generation" même si je reconnais que la fin est juste génial.

    Araki sait rendre la fin de ses films inoubliables et la fin de Nowhere est la meilleure de sa carrière avec celle de très poétique de Mysterious skin.

    Nowhere, mais quelle claque ce film.

    C'est Déjanté, Fou, poétique, trash, gore, rock, beau, triste, excitant, drôle, sexy, Apocalyptique.

    Araki, dépeint les illusions et les espoirs.

    Il y a les réaliste qui sont ceux qui profitent de la vie et les rêveurs qui se cherchent et souffrent à cause du monde dégueulasse qui les entourent.

    Il y a la fille un peu superficielle qui se fait piéger.

    Les parents aliéner par la télévision qui ne voit pas les problèmes de leurs enfants.

    C'est onirique, un genre de film surréaliste expérimental.

    Araki balaye les illusions et donne au spectateur l'envie de jouir de la vie à tout prix!

    Ne vous y tromper pas, car Nowhere sous sa forme de gros délire est en fait une leçon de vie.

    Une grosse claque dans ta gueule!
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    46 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 décembre 2015
    Voilà, il fallait que ça arrive,Gregg Araki est roue libre complète. L'absence de mesure et d'unité du film se fait cruellement sentir : l'ensemble part dans tous les sens et offre un spectacle vraiment désagréable. Il faut vraiment le voir pour le croire, mais le réalisateur tombe dans l'autocaricature la plus complète en utilisant tous ses gimmicks de manière anarchique (et croyez moi, quand on s'est enfilé deux de ses films juste avant, on commence à cerner la manière de filmer du bonhomme). On a donc des statues moches, des télés qui font de la neige, des gens aux toilettes, de la drogue, du SM, et parfois tout en même temps ! Le "scénario" est suffisamment libre pour permettre à Araki de caser tous ses éléments récurrents un peu comme il veut, mais c'est tellement ostentatoire et gratuit que cela devient insupportable. La remarque est valable aussi pour la violence et le sexe. Cela arrive comme un cheveu sur la soupe, cela sert plus ou moins de défouloir, et on puis passe à autre chose, comme si la scène n'avait pas d'importance dans l'univers du film. Ça n'a aucun intérêt. Enfin si, ça a peut être un intérêt si on commence à analyser les scènes et à échafauder des théories, mais sincèrement, le film ne donne pas envie. L'histoire est faussement obscure pour brouiller les pistes, c'est vraiment du sous-Lynch, l'ambiance en moins. Et puis, c'est vulgaire et racoleur. C'était le cas des deux autres films, mais cela servait soit à développer les personnages soit à faire du comique. Ici c'est balancé dans le vide et ça ne sert à rien. On peut quand même retenir la toute première scène, qui contient un effet de montage intéressant, les décors, qui sont parfois travaillés, et la fin, très exagérée. Il y a également un bon casting (avec un James Duvall encore plus mou que dans The Doom Generation) mais ce n'est pas ça qui va sauver le film, qui est un bel amoncellement de conneries. Triste conclusion pour une trilogie qui n'aura connu qu'un seul bon épisode : le deuxième...
    Silence ça tourne
    Silence ça tourne

    24 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 avril 2020
    Je ne sais pas trop quoi penser de Nowhere. C'est un film qu'il faut digérer . Il est malaisant et assez détestable au premier abord. Le réalisateur nous montre une jeunesse remplis de vice sans projet d'avenir qui tombe dans le sexe à outrance et dans la drogue. Nous délivrant une mise en scène clipesque, des personnages et des environnement anxiogènes qui nous mettent dans une situation inconfortable. Le personnage le plus mis en avant, est à la recherche de quelque choses de moins futiles que tout ce qui l'entoure. D'un sens, d'un vrai amour, de sortir de la solitude. Avec certains personnages, on ne comprend pas toujours ce que le réal à voulut nous raconter à travers eux. Une expérience.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 708 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 février 2021
    Nowhere était terrible mais d'une manière qui m'a permis de le regarder jusqu'au bout. C'était un film pour les yeux hors de contrôle avec peu ou pas de substance. Les personnages étaient dans un sale état et leur esprit était déjà détérioré. Quoi qu'il en soit il y a quelque chose d'hypnotique à regarder des gens superficiels, égocentriques condescendants avoir des relation sexuelles, prendre de la drogue et avoir des hallucinations mais ne vous attendez pas à une intrigue ou un complot. Sauf peut-être que le but est qu'il n'y a pas de but ce qui est ennuyeux parce que cela a été fait tant de fois. C'est une histoire pseudo-symbolique à son pire...
    lhdlynch
    lhdlynch

