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    Killing Zoe
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    123 critiques spectateurs

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    lorenzo fly
    lorenzo fly

    22 abonnés 813 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 mai 2013
    un film déjanté avec de bons passages mais qui reste dans l'ensemble trop moyen!!
    oranous
    oranous

    140 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 décembre 2007
    J’ai toujours aimé les films où il y a des braquages de banque comme Inside Man. Ici c’est aussi un braquage mais tout a fait différent. Le scénario est vraiment très bon. Et la Bo très sympa. Les acteurs jouent relativement bien. C’est un réalisé par co-scénariste de nombreux films de Tarantino qui se laisse voir mais qui ne laisse pas un souvenir impérissable.
    Pierre E
    Pierre E

    212 abonnés 665 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 octobre 2006
    Le début de KILLING ZOE est excellent : l’arrivée d’un américain à Paris, sa rencontre avec une jolie prostituée dont il tombe plus ou moins sous le charme. Mais après 20 minutes, le film traîne un peu en longueur. Ce n’est qu’au bout de 40 minutes qu’on entre dans le vif du sujet : le braquage de la banque international de Paris un 14 juillet. Et c’est à ce moment précis que l’excellence des premières minutes revient ; car le braquage est brillant grâce au scénario (brillant, cynique et décalé), à la mise en scène (excellente, dont retiendra la chute dans les escaliers de Stoltz) et au jeu des acteurs (E Stoltz, JH Anglade, J Delpy). Le petit + c’est que sous ses allures de gangster-movie violent et décalé, KILLING ZOE est aussi une belle comédie romantique où la romance l’emporte sur ce qui devrait être la morale… Roger Avary signe un premier film mais également un coup de maître qui n’a (presque) aucun défaut !
    ml-menke
    ml-menke

    40 abonnés 551 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 avril 2012
    L’influence des jeux vidéos se ressent fortement dans les giclées de sang et la violence qui ressort dans le film. De plus, c'est une vision de PARIS dérouté par la drogue et le sex. Zoé propose à Zed de quitter ce monde et d'entrer dans le sien. Avary marque ici son premier film par sa propre mise en scène.
    Degrace
    Degrace

    31 abonnés 419 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 novembre 2006
    Je me surprends à doter ce film de 4 étoiles. Pourquoi? Parce que le scénario est d'une affligeante banalité. Nous avons là un film décrivant la "préparation" et le déroulement d'un hold up. La réalisation, elle, est dynamique sans être exceptionnelle. L'éclairage est parfois si agressif, qu'on le dirait raté. Pourtant, il contribue à l'atmosphère particulière du film. Passons maintenant aux aspects franchement positifs. Les acteurs sont d'une grande présence. Au début, je trouvais le personnage de Anglade un peu caricatural, mais non. Il joue très bien le junkie désaxé, désabusé, qui brûle la vie par les deux bouts. Les dialogues sont simples, décevants, mais la scène entre Eric Stoltz et Julie Delpy a une profondeur inexplicable. Le physique singulier de l'actrice y est pour quelque chose. Revenons à Eric Stoltz, car il porte une partie du film sur ses épaules. Son personnage, très bien joué dans la sobriété, est très attachant. Il donne son humanité à un film très violent, qui témoigne encore de l'ambiance glauque des années 1990. Le film est sorti l'année du suicide de Kurt Cobain... toute une époque. En gros, je situe Killing Zoe entre Reservoir Dogs et Nikita, de Besson. Un film à voir.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 4 février 2012
    c est bizarre il me semble que jean hugues anglade est un assez bon acteur d habitude, alors que dans killing zoé il est insupportable (comme les autres d ailleurs,hormis julie delpy et eric stoltz,un peu fades mais justes). il y a de bonnes intentions dans ce film,malheureusement ca ne fonctionne jamais car c est trop sous influence (on reconnait la patte de tarantino,mais qu on est loin des chefs doeuvres reservoir dogs ou pulp fiction !!) et franchement prévisible. quelques bonnes idées de mise en scène sauvent les meubles,mais c est vraiment pas terrible quand meme. et bodel, l interprétation...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 22 avril 2013
    En regardant Killing Zoe, je pensais surtout regader un film du co-scénariste de Pulp Fiction, Reservoir Dogs & True Romance, mais Roger Avary seul, ce n'est pas du Tarantino (ce que j'espérais un peu), et même son style reste assez proche de ce dernier, la qualité de la réalisation est nettement moins bonne, cela dit, les dialogues sont plutôt bons, et ce film se laisse regarder. Un film assez mitigé en somme.
    romano31
    romano31

    277 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 avril 2008
    Un film super. Il mélange humour noir et violence. Jean-Hugues Anglade signe ici une prestation absolument impressionnante. A noter que ce film a été produit par Quentin Tarantino.
    Florent B.
    Florent B.

