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oranous
140 abonnés
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4,0
Publiée le 31 décembre 2007
J’ai toujours aimé les films où il y a des braquages de banque comme Inside Man. Ici c’est aussi un braquage mais tout a fait différent. Le scénario est vraiment très bon. Et la Bo très sympa. Les acteurs jouent relativement bien. C’est un réalisé par co-scénariste de nombreux films de Tarantino qui se laisse voir mais qui ne laisse pas un souvenir impérissable.
Etant fan de Tarantino, je voulais voir le film de son ex-compère co-scénariste de Pulp Fiction, Killing Zoe, entièrement tourné à Paris. Et bah franchement, je m'attendais à quelques chose de vraiment mieux. L'histoire est plutôt pas mal (un américain vient à Paris pour un braquage le 14 juillet...). Mais le reste sombre dans le n'importe quoi. Hormis Eric Stoltz, les acteurs sont des caricatures lamentables. Julie Delpy se cherche sans se trouver et Jean-Hughes Anglade se perd totalement. Et puis le film n'est pas sauver par sa mise en scène digne d'un très mauvais téléfilm voire un film amateur. Je ne déteste pas les films amateurs mais pour un film américain produit par Tarantino, Bender et Hadida, je m'attendais à un truc beaucoup mieux. Grosse déception.
Killing Zoe est le premier film de Roger Avary, le grand copain de Tarantino, co-scénariste de Pulp Fiction. Sorti en 1994, il passa relativement inaperçu, ce qui est à la fois étrange et dommage. L'univers de Avary est à tout point semblable à celui de Tarantino, ces derniers ont visionné ensemble des quantités industrielles de films durant leur jeunesse d'où les mêmes références et les mêmes thématiques à savoir, sexe, drogue et violence. Il faut d'ailleurs voir dans le making-of du DVD Tarantino, officiant comme producteur, s'extasiant comme un gamin lorsque les scènes les plus sanglantes étaient tournées. Killing Zoe suit donc ce schéma-là. La première partie où on voit ce groupe de dégénérés se droguer à tout va est clairement, à mon sens, inintéressant car le trait est beaucoup trop appuyé. On assiste tout de même au début de la romance entre la Zoé du titre et Zed, romance qui refermera aussi le film. Là où Avary excelle, c'est dans la montée d'adrénaline qui accompagne le début du braquage soit dans la 2eme moitié du film. Le coté violence gratuite, on y exécute des otages, peut choquer d'où, à mon avis, l'interdiction aux moins de 16 ans. La fin, Zoé sauve Zed et l'emmène chez elle, est un peu la même que celle de True Romance, elle fait un peu hollywoodienne mais elle reste charmante et en fait un vrai film romantique. Stoltz en perceur de coffres-forts paraît en perpétuel décalage et détaché de tout. Quant à Anglade, c'est surprenant de le voir incarner ce type de personnages survoltés mais il s'en sort très bien. 9 ans avant Les lois de l'attraction, le cinéphile Avary nous signe un thriller sanglant dans la lignée de Pulp Fiction injustement méconnu et qui gagnerait à être redécouvert. Le DVD enrichi d'un making-of d'une heure et d'un commentaire audio de Avary tombe à point.
Roger Avary acolyte de Tarantino notamment sur "Réservoir dos" et Pulp Fiction" se lanec derrière la caméra... Le résultat est mitigé car si on sent l'influence on reste trop dans un film basique de série B qui n'est jamais transcendé. La partie défonce drogue alcool avec la timide dénonciation du SIDA est trop appuyé ou pas assez ! Le braquage débute très bien mais les seconds rôles (les autres braqueurs) sont très agaçants, surjouant un maximum certains en deviennent même risibles. Eric Stoltz semble bien fade comparé à un Anglade en pleine révélation et cabotin à souhait (parfois too much faut bien l'avouer). Un film inégal donc malgré quelques bons moments.