    60 abonnés 383 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 novembre 2010
    Un véritable ovni totalement inclassable venant une fois de plus du déjanté et torturé Gregg Araki, à qui l'on doit déjà l'excellent et bouleversant Myterious Skin. Nowhere nous embarque dans une atmosphère décadente de la jeunesse américaine, dont leur seul but est d'oublier ce monde en perdition. James Duval, acteur blindé de talent mais trop peu connu, qui interprète Dark, ne trouve pas sa place dans la société et ne comprend pas sa génération, au point d'attendre sa mort et de vivre dans un monde meilleur avec celui ou celle qu’il aimera à vie. C'est d'ailleurs un peu le message principal que Gregg Araki passe à travers ce film: ce monde ne ressemble plus à rien, tout est à la dérive et les jeunes sont perdus. Donc même si le message d'Araki est une réalité dramatique, le film ne nous fera pas déprimer pour autant grâce à son ambiance déjantée. L'esthétique, plus qu'originale, mêle couleurs criardes à souhait, décors 70's et mélange des genres. Ce film ne ressemble à aucun autre, limite avant gardiste même pour notre époque alors qu'il date de 1997 et dispose d'un casting excellent, dont beaucoup ont d'ailleurs fait carrière depuis. Les scènes et situations à l'aspect déstructuré et bordélique, mêlant sexe, drogue, violence physiques, viol, bissexualité, homosexualité et même fantastique (avec l'extra-terrestre) ont malgré les apparences un but bien précis et sont blindés de messages. Enfin, la scène finale, entre Dark et Montgomery, est aussi bouleversante que déroutante. Et ne surtout pas croire que Nowhere ne va nulle part ou qu'il "n'a pas de scénario"... loin de là! Un film ne doit pas forcément respecter une logique narrative académique pour être crédible, et c'est justement ce qui fait la force de Nowhere, chef d'oeuvre révolutionnaire, diablement efficace...
    AlexTorrance
    AlexTorrance

    31 abonnés 486 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mars 2012
    Il y a bien longtemps que je souhaitais découvrir l'univers de Gregg Araki et grande fut ma déception lors du visionnage de Nowhere. Certes, Araki arrive plutôt bien à imposer un style visuel plutôt beau à regarder, mais qu'est-ce que c'est que ce bordel? Se servir de l'adolescence chaotique des jeunes de Los Angeles, qui, machinalement, boivent, s'envoient en l'air et dégueulent, pour intégrer au récit des aliens tout droit sortis d'une série B? Serais-je passé à côté d'une quelconque métaphore, hormis un message du genre "la réalité est pire que les rêves"? Et pourtant, Nowhere se regarde étonnamment bien et les acteurs sont loin d'être dénués de talent. Mais sincèrement, si Nowhere est un immense trip cinématographique alors il est fort probable que je sois passé largement à côté. Mais bon, fort heureusement, cette bonne dose de bizarreries est loin de rendre le film mauvais, non plus. Juste très décevant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 mai 2010
    Très original. Malgré qu'il soit un peu cours, ce film aborde beaucoup de sujets sur l'adolescence de plusieurs manières et c'est franchement réussi. Complètement barré, étonnant, effrayant aussi. A voir !
    _Royal_
    _Royal_

    132 abonnés 1 600 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 septembre 2011
    Araki ne change pas de sujet, on retrouve comme toujours nos jeunes ados nymphos, toujours à poil, toujours vulgaires, toujours bourrés, toujours drogués, toujours hallucinés, toujours bourrées, toujours trop colorés... un film sur mon quotidien n'à vraiment aucun intérêt.
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