Votre avis sur Les Leningrad Cow-Boys rencontrent Moise ?
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Aki Kaurismäki s'égare dans une pseudo histoire rocambolesque prétexte à des hommages cinématographiques, paraît-il. Une suite de sketchs rarement drôles liés par une intrigue maigrelette sans queue ni tête. On sait que Kaurismäki a toujours aimé le cinéma muet, mais les situations qu'il filme où règne l'absurde ne provoque qu'un ennui profond, pour ne pas dire soporifique.
tres bon mais j'ai une préférence pour le premier en tout cas c'est quand meme du lourd.
Fort du succès relatif des premières aventures des Leningrad Cowboys, ces rockers russes ringards et taciturnes à l'apparence si extravagante, Aki Kaurismäki imagine une suite dans le même esprit et sur le même ton. Mais l'effet de surprise a disparu et le charme est rompu.
Ce n'est pas tant la lenteur et les longs silences du récit, en vertu d'une mise en scène analogue au premier épisode, qui laissent perplexe que le sens même de l'action et de l'humour distancié qui lui est attaché. Le piteux retour au pays des Leningrad Cowboys, du Mexique à la Sibérie, en passant par d'autres pays, occasionne quelques incidents de parcours dont la signification m'a échappé.
Si on peut sourire de ces concerts improvisés, dans des banquets ou des foyers ruraux, qui ne rencontrent que l'indifférence, le voyage de la troupe parait néanmoins bien inconsistant. Emmenés par un leader-imprésario qui se prend pour Moïse -sans que ne s'établisse une évidente variation parodique sur le thème de l'Exode- les rockers sibériens ne stimulent guère que l'ennui.
Ce n'est pas tant la lenteur et les longs silences du récit, en vertu d'une mise en scène analogue au premier épisode, qui laissent perplexe que le sens même de l'action et de l'humour distancié qui lui est attaché. Le piteux retour au pays des Leningrad Cowboys, du Mexique à la Sibérie, en passant par d'autres pays, occasionne quelques incidents de parcours dont la signification m'a échappé.
Si on peut sourire de ces concerts improvisés, dans des banquets ou des foyers ruraux, qui ne rencontrent que l'indifférence, le voyage de la troupe parait néanmoins bien inconsistant. Emmenés par un leader-imprésario qui se prend pour Moïse -sans que ne s'établisse une évidente variation parodique sur le thème de l'Exode- les rockers sibériens ne stimulent guère que l'ennui.
Suite des aventures des Leningrad cowboys. C'est très ennuyeux, quelques rares scènes condensées dans la seconde partie réveillent vaguement ( confrontation entre les croyances religieuses et les idéologies), mais on a ici affaire au moins bon film de Kaurismaki.
Ça se veut peut-être drôle mais ça ne l'est jamais. Le scénario est absent ( juste un vague prétexte à un road-movie en Europe) Réservé au spectateur qui veut connaître la filmographie complète du cinéaste et indigne de son talent.
Ça se veut peut-être drôle mais ça ne l'est jamais. Le scénario est absent ( juste un vague prétexte à un road-movie en Europe) Réservé au spectateur qui veut connaître la filmographie complète du cinéaste et indigne de son talent.
Un delirium qui ne trouve grâce que lorsqu'il devient musical. Un divertissement qui ne s'adresse qu'aux convaincus et inconditionnels du premier volet.
Avec cette suite trufffèe de rèfèrences au cinèma, le cinèaste finlandais Aki Kaurismäki signe la deuxième aventure des Leningrad Cowboys, le plus mauvais groupe de rock du monde, qui affronte ici la CIA, à la recherche du nez de la statue de la Libertè! Moins originale que "Leningrad Cowboys Go America", devenu depuis, une formation à temps plein avec concerts et tournèes, disques, clips et fan club, cette suite, accompagnèe de vrais moments d’anthologie, rèussit tout de même à nous divertir avec les dèambulations de nos rockers d'opèrettes! Un deuxième opus loufoque et sympathique qui s'inspire ici de l’Ancien Testament...