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Georges P.
70 abonnés
841 critiques
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2,5
Publiée le 4 juillet 2022
Le film a très mal vieilli ... beaucoup de bavardages malgré la présence de Gary Cooper et Ingrid Bergman empêche que ce soit un très grand film. On s'ennuie vite. Le livre d'Hemingway est donc à relire.
Ce n'est pas facile de rentrer dans ce film qui a mal vieilli. Avec ses plus de 70 ans au compteur les décors ont pris un coup de vieux. Les quelques scènes en décors naturels n'arrivent en rien à donner vie à ce film 70 ans après. Il doit être regardé avec des yeux avertis et ce ne fut pas mon cas. Ce film vaut par la présence lumineuse d'Ingrid Bergman qui y rayonne.
Le film même s'il démarre de façon mollassonne gagne en densité au long du récit. La force de l'amour qui donne au film une saveur nostalgique sur la vie passée et la vie future. L'amitié forte des personnages envers leur cause mais entre eux aussi. Et la proximité de cette attaque que tout le monde attend et que l'on sait d'avance meurtrière.
Les images sont jolies mais ce film est terriblement mièvre ! Comme je suis déçue ! Le mâle blanc qui doit être fort, combatif, protecteur face à la jeune femme en fleurs, abrutie et naïve ! Aucun intérêt et un machisme naturel qui heureusement n'existe plus. Parfait pour s'ennuyer et perdre son temps Je pensais qu'Hemingway était un bon auteur sauf qu'il ne se passe rien dans ce film sinon de l'eau de rose ! 2/5
Très belle histoire d'amour sur fond de guerre civile d'Espagne avec le grand Gary Cooper et une Ingrid Bergman particulièrement resplendissante dans le rôle de la jeune amoureuse. Le contexte politique est oublié au profit de la liaison de notre héros mais la réalisation sait se montrer efficace pour les scènes d'action notamment un final très réussi qui m'a surpris pour un film datant de 1943. Pour qui sonne le glas mêle astucieusement romantisme et aventures, du vrai beau cinéma d'Hollywood.
Adapté du roman d’Hemingway, un mélodrame poignant sur fond de guerre civile espagnole, porté par le couple charismatique Gary Cooper et Ingrid Bergman, qui n’arrive tout de même pas à faire oublier quelques longueurs, des personnages caricaturaux et des décors très artificiels. 2,75
Adapté de l’œuvre d'Hemingway, ce drame très hollywoodien est magistralement servi par Gary Cooper, dont la stature en impose mais sans pour autant noyer les seconds rôles, tous très solides dans leur interprétation. S'il manque un peu de se perdre dans de longs développements sur l'histoire d'amour naissante, le film assure une peinture très convaincante des caractères de ces personnages pris dans le feu de l'histoire, sans pour autant se livrer à une critique politique. La réalisation de Sam Wood apporte un souffle indéniable.
Il est vrai que je n’ai pas lu le roman d’Ernest Hemingway mais j’attendais tellement plus de cette adaptation. OK, y’a Gary Cooper, y’a Ingrid Bergman, tellement craquante avec ses cheveux courts mais que c’est long, mièvre et historiquement fade. Le récit a beau évoquer la guerre civile espagnole, il aurait pu se dérouler n’importe où ailleurs, c’était kif kif bourricot. La dernière demi-heure rehausse le tout heureusement et l’actrice grecque Katína Pacinoú tient un rôle - Pilar - particulièrement fort pour l’époque. Deux atouts qui parviennent tout juste à sauver la renommée surfaite du film de Sam Wood
Pas mal, car ça permet de voir Gary Cooper en compagnie d'Ingrid Bergman (avec une coiffure disons.... Originale !) l'histoire est très très romanesque et la mise en scène s'accompagne d'une musique incessante qui souligne à très gros traits les moments d'action ! On sent aussi beaucoup le studio et le défilé de maquettes et de décors peints !