    69 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 février 2021
    Une production Tarantino, furieusement efficace et complètement barge. Un film de braquage survitaminé, aux personnages à la fois hilarants et inquiétants. Dans l'ensemble la distribution est bonne et la mise en scène suffisamment dynamique pour ne pas décrocher une seule seconde. Jean-Hugues Anglade casse, pour notre plus grand plaisir, son image de séducteur, en campant un surprenant rôle de braqueur sanguinaire. Un classique.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 621 abonnés 12 380 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 mai 2011
    Le rèalisateur Roger Avary a dèbutè en collaborant aux scènarios de son vieux copain Quantin Tarantino! Son premier film, "Killing Zoè", relève d'un humour noir particulièrement fèroce! Ultraviolent, provocateur, dècapant et parfois dèrangeant, voilà un polar destroy hors normes des annèes 90! En braqueur dèjantè, le cheveu gras et le regard hallucinè, Jean-Hugues Anglade y fracasse son image de jeune premier romantique! Rèputè pour sa violence, Avary signe un polar sauvage, objet rèellement ètrange, en roue libre, qui se dèmarque totalement de l'influence de son ami Tarantino avec une Julie Delpy belle et envoûtante! La photographie est en revanche pas très soignèe, intèrieure comme extèrieure...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 juin 2012
    Ça commence (ou presque) par une scène prodigieuse dans une chambre d'hôtel, où Eric Stoltz et Julie Delpy engagent une conversation de plusieurs minutes, qui montre que le cinéma peut être aussi simple et parfait que l'écriture. Il suffit de trouver le bon cadre, les bons mots, et tout suit alors sans sourcille. Killing Zoe c'est 24h de sang dans Paris. Le sang qu'on recrache après avoir consumé des drogues, ou bien le sang qu'on fait gicler des victimes collatérales d'un braquage de banque. Zed, spécialiste en coffres débarque des États-Unis pour aider son vieux pote Eric à braquer la seule banque ouverte le 14 juillet. Eric et ses potes crèchent dans une piaule moisie, entre les rats et les singes, un Viet, deux québécois, deux français, un british et maintenant un américain. Cette team a l'air de toute sauf de spécialistes et Zed s'en inquiète assez rapidement. Mais Eric contrôle tout, Eric c'est le boss et il lui dit que tout est OK alors tout est OK.

    On pourrait s'attendre à ce qu'à un jour du braquage l'heure soit aux précisions et aux préparations, mais ce n'est pas vraiment le cas. Ceux qui ont vu Ocean's Eleven s'amuseront du contraste. Bref. Eric veut faire découvrir à Zed le vrai Paris, celui des profondeurs, loin en dessous des conneries pour touristes. La caméra suit alors son maître, Eric le barbare, tel qu'il se présente dès sa première apparition. Ceux qui s'attendent à voir un américain déclarer sa flamme d'amour à la France en utilisant des plans aussi banaux que lassants, passez votre chemin. Pas de jolies touristes sur les champs, de Tour Eiffel illuminée, juste des travelos paumés et des drogués au jazz qui font les cons dans une vieille Renault. On est pris dans ce trip auto-destructeur, toujours dans la surenchère, dans les dialogues surréalistes, et plus les minutes passent et plus nous avons cette énorme mal de crâne, Zed way. On en vient presque à regretter la chambre d'hôtel pourrie où on s'est installé en débarquant : au moins il y avait la sublime Zoe, ou Zoey. Oui, je dis on, car en choisissant de filmer ses personnages avec autant de proximité, en jouant sur la première personne, entre hallucinations et déformations sonores, on peut considérer qu'on pénètre presque le subconscient des personnages et qu'on vit avec eux cette folie nocturne. La bande-son est là pour rythmer à merveille le film, et l'expérience sensorielle est donc totale.

    Vient le lendemain matin, sans transition. Gueule de bois dans le camion et pourtant on est déjà devant la banque. Crash, crash, boom, boom, ça pète, ça crie, ça pleure, ça saigne. Une deuxième partie de film qui se révèle être de la pure dynamite, avec une tension qui monte crescendo et qui finit par nous péter à la gueule dans un mélange dégueulasse et jouissif. Rogery Avary était déjà maître de la narration et du montage en 1993, et son style n'a pas grand chose à envier à celui de son vieil ami Tarantino. D'ailleurs, les fans de Reservoir Dogs devraient prendre leur pied avec Killing Zoe, une patte similaire, un délire quasi-commun et un plaisir pour le spectateur à consommer sans modération. Le film est comme une drogue dure, qui, heureusement, dure à jamais...
    cinéman
    cinéman

    40 abonnés 804 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juillet 2018
    Ce film se divise en deux parties vraiment distinctes. La première signe un scène avec une prostituée, les retrouvailles de deux amis après 10 ans de séparation, et la préparation d'un casse par un groupe de camés. La seconde se déroule exclusivement dans une grande banque lors du braquage en question. On est pris par le rythme prenant de cette atmosphère glauque (drogues dures, prostitution des "bas fonds" de Paris) et par l'humour noir et cocasse des situations ou des dialogues, avec cette équipe complètement déjantée dont Jean-Luc Anglade s'avère être le leader.Très violent, ce film n'en reste pas moins une belle réussite par un rythme rapide, des dialogues percutants et savoureux , un véritable humour noir pas évident à dégoter au premier abord car très fin, et un Jean-Luc Anglade au sommet de son art dans le rôle d'un anar toxico chef d'un gang de "dingues".
    Gonnard
    Gonnard

    240 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 mars 2008
    Un rythme lent, beaucoup de violence, une atmosphère pesante, un peu d'émotion. Pas facile de juger un tel film. Au final l'impression est bonne, mes deux étoiles sont surtout dues à l'accumulation de la violence.
    nymel
    nymel

    24 abonnés 85 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 avril 2013
    Très bon film dans l'ensemble. Tout n'est pas parfait mais l'ensemble dégage un vent de fraicheur. On se laisse entrainer au fond du gouffre assez facilement. Le film a un bon rythme on ne s'ennuie jamais. J'aime beaucoup cette romance entre les deux personnages. Ca a quelque chose de sincère. Bref j'adore !
    Shidoobie
    Shidoobie

    5 abonnés 216 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juin 2008
    Une oeuvre sombre et violente qui laisse sous le choc. Avary est vraiment un grand scénariste et réalisateur. Les acteurs sont en plus époustouflants et les événements laissent sans voix. C'est tout cette atmosphére de sex drogues et violences qui rendent ce film si culte.
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