Killing Zoe: intrigué par le boulot de l'ancien pote "co-scénariste" du sublime tarantino, nous voilà devans ce frenchmovie.... avec une grosse déception. L'histoire ne tien pas debout, les personnages ne sont pas interessant sauf peut-être "Zed"(ce qui limite vite notre immertion et notre participation emotionelle à tout ce bordel). Fondé sur des bases "tarantiniennes", killing Zoé n'en est est qu'un Herzats. Première moitié en forme de trip hallucinogène (on vomi presque en même tant que Zed), Seconde en braquage et fusillade bourrée de cliché), le tout sur fond d'hstoire d 'amour/cul et de dialogue genre: les grenouilles en afrique...(pas de "royal cheese") Non non non. Préférez "true romance"
1 étoile pour Stolz et certaines scènes spycho d'Anglade...
Très grosse déception en voyant ce premier long métrage de celui qui a travaillé à plusieurs reprises avec Tarantino, notamment sur le scénario de 'Pulp Fiction' . L’esprit de 'Reservoir Dogs' est bien là mais le résultat se révèle aussi nul que le 'Truands' de Frédéric Schoendoerffer: De la violence gratuite et rien de plus. Ne cherchez pas quelque intérêt que ce soit, on passe une heure et demie à s’ennuyer ferme.
Cé du grand cinéma comme j'aime. Pourtant cé un peu navrant de le voir 11ans après sa sortie, de se rendre compte qu'on à ignorer un chef-oeuvre pareille.(merci zackdlr) La réalisation déja de Mr Avary est énormissime de A à Z, pour son premier film il fait du très très lourd. Roger s'éclate avec un scénario qui parait banal mais qui est bien remplie de scènes violente, d'humour noir, de drogues, bref en s'ennui pas 1 seconde ont en veut encore !! trouvé le car les bonus du DvD sont aussi excelent
Violence gratuite, scénario conventionnel pétri de clichés et manque d’originalité font de ce petit film une bien pâle copie en comparaison de Reservoir Dogs ou Pulp Fiction, qui eux s’appuient sur des personnages droles et décalés. Ici impossible de s’identifier aux acteurs tant ils ont peu de charisme. On s’en fout complètement de savoir qui butera qui avant la fin du film. Dans ce monde de débauche ou fric, flingues, coke et cons sont légion, ou sont passés les dialogues cultes de Tarantino, sa violence "cool", son humour noir?
Le scénario est simple et banal : des types qui préparent un hold up et le réalisent. La mise en scène, l'ambiance noire et glauque (quelque peu tarantinesque), les acteurs et les dialogues font la difference. Ce film est un bijou. Un excellent film signé Roger Avary.
Un navet français de plus. L'histoire est très banale et malheureusement le réalisateur à la bonne idée de la tourné le film à la sauce américaine. Le braquage est mise en scène de façon surréaliste, ne vous attendez pas à un remake de Heat. Quant aux gunfights c'est affligeant. La seule bonne note revient à Jean Hugues Anglade qui incarne avec brio ce personnage déjanté et charismatique.
Killing Zoe se compose en deux parties ; La première ont voit des types se droguer dans des caves ou en roulant sur les route de Paris la nuit, la deuxième on y voit un braquage dune violence incohérente, sans aucune finesse ! Voila, le film napporte rien et nest pas intéressant !
Un très bon film peut être un rien surestimé. la mise en scène est souvent belle et originale et le scénario est très bien écrit. Cependant c'est pas non plus le film du siècle même si l'ensemble est très bon, loin d'être culte. Les acteurs sont impeccables et le film qui ce déroule par ailleurs est très agréable à suivre en vo puisqu'il mélange l'anglais et le français. Un bon film à voir parce qu'il n'y a quand même rien à jeter malgré les défauts inhérent à ceux d'un premier film.
Roger Avary ( co scénariste de Pulp Fiction ), nous propose sa vision d'un braquage. Pour commencer, les braqueurs sont des drogués à la cocaïne et l'héro, ils sont hyper violents et ne se contrôlent pas. Killing Zoe possède des avantages: bonne réalisation, bonne interprétation de Anglade, Stoltz et Delpy, mais le scénario est beaucoup trop banale et le film tombe trop facilement dans la violence gratuite sans intéret. Avary n'est pas Tarantino, il ne sait pas bien distillé la violence. Son univers n'est pas aussi riche que celui de Quentin. Killing Zoe est cependant un film correct.
Une oeuvre sombre et violente qui laisse sous le choc. Avary est vraiment un grand scénariste et réalisateur. Les acteurs sont en plus époustouflants et les événements laissent sans voix. C'est tout cette atmosphére de sex drogues et violences qui rendent ce film si culte.