Adaptation d'un classique d'Hemingway, le film est un classique du cinéma romanesque qui fit la renommé d'Hollywood pendant des années. On peut même dire que le côté politique est ici éclipsé par son histoire d'amour et par son couple vedette, je parle évidement de Gary Cooper et de la belle Ingrid Bergman. Réalisé par un maitre du genre, "Pour qui sonne le glas" comporte toutes les qualités et la magie des films de son époque mais possède quand même un défaut, c'est juste qu'il n'arrive jamais vraiment à retrouver l'âme du bouquin.
Un très bon film sur la guerre d'Espagne avec d'excellent acteurs, mais avec beaucoup trop de longueurs, pour la quasi-totalité dues à l'intrigue amoureuse, niaise en plus, entre les deux principaux protagonistes. Le personnage joué par Ingrid Bergman aurait pu être supprimé sans problème et aurait rendu le film bien plus passionnant. Sans doute était-elle là pour faire pleurer les ménagères...
4 541 abonnés
18 103 critiques
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1,0
Publiée le 11 mai 2021
Désolé mais après avoir attendu plus de 40 ans pour voir ce film après en avoir lu une critique quelque part je constate que sa nullité est confirmée dans presque tous les aspects de la production. À commencer par le casting. Si Hemingway a eu quelque chose à voir avec le choix de Cooper ou de Bergman pour les rôles principaux quelqu'un aurait dû se rendre compte qu'il n'avait pas la tête à l'adaptation cinématographique et des esprits plus avisés auraient dû prévaloir. Mais il était probablement l'un des rares auteurs célèbres dont les suggestions de production auraient été prises au sérieux en dépit du fait qu'Ernest lui-même avait déclaré à plusieurs reprises qu'il n'oserait pas mettre les pieds à Hollywood ni par amour ni pour l'argent. Au moins lui comprenait ses limites et c'est dommage que les dirigeants des studios d'Hollywood n'aient pas compris les leurs...
Pour qui sonne le glas, 1943, de Sam Wood, d’après le roman d’Hemingway, avec Gary Cooper, Ingrid Bergman, Akim Tamiroff. Pendant la guerre civile espagnole, un américain rejoint un groupe de républicains cachés dans les montagnes, pour mener des opérations de résistance contre les franquistes. Ces révolutionnaires ont recueilli une très jeune victime de l’armée franquiste, jouée par Bergman. Elle a les cheveux très courts car elle a été tondue, et sa beauté de madone n’en est que plus confondante dans ce milieu d’êtres frustres. L’américain va tomber amoureux, bien sûr. L’histoire d’amour domine d’ailleurs largement l’aspect politique et on est, forcément, sous le charme du couple Cooper/Bergman, dont chaque regard échangé est une caresse.
J'avoue être surpris par la note attribuée par plusieurs collègues (3,6/5 en moyenne) alors que pour moi ce film est un navet ! Il est vrai que le les truquages utilisés à l'époque du film n'aident pas tant on est devenus difficiles. Le roman était au programme (thème : engagement) lors de mes études en classe préparatoire scientifique en 1967 et tous les élèves de la classe, dont moi, avions été encouragés voir le film projeté dans notre établissement. Nous avions tous été affreusement déçus. On ne croyait pas aux personnages incarnés par les acteurs (Gary Cooper, Ingrid Bergman) pourtant au box office. La façon de jouer de l'époque comme les truquages ont certainement mal vieilli. J'ai utilisé le verbe "jouer" ! C'est le plus grand reproche, les acteurs "jouent" et ne vivent pas leur personnage. Bref je n'ai pas aimé le film. Cela me fait penser que la même années nous avait été projeté "Dieu est mort" réalisé par John Ford adapté du formidable roman de Graham Greene (The power and the Glory) au programme aussi pour ce qui est de l'épreuve d'anglais aux concours de l'époque. Navet encore pire, il faut le faire, que "Pour qui Sonne le Glas". Le film est pourtant noté 3,1/5. Cela me dépasse.